Alors que pour calmer les craintes des personnes habitant à proximité des antennes relais de téléphonie la France a renforcé ses normes en conseillant une distance minimum de 300 mètres entre une antenne relais et une habitation, une étude prouve que l'exposition est maximale à environ 280 mètres de l'antenne relais en zone urbaine, et à 1 000 mètres en zone périurbaine.
Ainsi, la distance de sécurité préconisée place les personnes pratiquement à l'endroit précis où les ondes sont les plus nocives.
Cette étude française qui n'est pas récente puisqu'elle a été réalisée entre décembre 2005 et septembre 2006 par le CNRS et l'université de Besançon dans le Doubs est la première à mesurer les niveaux d'exposition in situ de tous les appareils créant des champs magnétiques.
C'est le 31 mars que la revue britannique Occupational and Environmental Medicine a publié les résultats de cette enquête, révélant des chiffres qui font froid dans le dos. Car si les pics d'exposition sont toujours inférieurs aux normes internationales préconisées, on s'est rendu compte que l'exposition dépendait de la hauteur des antennes relais. Ainsi, en zone urbaine où les antennes sont plus basses le rayon d'exposition maximum se situe à environ 300 mètres de l'antenne, tandis qu'en zone périurbaine où elles sont plus hautes, le rayon le plus nocif se trouve à 1 000 mètres.
Ces résultats qui confirment que les scientifiques ne mesurent pas encore tous les effets des ondes électromagnétiques devraient forcer les gouvernements à édicter de nouvelles normes pour protéger les populations. Or, comme le reconnaissent certains épidémiologistes, pour fixer des seuils acceptables d'exposition il faut connaître les mécanismes d'action et, malheureusement, nous n'en sommes pas encore là.
Espérons que nos dirigeants entendront le message et prendront les mesures nécessaires lors du "Grenelle des antennes" qui doit se tenir le 23 avril prochain et devrait permettre aux fonctionnaires du ministère de la Santé et aux scientifiques de faire le point sur les connaissances ainsi que sur les réglementations en vigueur.
Mais comme toujours, les décisions prises risquent de n'être que le résultat d'un compromis entre aspect économique et principe de précaution minimum laissant comme d'habitude le Français moyen faire les frais de ces expériences à ciel ouvert.
cher Candide,
en lisant l’étude faite par le CNRS, je l’ai trouvé plutot rassurante au contraire.
Premier enseignement, l’exposition aux ondes (normes GSM et DCS) est maximale à environ 280 mètres de l’antenne-relais surtout en zone urbaine, et à un kilomètre en zone péri-urbaine principalement. Elle montre aussi que les expositions varient considérablement, même à des distances identiques des stations de base.
Deuxième résultat, le champ électrique mesuré est resté constamment en dessous de 1,5 volt/mètre, donc inférieur aux normes internationales.
La norme européenne en la matière et un seuil inférieur à 3 volt / mètre.
On se doutait un peu de ces résultats puisque les antennes sont concues développées et testées pour etre en conformité avec un ensemble de règles internationales qui spécifient pattern, lobes max, etc.
Ces normes jugées insuffisantes par les opposants aux antennes-relais, comme les associations Robin des toits ou Priartem, qui militent pour un abaissement du seuil à 0,6 V/m, seuil justifié par un principe de précaution.
l’Académie de médecine, a publié début mars une «mise au point» sur le sujet: «On ne connaît aucun mécanisme par lequel les champs électromagnétiques dans cette gamme d’énergie et de fréquence pourraient avoir un effet négatif sur la santé».
C’est un de ces sujets complexes où se mélangent phobies psychiques et technologies de pointe; doit on y voir comme certains la peur générée par l’inconnu (comme ces trains qui à la fin du XIXe siècle créaient des maladies « sataniques »); où un vrai problème environnemental , certains sujets étant plus sensibles que d’autres à la pollution de toutes origines; doit on pour cela arreter les usines chimiques qui polluent nos airs et créer des allergies ou asmes encore plus pénalisants.
le téléphone portable a une certaine utilité; baisser sa puissance , c’est aussi augmener le nombre d’antennes relais et accepter d’etre sans réseau sur ertaines parties du territoire
conclusion de l’etude grotesques
cette étude, détermine le niveau des gens les plus exposés a partir d’une statistique moyenne, qui exclu les lieu les plus exposes comme le prouve la valeur maximale de 1.5V/ m relevé dans cette etude.
les conclusion de l’etude sont dementies formellement par les relevés de mesure sur cartoradio : exemple 5.75V/m a 50 metres de l’antenne donc combien a 280 metres?
http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=13785&l=3
11.8 V/m a 30 metres record du monde?
autres mesures dementant formellement les allegations de niveau et de distance de cette « etude ».
à besançon 3.8V/m mesuré a 40 metre de l’antenne[url] http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=15741&l=3%5B/url%5D
(peut etre un record du monde) a antibes 11,8V/m mesuré à 30 metres de l’antenne![url]http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=14689&l=3[/url]
11.8v/m a 30 metre combien a 280 metres ?
Ne peut-on plus faire confiance aux scientifiques ?
» [i]Alors que deux jugements ont condamné récemment les opérateurs de téléphonie mobile à démonter leurs antennes relais en raison de l’incertitude sur leur impact sanitaire, une étude démontre que l’exposition aux ondes est plus importante à distance qu’à côté de ces antennes.
Or il s’avérerait que l’exposition est maximale à environ 280 mètres de l’antenne relais surtout en zone urbaine, et à un kilomètre en zone périurbaine principalement.[/i] »
Ce sont les conclusions de l’étude du CNRS, je ne suis pas un scientifique, naïvement je préfère croire les conclusions des spécialistes que celles de quidam dont je ne sais rien.
Notez que cette étude condamne plus les antennes FM qui exposent d’avantage que les antennes relais et dont personne ne se soucie.
des experts qui ne savent pas compter !
en ce qui concerne la pollution électromagnétique (comme pour l’amiante ou le nuage de tchernobyl) quasiment aucun crédit ne peut être accordée aux experts officiels ils sont chaque fois pris la main dans le sac a mentir
[b]
conclusion annoncées partout de cette étude (sic) [/b]
1°) le niveau ne dépasse pas 1,5V/m
2°)le niveau est maximal est a 280m avant il y a l’effet parapluie qui protège
3°)le pollution du a la FMest supérieure a celle des antennes relais
vous savez compter jusqu’a 280? avez vous appris les inégalités au collège classe de 5 eme ca suffit pour démontrer que ces conclusions sont grotesques!
on va utiliser les mesures officielle de l’ANFR sur le site [url=http://www.cartoradio.fr/netenmap.php?cmd=zoomfull]cartradio[/url] faites par du personnel spécialisé (électroniciens formes spécialement a la mesure de champs électromagnétique) d’entreprise habilité par le [url=http://www.cofrac.fr/]cofrac [/url]a faire ces mesures (bien plus experts en mesure que les prétendus experts officiels qui sont médecins en n’y connaissent pas grand chose en mesures physique)
au dessus vous avez trois exemples de mesures officielles 11.8V/m, 5.75V/ m et 3.8V/m mesuré a 30m 50m et 40m des antennes relais .
si vous êtes allé au collège jusqu’en 5eme ces trois valeur sont supérieures a 1.5V/m et 30m 40m et 50 mètre sont inférieure a 280 mètre dans la zone ou on est protégé par le parapluie.
ici une [url=http://www.priartem.fr/Mesure-des-champs.html]analyse par Priatem[/url] des 250 dernière mesures officielles du site Cartoradio :
les allégation [b]1 2 et 3 sont donc totalement fausses[/b] démenties par les chiffres officiels de mesures, il ne suffit d’écrire CNRS sur une un tissus d’âneries pour en faire une vérité.
vérifiez tout ce qui est a votre portée et ça l’est,
@ opotolexpair
Donc, selon vous, le CNRS et l’université de Besançon se trompent ou nous mentent ? Mais pourquoi devrais-je faire plus confiance à d’autres experts ?
des médecins qui font des mesures physique c’est des experts? ils sont aussi experts en pêche a la ligne, en grillade au barbecue , en strategie militaire et en pose de carrelage?
D’autres études arrivent aux mêmes conclusions
Une étude effectuée en Angleterre en juin 2000 par le National Radiological Protection Board a remarqué que parfois les radiations étaient supérieures à 300 mètres qu’au pied de l’antenne ! Étonnant, non ? Ils doivent aussi reprendre leurs études ?
[i]In June 2000 the NRPB published a study into the effects of EMR from base station aerials. They carried out 118 tests at 17 sites. These tests confirmed that the radiation levels were well below national and international guidelines. They also found in one case more radiation was being absorbed in a classroom from a mast over 300 metres away than from one on the roof of the classroom.[/i]
La bataille des experts continue, qui faut-il croire ?
Bonjour
Moi je suis à 10m d’une antenne ORANGE tubulaire au Fort Bloqué (PLOEMEUR 56270)
Ma chambre et salle de bain sont à environ 9m de haut.
La première antenne GSM est à 9m de haut, la deuxième 3G est à 11m de haut.
L’émetteur fait 40W et l’antenne a un gainde 16dB soit un gain de 40
Puissance totale dans ma « tronche » : 2 x 1600Watts.
Mr le Maire LOÏC LEMEUR approuve cette installation !
(pour le bien de tous)
http://persocite.francite.com/plefra/
Nowel si l’emetteur fait 40 W vous ne pouvez recevoir 2 x 1600Watts !