Agenda très chargé pour le couple présidentiel

Lundi 10 Janvier, notre président Sarkozy a indiqué son intention de travailler étroitement avec les USA dans le cadre du G20, au cours de la réunion tenue à la maison blanche, avec le président Barack Obama.  Sarkozy a analysé avec Obama les objectifs de la présidence française de cette année, dont  le G8 et le G20. Principales réunions qui rassembleront les 8 et les 20 plus grandes nations du monde, notamment en voie de création d’un nouvel ordre monétaire international et une nouvelle gouvernance planétaire qui se demande multilatéral.  Concernant l’aide militaire française, Obama a reconnu les « sacrifices » des soldats français en Afghanistan. Même si cette décision est encore très controversée dans notre pays, vis-à-vis de l’utilité de nos soldats sur place.   Cette réunion a également été propice pour que les deux présidents analysent ensemble le prix des matières premières. Les 2 présidents ont profité des médias présents pour parler de la sécurité internationale, qui reste particulièrement difficile en ce moment. Une minute de silence a été demandée par Obama dans le but de se rappeler les six morts et 14 blessés, dont parmi eux, un membre du Congrès américain lors du massacre à Tucson en Arizona, ce samedi dernier. Sarkozy, durant cet instant médiatique a également confirmé, à son tour, le meurtre des deux français samedi 8 Janvier au Niger, qui ont été enlevés le jour précédent par le réseau terroriste Al Qaïda. Suite à ces instants pesants, les 2 hommes ont fini par déjeuner tard sans la compagnie des premières dames.  Ce même jour, avant cette courte escale à Washington, Sarkozy s’est rendu en Guadeloupe où il était en visite officielle accompagnée de sa femme Carla Bruni Sarkozy ainsi que Michelle Alliot-Marie et Christine Lagarde. Le but de cette visite étant de présenter ses vœux aux français d’outre mer.

En fin de journée le président s’est déplacé jusqu’à New york pour y rencontrer le Roi abdallah d’Arabie Saoudite ainsi que le président Libanais Saad Hariri.

FIN DE JOURNEE