Pour commencer, je dois dire que Guillaume MUSSO est un de mes auteurs préféré. Je trouve son écriture formidable, inventive, novatrice, intrigante… Ses romans sont toujours pleins de sentiments, d’amour, de haine, d’amitié… Certains, et ce le cas notamment de ces deux derniers romans sont même de vrais thrillers. 

               Mais je voudrais vous parler particulièrement de son dernier roman : 7 ans après, car c’est la première fois que je referme un de ses livres en étant un peu déçue. Et en en parlant autour de moi je me suis rendue compte que je n’étais pas la seule à avoir ce sentiment. C’est un MUSSO il est quand même à lire et pleins de bonnes choses mais… déjà, et c’est une des choses qui m’a le plus manqué : il n’y a plus de citations au début de chaque chapitre !!! Pourtant cela était important pour lui comme il l’a écrit dans L’appel de l’ange : « Un dernier mot. Depuis des années, je note les phrases qui me font rêver ou rire, qui m’émeuvent ou même qui m’impressionnent. Elles viennent, livres après livre, appuyer ce que j’essaie de transmettre à travers un chapitre ou un autre. Les lecteurs français et étrangers s’y sont attachés et je reçois de plus en plus de messages me demandant d’où je les tire. C’est pourquoi l’on trouvera ci-après une liste de références. Je suis heureux que ces exergues soient des portes ouvertes sur l’univers d’un autre auteur. » 

               Je trouve que c’est vrai, et je fais partie de ses lecteurs qui se sont attachés à ses phrases et c’est un gros manque dans son dernier livre, c’était une vraie marque de son style. Malgré ça, l’histoire est intéressante, le changement de décors également, New York, Paris, la jungle amazonienne… C’est toujours aussi bien décrit on a vraiment l’impression de se balader dans les rues de Paris avec les héros. Mais une autre déception j’ai trouvé la toute fin un peu attendue (non je n’en dirai pas plus il faut lire le roman). C’est une fin qui nous trotte dans la tête des les premiers chapitres du roman. J’aimerai beaucoup savoir ce que vous, vous avez pensé de ce roman à votre tour.