Certaines études publiées récemment par différents pays, mettent en évidence que  beaucoup  d’entre nous deviennent accros aux nouvelles technologies et  ne peuvent concevoir leur vie sans  portable ou  Smartphone. A l’inverse d’autres personnes sont allergiques à ces technologies les considérant comme une forme d’aliénation et ressentent de l’angoisse face au progrès. Et vous qu’en pensez-vous ?

La «nomophobie » est une expression anglo-saxonne qui désigne le fait d’être en état de panique totale, dès que l’on n’a plus son téléphone portable ou tout autre appareil similaire à portée de main. Cette addiction sans limite qui touche près de 65 % de la population est l’un des symptômes générés par le développement de l’ère multimédia,  elle a pour conséquence de déclencher des comportements anxieux  qui peuvent mettre plus ou moins en péril l’état psychique des individus.

Ce phénomène s’est encore amplifié avec l’arrivée de Smartphones et des forfaits illimités qui permettent d’accéder à une multitude de services. Dès que l’on a besoin d’une information on recherche sur notre mobile et l’on a  une réponse immédiate à toutes nos interrogations.

Ce sont surtout les jeunes qui sont les plus concernés par ce syndrome, mais cela ne veut pas dire les autres catégories d’âge ne sont pas pour autant concernés. Pour beaucoup d’individus le mobile est devenu un grigri, un doudou que l’on doit toujours avoir avec soi.

Les français semblent cependant un peu moins « addicts » que les anglais dans la mesure où ils sont près de 50 % à affirmer qu’ils pourraient passer plus d’une journée sans leur portables et ils font partie de ceux qui respectent le plus les journées sans portable qui ont été instaurées depuis plusieurs années.

A l’inverse, vous avez une autre catégorie de personnes que l’on appelle les « technophobes » qui s’insurgent contre toutes les nanotechnologies et sont allergiques à l’évolution de toutes  avancées technologiques aussi bien au niveau des mobiles que des ordinateurs. Elles les accusent d’aliéner l’homme et de supprimer le lien social.

Vous reconnaissez-vous au travers de toutes ces phobies ?