Vous n’allez pas me croire, et pourtant, je peux vous assurer que ce ne sont pas les Skinheads de Marine Le Pen, à qui l’on pourrait reprocher un racisme forcené, qui ont dénoncé Omar Borkan à la Police.

Encore moins des policiers français, peu scrupuleux qui lui auraient demandé de présenter ses papiers  sur un simple regard perçant (et langoureux..)

 

Quelle histoire…

Omar Borkan Al Gala, originaire de Dubaï, photographe, poète et acteur à ses heures, a du rentrer chez lui "séance tenante" :

Lors d’un déplacement en Arabie Saoudite pour le festival Jenadrivah Heritage and Cultural Festival, il s’est fait renvoyer dans son pays, en compagnie de deux de ses compatriotes, par le Comité pour la promotion de la vertu et la prévention du vice, la police religieuse saoudienne.

 

Et pourtant :

Il n’a tué personne, ne vend pas de drogue, ne papouille pas les petits enfants, enfin bref un musulman normal, qui pourrait se fondre dans la foule, s’il n’avait un gros défaut aux yeux des hommes saoudiens.

Omar, est beau comme un Dieu antique (enfin à la mode saoudienne)

 

Figurez vous que les hommes saoudiens, l’envient, mais surtout en sont jaloux au point de le virer de leur territoire, sans autre argument que son physique de jeune premier.

Bon, c’est vrai, les femmes saoudiennes tombent en pamoison devant cet « ange » venu d’un pays voisin.

La foule, tout sexe confondu, n’a d’yeux que pour le visage, le corps, le sourire de cet Adonis aux cheveux de jais et à la peau bronzée.

 

La Police religieuse n’appréciant pas le charme du garçon, l’aurait jugé dangereux et aurait eu peur des réactions des femmes devant une si grande perfection, (dixit un journal local.)

L’Arabie Saoudite est un pays très conservateur. Les organisations des droits de l’homme émettent très souvent de nombreuses critiques concernant la politique de discrimination envers les femmes.

 

Quel esclavagisme, quelle discrimination !

Sont-ils si laids ces saoudiens pour craindre ce bel homme ?

 

Il serait peut être temps que je vous le présente, cet Omar Borkan Al Gala.

J’ai gardé le meilleur pour la fin, et ne vous ai pas mis de photo, juste pour attiser votre curiosité.

Régalez vous.

Mais avant de le voir défiler tout au long de cette vidéo, je vous signale qu’il a une page Facebook, et qu’il collectionne déjà plus de 93 mille admiratrices.

Si le cœur vous en dit, vous pouvez toujours faire une demande d’amitié, après tout….

 

Faciès, vous avez dit faciès ?

À vous de juger : moi je prends tout de suite, et vous ?

 

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