L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, programme conjoint de la FIDH et de l’OMCT, a publié aujourd’hui une action urgente de soutien à Mme Sihem Bensedrine et de M. Omar Mestiri suite aux actes de harcèlement et du refoulement dont ils ont fait objet le 18 juin 2008 quand ils se sont présentés au postes de contrôle frontalier en route vers l’Algerie.
D’après le communiqué : « Mme Sihem Bensedrine et M. Omar Mestiri, son mari, ont été refoulés par la police des frontières algérienne alors qu’ils franchissaient le poste frontalier de Oum Tboul à proximité de Tabarka (nord-ouest de la Tunisie), pour une visite privée en Algérie. Mme Bensedrine et M. Mestiri ont été retenus durant plus de deux heures et demi et se sont finalement vus notifier cette mesure de refoulement, sans qu’aucune explication sur la raison qui a motivé ce refoulement ne leur ait été fournie. Sur leur route vers l’Algérie, Mme Bensedrine et M. Mestiri ont constaté une surveillance policière ainsi qu’une présence de la police politique tunisienne inaccoutumée au poste frontière côté tunisien. Cette surveillance s’est également poursuivie sur le chemin du retour. Ils ont également noté des échanges téléphoniques entre les deux polices alors qu’ils attendaient au poste frontière. »
L’Observatoire note qu’il considère ces actes de harcèlement à l’encontre de Mme Sihem Bensedrine et de M. Omar Mestiri, visent uniquement à sanctionner leurs activités en faveur des droits de l’Homme. (TW-20/06/2008)
L’Observatoire pour la protection des défenseurs des droits de l’Homme, programme conjoint de la FIDH et de l’OMCT, a publié aujourd’hui une action urgente de soutien à Mme Sihem Bensedrine et de M. Omar Mestiri suite aux actes de harcèlement et du refoulement dont ils ont fait objet le 18 juin 2008 quand ils se sont présentés au postes de contrôle frontalier en route vers l’Algerie.
D’après le communiqué : « Mme Sihem Bensedrine et M. Omar Mestiri, son mari, ont été refoulés par la police des frontières algérienne alors qu’ils franchissaient le poste frontalier de Oum Tboul à proximité de Tabarka (nord-ouest de la Tunisie), pour une visite privée en Algérie. Mme Bensedrine et M. Mestiri ont été retenus durant plus de deux heures et demi et se sont finalement vus notifier cette mesure de refoulement, sans qu’aucune explication sur la raison qui a motivé ce refoulement ne leur ait été fournie. Sur leur route vers l’Algérie, Mme Bensedrine et M. Mestiri ont constaté une surveillance policière ainsi qu’une présence de la police politique tunisienne inaccoutumée au poste frontière côté tunisien. Cette surveillance s’est également poursuivie sur le chemin du retour. Ils ont également noté des échanges téléphoniques entre les deux polices alors qu’ils attendaient au poste frontière. »
L’Observatoire note qu’il considère ces actes de harcèlement à l’encontre de Mme Sihem Bensedrine et de M. Omar Mestiri, visent uniquement à sanctionner leurs activités en faveur des droits de l’Homme. (TW-20/06/2008)
Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/06/21/algerie-refoulement-a-la-frontiere-de-deux-opposants-tunisie.html.
Mme Sihem Bensedrine et M. Omar Mestiri, son mari
Qui sont ces personnes? Que représentent elle?
Sihem Ben Sedrine est une avocate qui s’ oppose courageusement à l’ arbitraire des autorités de la dictature tunisienne avec son mari M. Omar Mestiri avec un courage qui force l’ admiration.