Certaines maladies infantiles qu’on croyait éradiquées, grâce aux campagnes de vaccination réapparaissent depuis quelques années aussi bien en France que dans le monde avec de plus en plus de cas recensés. Après la rougeole qui circule à nouveau en Europe, depuis plus de 3 ans, la varicelle a connu au printemps dernier un pic d’épidémie et actuellement on parle d’une recrudescence des cas d’oreillons, avec plus de 13 000 cas enregistrés en France depuis le début de l’année, soit 4 fois plus qu’en 2012.
Les oreillons sont définis comme une maladie virale contagieuse, qui fait partie des maladies infantiles qui généralement affecte les enfants de 4 à 10 ans. Le virus ourlien, comme on l’appelle, scientifiquement référencé « Myxovirus parotidis », s’introduit par le système respiratoire et se propage très rapidement par le sang à tout l’organisme en s’attaquant plus particulièrement au système glandulaire, au pancréas, aux testicules et au système nerveux.
Les premiers symptômes qui font suite à une période d’incubation de trois semaines, se manifestent le plus souvent par une forte fièvre, une douleur insupportable au niveau des oreilles et des joues particulièrement enflées, qui déforment le visage.
Généralement pour éviter cette maladie et ses complications parfois irréversibles, en France, on vaccine systématiquement les enfants dès l’âge d’1 an, en leur administrant en même temps, en une seule injection à la fois le vaccin contre les oreillons, la rougeole et la rubéole (ROR), avec rappel entre 16 et 18 mois.
Ce qui interpelle en ce moment l’Institut national de veille sanitaire (InVS), c’est que ce virus touche actuellement des grands adolescents et des jeunes adultes de 25 ans, qui pour la plupart avaient correctement été vaccinés pendant leur enfance. Ce constat met en évidence une efficacité relative du vaccin qui a tendance à s’estomper avec le temps. Est-il nécessaire de mettre en place un nouveau rappel de vaccin, pour tous ceux dont le vaccin date de plus de 10 ans, c’est la question que se pose la Haute autorité de santé publique ?
Quand on sait les complications et les risques de stérilité que peut provoquer ce virus chez les hommes qui le contractent à l’adolescence et à l’âge adulte, il est peut être essentiel de mettre en place un nouveau plan de vaccination avant qu’une épidémie plus importante se développe !
Ouille gare aux couil… de ces messieurs.
Certains veulent la décroissance ?
Voila un bon moyen pour y parvenir.
Je plaisante bien sûr !!
J’ai eu deux petites chéries en plus des deux garçons malgré tout, alors les légendes … 🙂 😉 😀
Discussion particulièrement intéressante sur l’article de Yolaine que j’ai partagé sur ma page.
ÇÀ vaut le détour…..
J’en déduis Zelectron que vous n’avez pas été atteint par la maldie des oreillons.
Une belle saloperie !
[i]Les oreillons ?[/i]
Non, je parle du vaccin, bien sûr !
Depuis quelques années, on a de temps en temps une « mini-épidémie » d’oreillons de ci de là. On ne sait pas pourquoi. Enfin, si, on sait pourquoi… Parce que c’est le genre de maladie « ça va ça vient », tout simplement.
[i]Mais le vaccin ?[/i]
Il ne sert pas à grand chose…
L’an dernier, on a eu une mini-épidémie en Belgique, dans la population d’une université flamande. Un endroit où l’on est bien placé pour analyser les données de l’épidémie…
Résultat de l’analyse desdites données : plus des 3/4 des gens « oreillonnés » avaient été … vaccinés ! vachement utile, le vaccin ! ;D
Ça n’a pas empêché les z’autorités de « santé » de déclarer que, s’il y avait eu une épidémie, c’était à cause que « les gens ne se font pas assez vacciner » ! Et de recommander une dose supplémentaire de vaccin !
Bin tiens…
[i]M’enfin, le vaccin, il sert quand même à quelque chose, non ?[/i]
Oui, il sert à empêcher les jeunes enfants de « faire » naturellement les oreillons au moment où ça n’est pas dangereux.
Le problème, c’est que si lesdits enfants ne « font » pas les oreillons quand ils sont gamins, ils risquent de les « faire » plus tard, et là, non seulement c’est plus dangereux, mais c’est généralement une souche qui n’est pas prévue dans le vaccin initial qui déclenche la maladie et provoque une épidémie !
Bref, en vaccinant, on fait plus de mal que de bien en repoussant l’échéance.
Sans compter le danger lié à l’injection du vaccin lui-même.
Mais, évidemment, tous les « pro-vaccins » vont se prosterner devant la déesse « industrie pharma » en psalmodiant « les vaccins sont utiles et bons pour la santé, et ils ont éradiqué de nombreuses maladies »…
Ha oui ?
Lesquelles ?
J’espère que vous êtes tous des « pro-vaccins », parce que, de toute façon, vous allez recevoir bien vite le conseil de vous faire re-vacciner…
🙁
[quote]« malgré tout »[/quote]
vous avez bien lu chère SOPHY ? je ne vous raconte pas l’état d’une de mes joyeuses* (on est entre adultes et puis quand bien même…) heureusement que ça n’a duré qu’une journée (robuste constitution)
*aussi grosse que le bœuf 😀
Je présente mes excuses à Yolaine, j’ai tourné les commentaires en dérision, mais le problème est grave bien sûr !!
Zelectron, je crois que Yolaine va nous prendre pour de sacrés coquins. Il serait temps de redevenir sérieux !! (lol)
La dangerosité des vaccins, élaborés pour un moindre coût avec de l’aluminium (recherchez sous quelle forme etc sur les moteurs de recherche) provoquant Alzheimer et des maladies auto-immunes, cette responsablilité est bien établie, grâce à la lutte longue et acharnée d’associations, des victimes et de leurs proches.
Quant aux dégâts causés par les oreillons, il s’agit plus exactement de l’impuissance (pas de la stérilité) résultant en général des pathologies générales touchant l’oreille.
Ce que les anciens médecins savaient, contrairement aux actuels.
Soignez vos oreilles et vous retrouverez votre tonus (cela joue aussi je suppose sur la libido féminine)