Le libéralisme évolutif qui est dans le domaine de l’économie plus particulièrement axé sur les industries manufacturières, y compris agroalimentaires, (excluant de-facto les vendeurs, revendeurs, importateurs, grossistes enfin marchands qui détournent le profit devant récompenser les producteurs), repose sur cinq piliers :
 

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– l’abrogation des lois de 45 ("inspirées" par le CNR d’obédience communiste auprès de de Gaulle) pour permettre l’établissement de banques mutuelles entre PME/PMI/ETI en récusant la participation de grands groupes et de l’État.

– l’établissement de conseils* de PME/PMI/ETI (sauf concurrents direct ou indirect du projet) pour attribuer strictement en dehors de l’État (sauf conflit) les aides à l’investissement à l’exclusion des entreprises de plus de 500 personnes ou rattachées à de grands groupes, des banques ou organismes financiers (en particulier et surtout pour l’innovation)

– le parlement modulant et établissant les règles du jeu,

– le renforcement du rôle l’État-arbitral veillant à l’application des règles du jeu (en ne s’en mêlant pas lui-même mais en sanctionnant fermement (ou même durement) y compris par des récompenses)

– la stabilité monétaire (dépendante de l’action commune des européens)

L’État reste le grand argentier par l’intermédiaire du ministère des finances.
Dans d’autres secteurs (mis à part l’éducation et l’hôpital) le nombre de fonctionnaires parasites de l’économie et volants impunément des emplois à des gens bien plus méritants qu’eux (travailleurs et travailleuses) doit être réduit drastiquement.

 

  Il y a des dizaines d’usages pour ces délicieuses cerises

  en confiture, glaces, sirops, clafoutis, pulpes …