Clac ! Je saisissais directement à l’écran, et hop ! toute ma contribution a disparu ! Ce n’est pas dû à l’un des bogues habituels, mais tout simplement au fait qu’une mauvaise commande (combinaison de touches) m’a fait revenir à la page précédente. Nouveau, pas inintéressant. Reprenons (en croisant les doigts, si j’ose, au-dessus du clavier). Toute critique constructive est une information positive et il me semble idoine d’alerter l’équipe de validation (et de modération) sur quelques impairs nuisant à la crédibilité de Come4News.
Saluons tout d’abord l’équipe, reléguée, faute de temps et d’effectifs, à l’aspect le plus ingrat du travail d’un secrétariat de rédaction.
C’est très frustrant de ne pouvoir actualiser, compléter, améliorer vraiment l’aspect graphique, &c., et de se retrouver cantonné à traiter dans l’urgence.
Le secrétariat de rédaction est une fonction que j’ai trop longtemps exercée contre rétribution, là, je compatis vraiment.
N’empêche. Tentez au moins de soigner les titres.
Je sais, il m’est moi-même arrivé d’en laisser passer de fautifs et de rougir en me relisant (avant de corriger) : bizarrement, c’est dans la titraille que ce qui devrait le plus sauter aux yeux passe inaperçu.
Il se trouve que je dispose de « droits » d’édition sur toutes les contributions publiées ici, sur Come4News.
J’en use très, très rarement (faute de temps, d’ardeur bénévole), jamais, au grand jamais sur le fond, uniquement sur la présentation graphique, l’orthographe, la syntaxe, l’orthotypographie, et encore, à la sauvette, la va-vite (trop vite).
Là, une forme fautive verbe suivi de participe passé au lieu de verbe à l’indicatif suivi d’un autre (voire le même : l’exemple-type est « faire faire » et non « faire fait·e »), de plus en plus courante dans la presse (les équipes de correction n’existent plus ou ne traitent plus que de l’actualité froide, marbrée, à publication différée, le secrétariat de rédaction est débordé et sous pression), m’a interpellé.
J’ai donc transformé « Le Papier Cadeau : Laissez vous emballés ! » au profit du conforme « Le papier cadeau : laissez-vous emballer ! ». Et encore ! Je n’ai pas inséré les deux indispensables espaces insécables qui s’imposaient.
De même n’aurais-je pu mettre en italiques, comme il se doit, un titre d’œuvre ou de publication (Come4News, abrégé C4N, en est un).
La « gestion » des insécables dans Come4News est… insolite. Dans le corps du texte, la suite &+nbsp; générera le rendu voulu, soit une espace (ici, en typo, féminin), ou un « blanc ».
Dans les chapeaux apparaissant en page d’accueil, vous verrez cette suite de caractères ou glypes : &+nbsp; (sans bien sûr ce signe +, destiné ici, pour la démonstration, à vous la rendre apparente).
Alors qu’en commentaire, il vous faut recourir à la commande Alt+0160, beaucoup aisée à utiliser (si vous saisissez vite via le pavé numérique).
Pourquoi donc cette disparité ?
Vous avez constaté ces multiples titres avec des points exclamatifs ou d’interrogation chassés, en page d’accueil, à la ligne suivante !
À l’insu de « votre plein gré ».
Tout autre chose. Pour éviter le demi-bogue qui fait que, si vous saisissez à l’écran et opérez une sauvage temporaire (coche bleue), une fois sur deux, il vous faudra « repêcher » votre contribution dans la liste des articles en instance de validation.
Celles et ceux le pouvant opèrent une sauvegarde définitive (c’est réservé aux plus anciens, aux plus prolixes). Ensuite, il est possible de définir l’article « publié » et affichable en page d’accueil (encore une fois, c’est réservé à qui cet accès a été conféré).
Là, je ne sais ce qui s’est produit, mais un article de la rubrique « International » s’est retrouvé en page d’accueil… À cela près que l’article en question se résumait à son titre, à son seul titre, lequel, lorsque j’ai voulu accéder à l’article (totalement vide de tout autre contenu), avait déjà été consulté une trentaine de fois.
Comment a-t-il pu « monter » en page d’accueil ? Mystère !
Comment a-t-il pu aussi longtemps rester en l’état ? Pareil !
Encore une fois, soyons indulgents. Shit happens! comme on dit familièrement.
Je ne veux pas revenir sur les bogues faisant s’évanouir les textes voués à jamais aux limbes, mais il est vraiment très malaisé d’actualiser de l’actualité chaude en ayant recours au coupé-collé depuis un texteur. Parfois, une situation évolue de minute en minute. Ce sont les premiers sites actualisant fréquemment qui sont repérés par les moteurs et donc consultés. Mais… glissons…
En revanche, pour la crédibilité du site, veillons nous-mêmes à l’orthographe, à la syntaxe de nos titres, et s’il faut s’y résoudre, dans les titres, renonçons jusqu’à nouvel ordre aux espaces avant les ponctuations l’exigeant normalement. Vœu pieux pour mon propre compte, car j’ai tellement pris l’habitude de respecter les normes orthotypographiques que les enfreindre ne me sera pas naturel.
Pour les chapeaux, et les nombres, notamment longs, eh bien, jusqu’à nouvel ordre, eh, mieux vaut encore les espacer que d’avoir recours au séparateur anglais (soit le point, tel que 1.000.000).
C’est du moins mon humble avis. Voir apparaître 1 +;000 +;000 – sans bien sûr le signe +, idem supra, serait plus gênant encore.
Quoi qu’il en soit (ou adviendra), tentez de soigner autant que possible et souhaitable ce qui apparaît en page d’accueil. Ce n’est pas seulement vous, personnellement, qui, en cas de titre fautif, voyez votre crédibilité endommagée : c’est celle de tout l’ensemble du site, de toutes celles et tous ceux qui peuvent y contribuer, qui en souffre.
Pour les fautes d’orthographe, de syntaxe, d’orthotypographie dans le corps des textes, hélas, je ne suis pas sans faille, et par ailleurs, malheureusement, plus on « avance » et plus l’ensemble de la presse (et de l’édition) offre de mauvais récurrents exemples.
Abus du « comme à la gomme » (ex. : nommé comme préfet alors que nommé préfet suffit), trop de formes verbe+participe passé fautives, infinitif maltraité, je vous en passe.
Mais si nul ne peut se targuer de ses propres turpitudes, invoquer celles des autres n’exonère pas de ses responsabilités… Ce qui vaut bien sûr pour moi-même.
Je me suis longtemps posé la question de savoir si j’allais corriger la faute dans le titre de l’article cité.
Souvent j’attends que la personne qui a écrit l’article s’en rende compte et corrige elle même sa faute, en renvoyant son article corrigé directement sur le site.
Ce ne fut pas le cas, et je suis passée à autre chose.
Ce n’est pas la première fois, que moi aussi, je corrige des accords de verbes dans le titre des articles.
Mais à l’impossible nul n’est tenu, et évidemment de nombreuses fautes peuvent passer aux oubliettes du modérateur.
Travail bénévole, prenant, qui pour ceux qui sont en même temps rédacteurs pose un problème.
Comment modérer, corriger, et produire pour soi même ? (parfois même commenter juste pour lancer un article qui ne l’est pas en fin de journée)
Mission impossible, ou alors avec des espaces temps entre 2 articles qui peuvent parfois atteindre une semaine voir plus.
Les recommandations incessantes et répétitives dans « Les Primes du mois », vont commencer à lasser, et pourtant…
Je n’ai pas tout saisi … quel est le souci de l’espace entre le dernier mot d’un titre et une ponctuation ?
La ponctuation, à un espace prêt, peut se retrouver seule à la ligne suivante. (dans le titre surtout)
Hello Sophy,
J’abonde : comment être partout à la fois.
Mais, sérieusement, songe aux jeunes lectrices et lecteurs pour qui la chose « imprimée » (ici, publiée) vaut référence.
Là, je n’ai pas pu m’en empêcher, j’ai corrigé illico.
Pour Ying Yang :
Ben, c’est assez « moche » (d’accord, des goûts et des couleurs…) d’avoir une fin de ligne (de titre ou autre) se terminant par un mot et le signe de ponctuation rejeté à la ligne suivante.
En tout cas, toutes les recommandations et prescriptions orthotypographiques le prescrivent.
Truc, c’est la lisibilité : on pourrait prendre une interrogative pour une affirmative, par exemple.
Une question (qui ne remet pas en question les qualités de l’auteur) est-ce que cet « article » a sa place à la une de C4N ?!
Vous voyez Claire Chazal dénigrer la dernière version de son prompteur pendant le journal ?
Je suis désolée……….Les papiers cadeau, c’est moi!! Je ne suis pas coutumière du fait…Et j’ai assez honte… Surtout que je suis citée en « mauvais exemple »….Comme je l’expliquai dans un message envoyé à Sophy (avant même la publication de cet article là..;) j’ai modifié mon titre à la dernière minute…. Et du coup, j’ai fait une faute d’accord…. Quand j’ai vu mon article « à la une », j’étais horrifiée….Je ne savais pas comment faire pour le modifier et j’avais hâte qu’un autre article vienne chasser le mien dans cette même rubrique…. Bon,voilà, je ne pense pas faire beaucoup de fautes d’orthographe, de grammaire… Mais pas de bol, ça tombe sur moi!!! Mais j’ai vu pire dans certains articles et j’ai du mal à passer pour une nulle. Allez, passons à autre chose…
Et….. Je n’ai toujours pas saisi comment éviter qu’un signe de ponctuation ne se retrouve à la ligne suivante…. 🙂 Faut-il « coller » le « ! » au texte, sans espace? Désolée, mais côté « technique », ici, je ne maîtrise pas grand chose…. J’écris, je colle la photo….Et voilà… 🙂
errare humanum est, Fanfan !
@Fanfanville :
Je vous connais, je vous lis depuis vos débuts sur C4N, où vous nous aviez écrit de très beaux textes en vers.
Je sais que vous êtes une amoureuse qui jongle avec les mots de façon très agréable à la lecture.
Je sais que tout ce que vous écrivez vient du coeur, et n’est en rien un copier-coller.
L’erreur est humaine comme le dit Véritas.
« On » oublie, en sachant que si j’avais été plus attentive, je l’aurai corrigé depuis le tout début de sa parution.
@ TOUS, faites des titres courts, avec des mots clés vous pourrez ainsi mettre un point d’interrogation ou d’exclamation sans craindre de le voir arriver tout seul sur la seconde ligne.
Comme le dit Jef Tombeur, votre phrase pourrait alors passer pour une affirmation !
SOPY-C4N
Merci Sophy! Mon moral est un peu remonté hors de mes chaussettes… C’est sûr que j’aurais préféré que l’on parle de mon « style » plutôt que de ma « faute d’étourderie »… Mais bon…C’est comme dans mon boulot, on dit quand ça va pas, et jamais quand ça va… Une erreur, en 62 articles…en pas tout à fait 3 mois… Ben, moi, je vais retenir le côté positif, hein, parce sinon,je vais me croire au Taf ( euh, pardon, au travail…) 🙂 Allez, bonnes fêtes à tous, et ne nous modérez pas trop!
Oui, bon, hein, ce n’est pas un drame majeur.
Comme je l’écrivais, moi aussi, il m’arrive d’en commettre d’énormes.
Enfin, malheureusement, avec l’âge, c’est beaucoup plus fréquent.
Naguère, j’avais la chance de pouvoir rédiger impeccable (du point de vue de l’orthographe, la syntaxe, mais en évitant soigneusement les conjugaisons un peu trop « délicates », j’avoue).
Fini : j’ai quelques restes, voilà tout.
Bref, puisque l’auteure « lève le doigt », autant lui répondre cela :
c’est tombé sur vous, cela aurait pu tomber sur moi, ou n’importe qui d’autre.
Il y en aura d’autres : il suffit de lire [i]Le Canard enchaîné[/i] pour voir le nombre de coquilles, d’erreurs, &c., qui « cloutent » la prose publiée dans la presse.
Parfois, même, on trouve des énormités sur… des affiches (pourtant, là, le texte n’abonde pas).
Tout ce que je demande c’est que, sachant que c’est inévitable, même avec le peu de moyens dont dispose le site, « on » (moi de même) essaye de prendre la peine de regarder au moins une fois par jour la page d’accueil, et que celles et ceux qui peuvent intervenir corrigent si c’est trop flagrant.
Pour les espaces insécables… Hors la virgule, qui « n’exige » qu’une espace après elle, la plupart des signes de ponctuation en « veulent » avant eux.
Beaucoup de texteurs (traitements de texte) évolués (genre OpenOffice, MSWord…) gèrent cela en tâche de fond (automatiquement), selon les langues employées.
Rarement les interfaces de saisie. Pourquoi ?
La plupart sont d’origines étrangères, se fondent sur l’anglais, qui, elle (la langue) n’a pas les mêmes exigences. Hormis les tirets (dits demi-cadratin, soit –, ou longs, — (respectivement Alt+0150 et 0151), rarement des espaces avant ou après les signes de ponctuation.
Que faire. Si vous adoptez l’orthotypographie anglaise, et que vous accolez un ?, !, ;, &c., au mot, texteurs et interfaces interprêtent cette suite mot+signe de ponctuation comme un seul ensemble, un seul bloc. Si la place manque en bout de ligne pour rentrer ce bloc, tout le bloc chasse à la ligne suivante.
Pour obtenir le même résultat avec l’orthotypo française, il faut avoir recours non pas à un espace simple, mais à un(e) « espace insécable ». Tous les texteurs ou presque comportent une table de caractères, tous les systèmes d’exploitation ou presque (MacOS, Windows, &c.) aussi.
D’ailleurs, l’ancienne interface de saisie de [i]Come4News [/i]comportait aussi une telle table.
Cela vous permet de saisir des caractères propres à une langue étrangère, par exemple.
Ainsi du signe numéro (º) qui n’est pas le degré (°) et se « confond » avec le signe [i]primero[/i] (numéral espagnol, dont le féminin est [i]primera[/i], ª).
Vous avez aussi le signe puissance trois, ³, certaines fractions : ¼, ½, ¾.
Allez voir.
L' »auteure » a levé le doigt, car elle a été citée…. Mais elle ne tendra pas la joue pour y recevoir des coups ( 🙂 ) Nous aurions pu mettre des exemples « imprécis »….Tout le monde aurait compris… 🙂 . Bref, depuis, j’ai digéré, et je vais même manger beaucoup les jours à venir !!!!
En ce qui concerne les points d’exclamation, normalement, on ne met pas d’espace entre le texte et le « ! », sinon, le »! » peut se retrouver tout seul à la ligne… Idem pour le « ? » etc….. C’est ce qui arrive quand on tape un texte sous « word ». Ici, c’est pareil? Bon, ben voilà ! Joyeux Noël à TOUTES et à TOUS !
l’article sans texte, je l’avais vu et surprise, j’ai simplement pensé qu’il y aurait une suite… si cela arrive une autre fois, promis je le signale !! quand aux points d’exclamation ou d’interrogation sans espace, comme Jef et bien d’autres, cela me sera difficile : les habitudes ont la vie dure !! pardon!
et… oui il n’est pas facile de trouver un titre qui soit accrocheur. donc faisons encore des efforts !