Douloureux bilan, la mort d’un officier Israélien clôture la visite d'Etat de Monsieur Sarkozy en Israel.
Nous avons appris, hier mardi 24 juin dans l’après midi, que la visite de trois jours du président français en Israël a été endeuillée au cours de la cérémonie de départ par le décès accidentel d’un officier israélien à l'aéroport Ben-Gourion de Tel Aviv.
Nous avons pu voir à la télévision des gardes du corps poussant avec précipitation Monsieur Sarkozy et son épouse sur la passerelle de l’avion qu’ils étaient déjà en train de gravir en courant très vite, et sitôt qu’ils furent dans l’avion, en l’espace de quelques secondes, la porte en fut rapidement fermée avant que les autres passagers de l’escorte présidentielle qui se trouvaient encore au bas de la passerelle n’ai pu y accéder.
Presque simultanément nous avons pu apercevoir des gardes du corps évacuant très rapidement le premier ministre Ehud Olmert et le président israélien Shimon Peres vers leurs voitures blindées.
Une fois le calme rétablit sur l’aéroport, le président Shimon Peres et Ehud Olmert sont montés dans l'avion pour s’assurer que les époux Sarkozy étaient indemnes, pour leur expliquer que le coup de feu n'était pas lié à une "tentative d'attentat terroriste" et pour les saluer une dernière fois avant le départ. D’après les commentateurs Monsieur et Madame Sarkozy s’étaient remis de leur ascension rapide de la passerelle et en apparence ne paraissaient pas affectés.
Pratiquement séance tenante, les médias et les autorités israéliennes compétentes, avant même qu’une enquête ait pu être engagée et ses résultats officiels connus, ont déclaré en couverture de ce drame que cet officier s’était suicidé.
La radio israélienne a fait savoir qu’à aucun moment le président français n'a couru de danger et a aussi indiqué que le soldat israélien se trouvait à une distance de 100 à 200 mètres de l'avion.
Deux femmes soldats proche du dramatique accident se sont évanouies et ont du recevoir des soins.
De son côté le porte parole de la police israélienne a assuré qu’en aucun cas il ne s’agissait d’une tentative d’assassinat. Le porte-parole de la police a précisé que le soldat était un officier paramilitaire qui était affecté à une patrouille de surveillance de l'aéroport.
Depuis hier les dépêches qui fusent et la presse israélienne ont annoncé ce douloureux et regrettable incident sous différentes interprétations au fur et mesure que les informations se précisaient :
– « que ce soldat, qui faisait partie de la garde d'honneur, aurait été blessé par un tir parti accidentellement de son arme et qu’il aurait succombé à ses blessures. »
– qu’ « Un officier des garde-frontières d'Israël est mort accidentellement, tué par balle mardi dans un incident lors de la cérémonie de départ du président français Nicolas Sarkozy à l'aéroport international Ben-Gurion ou encore « que ce soldat, qui faisait partie de la garde d'honneur, aurait été blessé par un tir parti accidentellement de son arme et qu’il aurait succombé à ses blessures. »
– que « Le coup serait parti après qu'il fut tombé du poste d'observation, en haut d'un immeuble, où il se trouvait pour assurer la sécurité de la cérémonie (site Internet du quotidien local Jérusalem Post)
– que le soldat était à 100 ou 200 m de l'avion (Israel Radio)
– qu’une enquête a été lancée.
Ainsi cette visite d’Etat de notre Président en Israël, escorté de quelques trois cent personnalités émanant du monde culturel et artistique, du monde des affaires, du monde des médias, qui avait donné lieu à l’arrivée à une réception somptueuse et grandiose organisée par son ami le Président Shimon Peres , suivie pendant le séjour par des déplacements prestigieux dans des lieux symboliques de l’histoire et illustrée des discours politiques de Monsieur Sarkozy par lesquels il s’était manifesté comme le chantre de la paix internationale et le réconciliateur d’Israel et de la Palestine, s’est clôturé par la mort accidentelle ou suicidaire (l’enquête le dira) d’un officier israélien et c’est à lui et à tous les combattants israéliens et palestiniens qui sont mort au combat, en s’affrontant depuis tant d’années pour soutenir l’ambition des grands de ce monde, que vont mes prières humanistes de chrétienne non pratiquante et qui revendique sa foi libérée des entraves de toutes les religions la mienne et celle des autres, qu’elles soient dogmatiques, progressistes, traditionnelles ou modernes, qui se sont toutes selon le temps et l’époque éloignées dans leur orgueil temporel de l’enseignement spirituel de leurs prophètes et de leur Dieu..
Toutes ces grandes messes profanes politiques et culturelles, organisées dans le monde à la gloire des grands de ce monde, ou présentés comme tels en façade, alors que trop souvent leur vie privée est faite de luxure et de compromission, ne me touchent pas, une seule chose me touche et m’attriste douloureusement c’est le sacrifice imposé par ces personnages aux enfants du monde entier dans des guerres et des conflits générées au service de leurs intérêts particuliers idéologiques et économiques.
MISE A JOUR DE DERNIERE MINUTE (25 JUIN 2008)
Complément d’information : SUICIDE ? …….. POUR LA FAMILLE DES DOUTES SUBSISTENT
La famille de la victime ne croit pas à la thèse du suicide. D'après leurs déclarations Ghanan était heureux, bien entouré, marié et père de deux enfants. "Il avait une famille, une maison, des amis, et des projets pour l'avenir, et il n'avait aucune raison de se suicider", a déclaré le père dans la presse israélienne. Ses proches envisagent la thèse d'un accident: et selon eux, il aurait été tué accidentellement par un membre des services de sécurité israéliens qui chercheraient désormais à enterrer l'affaire.
Une enquête a été ouverte.
L'enquête se poursuit en Israël, après la mort d'un policier mardi, lors de la cérémonie de départ de Nicolas Sarkozy à l'aéroport Ben Gurion, près de Tel Aviv.
La détonation, qui a causé l'affolement des services de sécurité du président français, provenait d'un immeuble qui se trouvait à 200 m. Arrivées sur place, les autorités ont trouvé un officier israélien blessé par balle qui est mort quelques secondes plus tard, malgré les premiers secours qui lui ont été apportés.
Raid Asaad Ghanan, 32 ans, posté sur le toit d'un immeuble, assurait la sécurité du périmètre du Premier ministre israélien et de Nicolas Sarkozy. La balle qui l'a atteint l'aurait fait tomber du toit. Selon les premières constatations des autorités, il s'agirait d'un accident ou d'un suicide. La police scientifique, qui a pratiqué une autopsie a annoncé que la balle retrouvée dans le corps de Ghanan correspondait à l'arme (M 16) de celui-ci.
Une enquête a été ouverte.
Curieusement en France les médias alignés se contentent pour relater ce dramatique incident de quelques lignes noyées dans le corps d’articles se répandant sur les déplacements, les discours de Nicolas Sarkozy et les déclarations des personnalités qui l’ont reçus, et des réceptions, dont celle qualifiée d’ « idylliques » en soirée chez le Président Shimon Peres dans un décor somptueux, en soulignant que Nicolas Sarkozy et son épouse ont dégusté leur coupe de champagne les yeux dans les yeux pour célébrer leur amour, j’en passe et des meilleures, vraiment navrant .
J’ai pu voir dans une vidéo Carla Bruni Sarkozy reçue dans un centre israélien, accueillie en signe de bienvenue, par un clown qui fredonnait et contrefaisait d’un ait goguenard la Marseillaise, notre hymne national, en le ridiculisant par son attitude et ses gestes vulgaires en face de l’épouse du Président.
Navrant, ridicule, insupportable …. Mais personne ne proteste « le silence règne sur l’une et l’autre colonne » ……..
On nous parle d’un soldat israélien qui se suicide. Sur cette page, on nous parle
d’un officier. Il faut savoir qu’il y a une grande différence entre un soldat et un officier ! Si c’est un officier qui s’est suicidé, le cas est plus grave que celui
d’un soldat. Si c’est un accident, ce genre de problème est fréquent. Attendons donc
le résultat de l’enquête. De boulahcen/Kasba Tadla/Maroc
Au fait, pourquoi ce militaire israélien s’est suicidé ?
Puis, pourquoi les médias français en ont parlé pudiquement ?