Le Président Colombien continue inexorablement à bloquer le processus d'une éventuelle libération d'Ingrid Betancourt. Son homologue Vénézuelien, Hugo Chavez, est désireux d'endosser le rôle de médiateur, soutenu dans sa démarche par de nombreux pays d'Amérique latine, ainsi que par la France et les Etats-Unis…
Que se passe-t-il dans l'esprit retors du Président Colombien, Alvaro Uribe. L'homme s'ingénie depuis de nombreuses années, à bloquer tout processus de libérations des otages des FARC. A force d'agir, contre tous les principes de diplomatie, l'opinion publique va finir par croire, que le Président Colombien ne voit pas dans la libération des otages, un acte humanitaire.
Qu'on aime ou qu'on n'aime pas Hugo Chavez, importe peu.
Le Président Vénézuelien fait pression sur Alvaro Uribe, le poussant à faciliter, une entrevue avec le chef des FARC. Hugo Chavez parviendra-t-il, ce vendredi, à faire plier l'inflexible Président Colombien. Plus de cinq années, ou la famille d'Ingrid Betancourt, ainsi que celles des autres otages, sont suspendues aux décisions grotesques d'Alvaro Uribe.
Son obstination a refusé le dialogue et le compromis ne révèle que sa bétise. Le Président Colombien poursuit sa croisade contre la guérilla, ne faisant aucune concession, quelle complexité. Le Président Colombien n'inspire que défiance.
En cas de refus, ce vendredi, dans le processus enclanché par Hugo Chavez, ce qui n'est bien évidemment pas souhaitable, le doute ne sera plus permis. On ne pourra alors plus parler d'obstination, mais bien d'une réelle volonté à ne pas vouloir la libération des otages.
La voie diplomatique semble impuissante, un homme se dressant et empêchant toute bonne volonté d'action. Il serait temps d'envisager des moyens légaux pour intervenir de manière radicale. Poursuivre ou agir…
Pétition pour la libération d’Ingrid et des otages
Signez la pétition pour la libération d’Ingrid Betancourt et des otages de Colombie sur http://www.ingridbetancourt-idf.com
DE MEDELLIN À MOSCOU AVEC BROWN & ROOTLa Société D’Halliburton du nom de Brown & Root est un des composants principaux de l’Empire de la Drogue de Bush-Cheney. Le succès du co-listier de Bush à la vice présidence, Richard Cheney, chef de file d’Halliburton Inc. grâce à des contrats fédéraux au montant de $3.8 milliards échelonnés sur cinq ans avec des prêts guarantis par les contribuables, n’est seulement qu’un ‘indice partiel’ de ce qui peut arriver, maintenant que Bush a gagné les élections présidentielles américaines.
Un regard plus approfondi dans la recherche disponible, incluant un rapport fait par le Centre pour l’Intégrité Publique (CPI) (www.public-i.org), le 2 août 2000, suggère que l’argent de la drogue ait joué un rôle dans le succès réalisé par Halliburton sous la tenure de Cheney comme PDG de 1995 à 2000. C’est particulièrement vrai pour la plus célèbre subsidiaire d’ Halliburton, Brown & Root, le géant de la Méga-Construction et du pétrole. Si on jette un coup d’oeil dans l’histoire qui révèle le passé de Brown & Root -aussi bien que celui de Dick Cheney – on voit qu’ils ont été reliés au trafic international de la drogue à plus d’une occasion et de plusieurs façons.
-aussi bien que celui de Dick Cheney – on voit qu’ils ont été reliés au trafic international de la drogue à plus d’une occasion et de plusieurs façons.