Lyon est depuis longtemps une ville qui pratique depuis la Révolution le centrisme et le consensus. Elle est une ville à priori favorable au Mouvement Démocrate. Mais, c’est dans la capitale des Gaules que le MoDem a implosé. Quel étonnant paradoxe !
J’ai suivi cette tragédie lyonnaise, de loin. Je ne connais pas tous les tenants et les aboutissants, mais je regrette ce qui vient de se passer.
Je crois que les événements du MoDem lyonnais, et d’après ce que j’entends ou lis, ici ou là, pour d’autres villes, nous obligera à réfléchir collectivement sur notre stratégie d’alliance, notre fonctionnement interne, notre respect des décisions.
Ainsi, à Lyon, trois stratégies sont possibles. Soit le MoDem s’allie à Dominique Perben, et Michel Mercier peut espérer conserver son siège de président du Conseil général. Soit il s’allie à Gérard Collomb. Soit, enfin, le MoDem présente sa propre liste.
Ne connaissant pas la situation, je ne me permettrai pas d’avoir un jugement. Chacune des possibilités d’alliance a ses avantages et ses inconvénients.
Néanmoins, malgré cette implosion, nous pouvons espérer avoir beaucoup plus d’élus MoDem à Lyon qu’en ayant opté pour une seule stratégie car figurant sur les trois listes. Après les élections municipales, il appartiendra au MoDem lyonnais de se retrouver et de travailler ensemble.
Pour avoir un point de vue d’un militant lyonnais que je connais bien, je vous invite à lire la note de Quentin Thévenon.
Jérôme Charré
Lyon est depuis longtemps une ville qui pratique depuis la Révolution le centrisme et le consensus. Elle est une ville à priori favorable au Mouvement Démocrate. Mais, c’est dans la capitale des Gaules que le MoDem a implosé. Quel étonnant paradoxe !
J’ai suivi cette tragédie lyonnaise, de loin. Je ne connais pas tous les tenants et les aboutissants, mais je regrette ce qui vient de se passer.
Je crois que les événements du MoDem lyonnais, et d’après ce que j’entends ou lis, ici ou là, pour d’autres villes, nous obligera à réfléchir collectivement sur notre stratégie d’alliance, notre fonctionnement interne, notre respect des décisions.
Ainsi, à Lyon, trois stratégies sont possibles. Soit le MoDem s’allie à Dominique Perben, et Michel Mercier peut espérer conserver son siège de président du Conseil général. Soit il s’allie à Gérard Collomb. Soit, enfin, le MoDem présente sa propre liste.
Ne connaissant pas la situation, je ne me permettrai pas d’avoir un jugement. Chacune des possibilités d’alliance a ses avantages et ses inconvénients.
Néanmoins, malgré cette implosion, nous pouvons espérer avoir beaucoup plus d’élus MoDem à Lyon qu’en ayant opté pour une seule stratégie car figurant sur les trois listes. Après les élections municipales, il appartiendra au MoDem lyonnais de se retrouver et de travailler ensemble.
Pour avoir un point de vue d’un militant lyonnais que je connais bien, je vous invite à lire la note de Quentin Thévenon.
Jérôme Charré
Lire la suite sur: http://www.jerome-charre.fr/2008/02/a-lyon-aprs-la.html.