Parce qu’ ils savent se détacher du superflu et se "nourrir" de l’essentiel dans tous les sens du terme , une histoire de peuples qui ne meurent que de vieillesse...
Dans l’île japonaise d’ Okinawa, ce n’est pas seulement l’exceptionnelle longévité des habitants qui intrigue mais surtout la qualité de vie des ses habitants : l’île ne compte que 3% de centenaires grabataires. On pourrait imaginer un patrimoine génétique extraordinaire ou une situation géographique et environnementale particulièrement favorable et il n’en est rien car les jeunes insulaires qui ont adopté un mode de vie occidental ne bénéficient pas des protections sanitaires de leurs aînés : leur niveau de santé est celui de tous les Japonais.
Les performances de santé de ces insulaires sont telles que les incidences des accidents cardio ou cérébro-vasculaires sont très faibles avec des analyses sanguines qui font pâlir d’envie. Les cancers les plus banals dans les pays occidentaux comme le cancer du sein chez les femmes ou celui de la prostate chez les hommes sont environ 80% moins fréquents chez les habitants d’Okinawa, sans parler de l’ostéoporose qui, si elle apparaît, le fait tardivement et avec un nombre faible d’incidence de fractures du col du fémur car la densité osseuse reste très élevée et ce sans substituts hormonaux.
Toutes ces informations ont été publiées à la suite d’une grande étude lancée en 1976 par le ministère de la santé japonais (Okinawa Centenarian Study) et qui a consisté en le suivi sur de nombreuses années de centaines d’habitants à l’âge de 70, 80, 90 et 100 ans. Elle mène naturellement vers une conclusion simple : le régime alimentaire est l’élément déterminant de cette santé insolente.
Le voici :
– la pratique du « hara hachi bu » qui consiste en le fait de ne manger qu’à 80% de sa faim.
– La consommation très réduite de viande et laitages
– La consommation importante de légumes et de céréales
– Peu de sucre, peu de sel, très peu d’alcool
the okinawa diet food pyramid
C’est au même type de conclusion que sont parvenus les chercheurs qui ont étudié le peuple équatorien de la Vallée des Centenaires. Dans le village de Vilcabamba sur la Cordillère des Andes on dit que la mort est partie en vacances car on ne compte plus le nombre de centenaires. A nouveau, l’alimentation est frugale, peu calorique, et quasi végétarienne avec des périodes de restrictions.
Enfin, le peuple pakistanais Hounzas vivant dans l’Himalaya constitue également un modèle de santé. Leur régime alimentaire est essentiellement composé de fruits, céréales et légumes, de viande maigre en petite quantité. A la sortie de l’hiver, les privations sont plus claires encore car les vivres sont très bas. Pourtant, aucune carence n’est à déplorer ; au contraire les anciens jouissent d’une vue et d’une ouie excellentes ; les dents et la peau sont en bonne forme ; ils ne connaissent pas les maladies dégénératives : ni cancer, ni diabète, ni sclérose en plaque, ni maladies cardio-vasculaires.
Source : moohve.org
Eh oui! Bon, mais Noël arrive… Aïe ! Déjà qu’on bouffe trop…! 🙂
Pour ma part , toutes les inégalités et injustices me ramènent à la réalité d’une supercherie commerciale et je n’ai pas envie de me gaver , quand d’autres n’ont rien .