se défend mieux qu’on le pense à l’espionnage Sioniste.
Ses larges frontières avec l’Irak, l’Afghanistan, le Kurdistan, l’Azerbaïdjan, le Pakistan, pays sous influence Américaine offrent de grandes possibilités d’infiltration d’espions tant Américains qu’Israéliens.
L’Iran l’ennemi juré du Sionisme international mais aussi du monde Occidental subi depuis des décennies des menaces Israéliennes contre le développement de son industrie nucléaire. Il est soupçonné de construire l’arme nucléaire qui le rendrait incontournable comme puissance nucléaire dans la région, au même titre qu’Israël qui ne reconnaît pas à l’Agence internationale de sécurité nucléaire de visiter ses installations à la Centrale de Dimona qui est à usage civil. Israël n’a jamais reconnu disposer d’un arsenal nucléaire, mais selon des experts étrangers, le réacteur de Dimona, créé avec l’aide de la France en 1965, voir, comment la France a aidé à avoir la bombe atomique, lui a permis de se doter de 200 ogives nucléaires, on parle même de 400 et de lanceurs. Israël n’a pas adhéré au Traité de Non Prolifération nucléaire, TNP, prévoyant des contrôles internationaux sur les installations, alors que l’Iran oui. En outre, Téhéran accepte la supervision de l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique, alors que Tel-Aviv non. Plusieurs fois le directeur de cette Agence internationale affirme n’avoir constaté aucune déviation.
Ce ne serait plus vrai. L’intensité de l’espionnage terrestre et même aérien par des drones Américains aurait été relatée au dernier rapport de l’AIEA de novembre qui accumulerait les preuves des visées militaires Iraniennes. Vrai ou faux, nul ne sait l’AIEA n’est pas sans être sous influence Américaine, rappelez-vous l’invasion de l’Irak ou aucune arme nucléaire n’a été trouvée. La guerre d’Irak déclenchée sur cette fausse affirmation a détruit un pays avec pour seul but d’effacer Saddam Hussein, on n’en voit le résultat aujourd’hui, un pays soumis au terrorisme clanique.
En 2003 Avner Cohen l’auteur du livre «Israël et la bombe» développant le programme nucléaire Israélien aurait été interrogé pendant 50 heures par la police qui le soupçonnait de porter atteinte à la sécurité de l’État. Selon les médias Israéliens, les soupçons porteraient sur des informations secrètes de l’armement nucléaire de l’État hébreu divulguées dans son ouvrage. Ce dossier est couvert par la censure militaire. Selon le quotidien Haaretz le Premier ministre Ariel Sharon, à cette époque, avait l’intention de maintenir l’ambiguïté sur les capacités nucléaires d’Israël. Dans cette guerre de l’ombre, l’espionnage est roi.
L’argument Sioniste est que Téhéran fabrique un armement nucléaire dans les profondeurs de ses montagnes pour soutenir le terrorisme et menacer le monde. Jusqu’à présent le pays au Moyen-Orient qui menace une paix fragile est bien Israël par son hégémonie colonisatrice des territoires Palestiniens. Et puis, que Téhéran ait sa bombe, cela équilibrerait la domination d’Israël au Moyen-Orient. La Corée du Nord, bien plus dangereuse que l’Iran, et soutenue par la Chine, possède sa bombe et tout le monde se tait. Tant que les grands dirigeants du monde appliqueront cette injustice celui-ci sera une source de conflits.
La députée Iranienne Zohre Elahian membre de la commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du parlement Iranien, a déclaré que le Mossad israélien, la CIA américaine et le MI6 britannique ont établi des centres d’espionnage dans les frontières Ouest, Nord et Est de l’Iran. Ces dernières années un certain nombre d’espions Américains et Israéliens ont été arrêtés. Elle a par ailleurs affirmé que l’Iran teste sa capacité à fermer le détroit d’Ormuz. «Si l’Iran est menacé, la République islamique est capable de fermer le détroit d’Ormuz».
En 2009 trois randonneurs Américains ont été accusés d’espionnage pour avoir pénétré illégalement dans le pays. La randonneuse, Sarah Shourd, a été libéré en 2010 contre une caution de 500 000 dollars Américains, et les deux autres, Shane Bauer et Josh Fattal, ont été libérés en septembre 2011, également sur une caution de 500 000 dollars chacun. Le 18 décembre 2011 la télévision Iranienne à diffusé des images montrant un jeune homme présenté comme un agent de la CIA, qui confessa avoir pour «mission» d’infiltrer le ministère du Renseignement. La chaîne télévisée a déclaré le jeune homme comme étant Amir Mirza Hekmati, né en Arizona. Voici la capture d’écran de cette vidéo.
Celui-ci parle couramment farsi dans la vidéo ainsi que l’Anglais avec un accent Américain, et la chaîne indique qu’il parle aussi arabe. Sa mission serait de transmettre aux Iraniens des informations copiées a partir d’un site de la CIA pour attirer leur attention. Il travaillait pour un centre d’espionnage à Bagram une localité d’Afghanistan à 60 km au Nord-Ouest de Kaboul, ou il recevait un entrainement à la base Américaine. Il a fait plusieurs voyages dont à Dubaï ou il y serait resté 2 jours avant d’acheter un billet pour Téhéran. Selon la télévision Iranienne, le jeune homme a travaillé de 2005 à 2007 pour l’Agence pour les projets de recherche avancée de défense (DRAPA) liée au Pentagone. La vidéo de l’espion diffusée par les Iraniens.
Il a ensuite fait partie de l’entreprise de jeux vidéo Kuma Games,spécialisées dans les jeux de guerre, selon la chaîne, qui affirme que cette entreprise a été fondée par la CIA pour influencer l’opinion publique via les jeux vidéo. Il aurait ensuite travaillé pour l’entreprise de renseignement Cubic, puis le groupe britannique de défense BAE Systems.
Le 04 décembre 2011 un drone Américain RQ-170 a été neutralisé par les services Iraniens. Les services de renseignement Européens affirment, que l’Iran, par une technologie de pointe de brouillage au laser aurait rendu le satellite de guidage du drone, qui avait décollé d’Afghanistan, complètement aveugle, et l’avait fait atterrir en douceur sur une de leurs bases aériennes après avoir neutralisé ses systèmes de sécurité. Cet exploit a stupéfait l’Occident. L’appareil avait pénétré l’espace aérien Iranien, le croyant indétectable pour l’avoir effectué précédemment à plusieurs reprises, sur une profondeur de 225 km au nord-est du pays. Survolant Kāshmar, capitale de la province de Razavi Khorasan. C’est la première fois qu’un incident de ce type est enregistré. Ce constat pourrait indiquer que l’Iran a désormais accès à une technologie capable de détecter des véhicules automatiques aériens, une technologie qui lui a peut-être été fournie par la Russie.
Certains rapports établissent que la Russie aurait vendu, à l’Iran, un système de brouillage très sophistiqué, il y a peu de temps, a commenté John Bolton, ancien ambassadeur des États-Unis à l’ONU. «Nos militaires disent que c’est faux, que le satellite est tombé à cause d’un dysfonctionnement. J’espère sincèrement que c’est la vérité, car si la Russie a fourni à l’Iran du matériel de brouillage sophistiqué, cela implique bien d’autres risques», référence GUYSEN NEWS, international.
Le drone RQ-170 est à long rayon d’action capable de voler à 15 000 mètres d’altitude, sa forme en delta lui donne une envergure de 26 mètres en largeur, 4,5 mètres en longueur, 1,84 en hauteur. Équipé d’un réacteur Général Electric TF34 connu pour sa robustesse et sa fiabilité. Son équipement, son «design et son avionique», sont dérivés du bombardier B-2, réputé indétectable par tout système radar. D’où son qualificatif de «furtif» selon l’expression technique, «stealth» en Anglais.
Référence, A contre courant Georges Stanecky
Il embarque le dernier cri de ce que science et technique ont pu créer sur le plan de la détection, de la surveillance, du radioguidage, et des transmissions cryptées, interception de communications, prélèvement par capteurs, sniffers, d’émanations chimiques ou radioactives même à doses infimes, prise de photos et de films par tous temps et toutes résolutions de nuit comme de jour, identification des positions radars ennemies, centres de commandements, localisation de bunkers et souterrains, etc. Cet appareil avait servi à retransmettre en direct l’assaut des forces spéciales Américaines contre le repaire d’Oussama Ben Laden à Abbotabad, au Pakistan.
L’ambassadeur Iranien à l’ONU parle d’un engin «abattu». Washington assure que l’appareil patrouillait au-dessus de l’Afghanistan, avant de ne plus répondre aux ordres pour aller se perdre à 250 km à l’intérieur de l’Iran, près de Tabas. En théorie, les RQ-170, qui partent de Shindand, dans l’Ouest Afghan, sont dotés d’un système automatique de retour à la base en cas de perte de contrôle. L’appareil intercepté semble intact.
Cet incident intervient quelques jours après la destruction d’une base de missiles des pasdarans, à 40 km de Téhéran. Le plus haut responsable du programme de missiles balistiques Iranien, le général Hassan Moghadam, serait mort dans l’explosion, d’origine officiellement accidentelle. La base servait, d’après des services de renseignement occidentaux, à mettre au point des missiles propulsés par du combustible solide, plus difficile à détecter. Des photos satellites ont montré depuis des dégâts majeurs sur la base, dus, selon plusieurs observateurs, à une possible attaque par un drone armé de missiles plutôt qu’à un accident en chaîne.
Le Jeudi 15 décembre, le président de la société Google, Eric Schmidt, interviewé par CNN, a mis en garde contre l’inexplicable savoir-faire Iranien en matière de cybernétique, «Les iraniens ont un talent inhabituel en matière de guerre cybernétique, et nous ne comprenons pas vraiment pourquoi», a-t-il commenté.
Ces informations sont importantes car elles sous entendent une guerre Sioniste larvée contre l’Iran. L’espionnage étant la première des actions avant le début des opérations. Il est regrettable que les grands médias télévisuels gardent sous silence de telles informations. Un conflit armé contre l’Iran conduirait à un embrassement général de cette région moyenne-orientale.
« Il a ensuite fait partie de l’entreprise de jeux vidéo Kuma Games,
spécialisées dans les jeux de guerre, selon la chaîne, qui affirme
que [b]cette entreprise a été fondée par la CIA pour influencer
l’opinion publique via les jeux vidéo.[/b] »
ON VOIT LA, TOUTE LA MALFAISANCE DE LA CIA ,ANIDO !!!
En fait les Stats se croit les maitres du monde alors que le maitre du monde va bientôt se manifester et la finit de rigoler.
Pas d’accord, les médias petits et grands évoquent sans cesse la « problématique » iranienne…..
Faites une recherche google en tapant les mots iran et nucléaire , vous trouverez
environ [u]9.550.000 résultats …!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/u]
recherche google en tapant : iran et nucléaire =9.550.000 résultats (0,10 secondes)
[b]Bonsoir à tous,
[/b]
Merci de vos commentaires.
liberti(n)us, je n’ai pas trouver sur google 9.550.000 résultats en 0,1 seconde mais environ 1490.
Mon propos porte sur les informations télévisuelles, pas sur la presse écrite qui, elles existent.
Quelques soient les opinions, il faut cesser cette guerre larvée contre l’Iran, elle est porteuse d’un conflit mondial.
L’Iran c’est 78 millions d’habitants, L’Irak c’est 32 millions d’habitants, et ce pays est encore en proie à des luttes civiles. Les Américains n’ont rien résolu, n’ont faits que des morts et la misère de ce peuple. De la même façon, avec l’Afghanistan il n’y y arriveront pas, les Talibans prendront le pouvoir quand ils le voudront. On ne peut lutter contre ces religions ancestrales il faut s’en persuader.
Dès lors que l’Iran n’attaque personne il faut le laisser tranquille, c’est à son peuple de faire sa révolution, pas à nous.
Nous avons déjà fait une énorme connerie sous Giscard en hébergeant ce fou de Khoméini inutile d’en faire d’autres.
Bien à vous,
Anido
C’est la crise la plus importante de ce début d’année [u]et pourtant personne n’en parle [/u]: les autorités pakistanaises n’ont pas encore décidé du sort des trois gardes-frontières iraniens détenus pour avoir prétendument passé la frontière illégalement avant de tuer un haut fonctionnaire du gouvernement. [b]Un cassus beli qui pourrait mener la région dans une intense obscurité nucléaire…
[/b]
Soldats pakistanais
L’incident est survenu le 1er janvier dans la zone de Mazah (province du Baloutchistan). Une région de désolation, inhabitée, où la frontière n’est pas clairement marquée. Les soldats iraniens auraient tiré, tué un homme et blessé un autre. La victime est un haut fonctionnaire pakistanais. Téhéran préfère parler d’un contrebandier (astuce utilisée la semaine dernière lors du massacre de Kurdes par l’allié iranien Turc).
Téhéran admet cependant que les soldats sont “entrés par accident” au Pakistan, après une “course poursuite”.
Un “fait divers” pour le moins intéressant alors que le cerveau de la bombe pakistanaise, est accusé par les Etats-Unis d’avoir vendu ses connaissances aux Iraniens…
Amos Lerah – JSSNews
[b]liberti(n)us[/b] bonsoir,
Je n’ai jamais prétendu que les Ayatollahs étaient des gens que j’appréciais, justement laissons les faire dans leur pays ce qu’ils veulent, ils seront un jour balayés par leur peuple, il suffit d’attendre.
Bien à vous,
Anido