Un professeur exerçant au collège César-Savart de Saint-Michel qui a été accusé de violences par l'un de ses élèves âgé de quinze ans s'est suicidé à son domicile par pendaison.
Les faits se seraient déroulés suite à un retard de l'élève en question. A la fin du cours une explication sans témoin aurait eu lieu entre les deux protagonistes, au cours de laquelle le fonctionnaire aurait asséné un coup de poing à l'élève, qui aurait ensuite été porter plainte accompagné de ses parents.
Mis en garde à vue jeudi matin pour violences ayant entrainé une incapacité totale de travail (ITT) inférieure à huit jours par une personne chargée d'une mission de service public, l'enseignant n'a cessé de nier les faits qui lui étaient reprochés.
C'est jeudi en fin d'après midi que l'homme avait été relâché de sa garde à vue. Pour sa part l'enquête continuait afin de déterminer ce qui s'était réellement passé dans la salle de cours.
Mais vendredi l'homme s'est donné la mort à son domicile. Sauf que selon des sources proches du dossier, il aurait eu également "un faisceau de problèmes familiaux", ce qui ne permet pas, pour le moment, de déterminer si ce geste malheureux est dû à l'affaire de violences ou non.
Le prélude de ce que vous ne voulez pas envisager « Cachez ce sein que je ne saurais voir » !
Le stress, le mal-être social (devenu sociétal), ne sont-ils pas à l’origine des suicides « toujours plus » nombreux (v. par ex. la Police, Renault, etc.)
Peut-il en être autrement ?
Jadis, les « normes » (dérivées de la religion chrétienne) conditionnaient la Société.
Cette époque est révolue. Cette morale « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » est en faillite –définitivement- !
Reste seulement à attendre que le nombre de suicides ou actes désespérés de vengeance (des exclus, « no futur », devenus « destroyers ») atteigne un seuil critique pour que la désorganisation des pays s’enclenche irréversiblement !