Par la cupidité de quelques uns, toutes les industries meurent, une à une, complètement … et laissent des champs de ruines… particulièrement en France… et en Europe.

Aventuriers de tous poils, industriels ratés, défroqués, cadres en mal de reconnaissance, tout ce petit monde a commis le pire des crime: participer à la mise à mort de notre civilisation avec l’aide indirecte de syndicats aveugles et revanchards, le couteau entre les dents pour faire peur aux patrons parfois méritants qui, sous le coup de la colère ou de l’angoisse ont choisi la fuite (même pas en avant)

Dès les premières alertes commerciales de pénétrations « chinoises » (pour ne pas les nommer) dans un secteur industriel quelconque, c’est la ruée là-bas pour trouver un sous-traitant qui pourra protéger le train de vie de tel ou tel dirigeant d’entreprise et lui permettre de rémunérer ses complices, caprices (pardon, ses actionnaires), manque de chance, peu habitué aux us et coutumes des communistes de cet empire, la faute est commise: ignorer la substance profonde d’un accord « à la chinoise »: le meilleur contrat pour un membre « du milieu » c’est celui qui permet d’uriner dessus une fois qu’il est signé et ainsi copier servilement les produits pour les vendre derrière le dos de l’imprudent.

Quant aux politiques de tous poils, ils ne valent guère mieux! de la gauche haineuse à la droite cupide (ou l’inverse, je ne sais plus) ils s’entendent à se mêler de tout, essayant de faire semblant de se rendre utiles et nécessaires surtout quand on ne leur demande rien, mais ayant pompé par des impôts iniques les trésoreries de chacun pour s’approprier le dernier mot, ils s’invitent sans vergogne à la table des discussions pour se valoriser impunément (en gonflant leur poitrine) et faire accroire à leur sens républicain, de dévouement à la chose publique et à leur valeur intrinsèque: ne les croyez pas, ce sont des usurpateurs de la démocratie, rien de moins, leurs incompétences crèvent les yeux (certains d’entr’eux ont probablement suivi des cours de théâtre y compris dramatique par coachs interposés).

Combien de PME sont mortes du fait des princes concussionnaires, des lobbies vendus, des combinaisons syndicales puantes et assassines, des patrons voyous ? Sachez en conclusion qu’une seule vermine de patron ou un cadre félon peut à lui tout seul (et incognito) détruire tout un secteur d’activité manufacturière.