La compagnie nationale aérienne TUNISAIR revient au devant de la scène médiatique pour la seconde fois. Après la signature fin avril dernier au cours de la visite en Tunisie par le président français Nicolas Sarkozy d’un accord pour l’achat de 19 avions Airbus, dont 16 commandes fermes. Une commande dont le montant a atteint un milliard d’euros destiné au renouvellement de sa flotte par 10 avions A320, et trois avions A350 et trois autres A330 pour répondre à ses programmes d’expansion à long terme sur des lignes long-courriers à destination de l’Amérique du Nord et de l’Asie.

 Cette fois, c’est une information sur les intention de l’Est tunisien de céder une partie de ses parts à un partenaire stratégique étranger révélée à Londres par le directeur financier de la compagnie et démentie à Tunis par son PDG.  Voici l’information rapportée par le site économique African Manager :

«Tunisair, la compagnie aérienne nationale de la Tunisie, pourrait de nouveau vendre 15 % de son capital à un investisseur stratégique ». L’annonce en a été faite par le directeur financier de la compagnie à un journaliste du site « bloomberg.com » dans son édition du 5 juin 2008. 

 «Nous pourrions vendre plus de parts à un investisseur stratégique, mais le gouvernement voudra toujours détenir une part de contrôle», précise encore Adel Gaida, cité par le site financier qui l’a rencontré le mercredi dernier à Londres et qui ajoute que Tunisair «avait  pensé à faire ceci depuis quelque temps, mais nous n’avions pas fixé une date pour cela».

Contacté par nos soins, Nabil Chettaoui Pdg de Tunisair, a démenti catégoriquement cette information et nous a indiqué que «une deuxième ouverture du capital de Tunisair n’est pas actuellement à l’ordre du jour ». Et d’ajourer que «les priorités de Tunisair sont actuellement, les moyens de faire face  les hausses du prix du carburant et la concurrence internationale » (AM – 6-06-2008)

La compagnie nationale aérienne TUNISAIR revient au devant de la scène médiatique pour la seconde fois. Après la signature fin avril dernier au cours de la visite en Tunisie par le président français Nicolas Sarkozy d’un accord pour l’achat de 19 avions Airbus, dont 16 commandes fermes. Une commande dont le montant a atteint un milliard d’euros destiné au renouvellement de sa flotte par 10 avions A320, et trois avions A350 et trois autres A330 pour répondre à ses programmes d’expansion à long terme sur des lignes long-courriers à destination de l’Amérique du Nord et de l’Asie.

 Cette fois, c’est une information sur les intention de l’Est tunisien de céder une partie de ses parts à un partenaire stratégique étranger révélée à Londres par le directeur financier de la compagnie et démentie à Tunis par son PDG.  Voici l’information rapportée par le site économique African Manager :

«Tunisair, la compagnie aérienne nationale de la Tunisie, pourrait de nouveau vendre 15 % de son capital à un investisseur stratégique ». L’annonce en a été faite par le directeur financier de la compagnie à un journaliste du site « bloomberg.com » dans son édition du 5 juin 2008. 

 «Nous pourrions vendre plus de parts à un investisseur stratégique, mais le gouvernement voudra toujours détenir une part de contrôle», précise encore Adel Gaida, cité par le site financier qui l’a rencontré le mercredi dernier à Londres et qui ajoute que Tunisair «avait  pensé à faire ceci depuis quelque temps, mais nous n’avions pas fixé une date pour cela».

Contacté par nos soins, Nabil Chettaoui Pdg de Tunisair, a démenti catégoriquement cette information et nous a indiqué que «une deuxième ouverture du capital de Tunisair n’est pas actuellement à l’ordre du jour ». Et d’ajourer que «les priorités de Tunisair sont actuellement, les moyens de faire face  les hausses du prix du carburant et la concurrence internationale » (AM – 6-06-2008)

Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/06/09/affirmations-et-dementies-concernant-une-privatisation-parti.html.