Ce n'est plus de le passion mais de la rage qui rassemble les français autour du thème "Sarkozy".
Les jugements portés sur les uns ou les autres sentent le réchauffé et sont le reflet de l'étroitesse d'esprit de certains…
Une critique est émise à l'égard de Nicolâââ et voila ressortis, pêle-mêle: Marchais, Ceaucescu, Mitterand, Bousquet et compagnie.
Comme disait "l'autre", il faut raison garder!
Quel rapport entre Hollande et Ceaucescu, entre Moscovici et Staline??? A la vérité aucun si on a la prétention d'être un démocrate respectueux et avisé. La caricature à outrance a ses limites…elle décrédibilise celui qui en abuse.
On se fiche pas mal de la location des Sarkozy…jusqu'à ce que la presse en fasse ses "choux-gras". C'était la même chose pour Mazarine ! Seulement notre bon président est un roi de la com qui a cru pouvoir manipuler la presse à sa guise, en faire un outil de sa promotion. Comme pour une star du showbiz, il y a le revers de la médaille. Et la force du symbole reste, que vous le vouliez ou non, le meilleur vecteur d'enthousiasme ou de rejet.
Le staff de monsieur Sarkozy commence à comprendre la force des symboles. Il se peut qu'il soit trop tard et que le doute s'immisce dans l'esprit de l'opinion. Le symbole du président ami des "puissants" qui pavane dans l'ostentation, alors que 40 pour cent de ses concitoyens n'ont pas l'ombre du Kopeck nécessaire à une villégiature à Berk-Plage, causera des dégâts autrement plus néfaste pour sa crédibilité à court terme.
Demander des sacrifices: oui , car le temps est aux sacrifices pour donner au pays une chance de rebondir ,à condition de ne pas renvoyer une image contradictoire dans la pratique.CQFD