Un Hymne à l’Amour…
Une raison des blessures et du doute inconcevable trame petit à petit le tissu d’un amour d’éternité.
A Mathilde Urrutia
La dernière élue de son coeur….
Ma dame très aimée, grande fut ma souffrance à t’écrire ces sonnets mal nommés, qui m’ont coûté grand’peine et grand’douleur, mais la joie de te les offrir est plus ample qu’une prairie…..Voilà donc mes raisons d’amour et cette centaine est à toi: sonnets de bois qui ne sont là que de cette vie qu’ils te doivent
Octobre 1959
Ainsi se lève le rideau sur "La centaine d’amour" dédiée à Mathilde
Au matin, Au midi, Au soir, A la nuit
Un face à face de l’écrit en espagnol et celui en français de chaque sonnet. (traduction de Jean Marcenac et André Bonhomme)
Cien sonetos de amo
Matin ( mañana ) 32 sonnets pour nous présenter cette passion qui se consume dans un horizon poétique enflammé!
Oh envie moi de ta bouche qui me brûle
…
Comme un bûcher allumé dans les bois c’est le feu qui est ton royaume
Et je te cherche, et je cherche ton coeur brûlant
Midi ( Mediodia ) 21 sonnets, la passion installée est à son Zénith
Moi je t’aime afin de commencer à t’aimer
afin de pouvoir recommencer l’infini
…
mon amour a deux existences pour t’aimer
pour cela je t’aime quand je ne t’aime pas
et c’est pour cela que je t’aime quand je t’aime
Soir ( tarde ) dans ces 26 sonnets une ombre plane sur cette ferveur…
songes furieux, fleuves d’amères certitude
…
Ronces, verres brisés, larmes et maladies
Assiègent joue et nuit le miel de tout bonheur
Nuit ( noche ) le sommeil guette, on sent le passé amoureux s’installer pendant 21 sonnets…le mot solitude apparaît
toi que j’aimais, que je chantais par dessus tout
…
l’amour une Haute vague entre toutes les vagues
Dans cette "Centaine d’amour" chaque page distille la Passion Sensuelle et Charnelle de deux êtres qui devaient tant s’aimer…
100 sonnets écrits sans rimes au rythme d’une journée scindée en quatre moments essentiels
Je souhaite rajouter que….
J’aurai aimé être adulée comme le fut Mathilde par Pablo……
Je suis une passionnée..J’aime ou je déteste
Un Zest de romance teinté d’humour parfois acerbe……
Je suis entrée dans un monde de rêves dans lequel règne un ennemi…Le Temps!
Le Temps que l’on commence à gérer lorsqu’il est trop tard
La raison qui s’achève et l’espoir qui peut naître d’un nouvel émoi
Nous ferons le partage des regrets bien plus tard….
Amis souvenez vous de Moi…
il n’y a pas de plaisir sans peine point de bonheur sans nuages..
Papillotte
Vous trouverez dans cet ouvrage :
- 100 déclarations plus sensuellement charnelles demeurent pour toujours
- 100 déclarations qui sonnent à l’unisson à chaque heure d’un jour
- La centaine d’Amour brûle à chaque page
- La centaine d’Amour est bien plus qu’un Hommage
- Un recueil aux quatre temps d’un jour
- Un recueil aux quatre mains qui s’unissent
- Des pages de mots et d’images d’amour
- Des pages qui parfois d’ombrage se munissent
Enfin une étreinte embrassant chaque recoin de l’image de celle qu’il aimait peindre avec ses mots emplis de douceur et de chaleur mais sans aucune compassion qui viendrait ternir cette union passionnée que fut la leur.
Adulée mais tu l’es
Que faut il pour te le prouver
Cent sonnets!
Là tu vas me sonner
Je fais ce que peux
Mais tu demande plus que je ne peux
Me changer en homme
Ce n’est pas mon dogme
Se souvenir de toi
Mais on ne pense qu’à toi …..ah je reviens sur Pablo et Mathilde amour….
On sent la progression de l’amour de l’aurore au crépuscule
Aurore que celle de notre vie
Amour qui commence
Crépuscule de la vie
La vie qui nous quitte nous laissant
Seuls avec nos souvenirs blessant
L’amour et les chaos de la vie
Une belle idée de découper la vie
De rendre hommage à ces instants de vie
Des moments qui mènent de la passion
Aux tensions, aux
« Moi je t’aime afin de commencer à t’aimer
afin de pouvoir recommencer l’infini
…
mon amour a deux existences pour t’aimer
pour cela je t’aime quand je ne t’aime pas
et c’est pour cela que je t’aime quand je t’aime »
Midi est vraiment ma partie préférée
L’idée de tellement aimer que l’on aime quand l’on ne peut aimer…Voilà un sonnet que je
ne connaissais pas et que je trouve véritablement excellent.
[i]De l’aurore au crépuscule[/i] voici donc Red Butterfly le cheminement de cet amour
Oui une subtile découpe
un crescendo sensoriel somptueusement mené
jamais malmené
Juste maitrisé
[quote]Midi est vraiment ma partie préférée
L’idée de tellement aimer que l’on aime quand l’on ne peut aimer…Voilà un sonnet que je
ne connaissais pas et que je trouve véritablement excellent. [/quote]
Je te le partagerai volontiers
Mais s’il te plait tout entier
je ne saurai me garder de ce partage
D’un recueil qui traversera tous les âges
« Le Temps que l’on commence à gérer lorsqu’il est trop tard
La raison qui s’achève et l’espoir qui peut naître d’un nouvel émoi
Nous ferons le partage des regrets bien plus tard….
Amis souvenez vous de Moi.. ».
L’ennemi de l’amour est le temps
Le temps dont on prend conscience si tard
Et parfois quand on se dit qu’il est trop tard
Perdre la raison et conserver l’espoir
L’espoir de sortir notre trou trop noir
Et de connaître encore la passion
Quand la vie oscille entre raison et passion
On reste parfois avec notre désespoir
Une fin écrite de ta plume passionnée laisse des traces d’amour sous ce texte si passionné, cette ode à l’amour
L’amour qui dure toujours
Une belle leçon de Pablo Neruda reprise pas la plume d’une Papillotte enflammée
C’est vrai complètement intemporel, j’ai vu que j’avais oublié un mot la haut c’est tout moi ça noyée dans cette écrit qui m’habite et me hante, j’imaginais leur vis et le moment où il écrivit tout son amour, du coup ma plume m’a échappée, elle fait vraiment ce qu’elle veut!
[quote]Une belle leçon de Pablo Neruda reprise pas la plume d’une Papillotte enflammée [/quote]
Oui Red Butterfly…enflammée je le suis mais le Pablo à mes côtés bien qu’hidalgo n’a rien d’un poète
[i]dans une vie peut être [/i]
;D une autre vie voulais je dire !
Là je ne peux m’arrêter de rire ton Hidalgo est pas mal si je puis me permettre ;o) restons sérieuse….Pas poète il faut dire qu’il n’y en a pas beaucoup alors hidalgo et poère tu en demandes trop….
Voeux refusé mdrrr…
Une autre vie on peut changer de suite où on doit terminer celle ci?
Puis je,sans vous froisser,ma mie,entrer dans votre chant de vie,dans votre idylle odorant et y verser un brin de poésie…?[b][/b][b][/b]
Mozarine entre dans la danse
Ici est la terre où l’on danse
Papillotte accueille toute poésie
Je me retire et vous laisse pour un brin de poésie
;o)
[quote]Puis je,sans vous froisser,ma mie,entrer dans votre chant de vie,dans votre idylle odorant et y verser un brin de poésie…?[/quote]
Mais je ne peux que vous en prier…la finesse de vos mots a grandement sa place
et de vous lire m’enchante au sein de cette douce romance
le partage des mots et de leur douceur est un pas de plus sur un sentier bordé de fleurs au doux parfum
[quote]Mozarine entre dans la danse
Ici est la terre où l’on danse
Papillotte accueille toute poésie
Je me retire et vous laisse pour un brin de poésie [/quote]
Oh non Red Butterfly ne te retire pas
tu sais guider mes pas
et depuis longtemps déjà tu demeures
loin de ce qui peut ressembler à un leurre
Un mot, un seul de toi
Et je suis toujours là
Jamais trop loin, je reste là
Toujours prête à prendre soin de toi
N’aie aucune crainte
Je suis ainsi faite
Chez moi point de feinte
Je sais me faire discrète
Mais je suis toujours là…..
{youtube}l2PWWVit0O0{/youtube}
…parce que c’est mieux en espagnol, je trouve!
Traduction pas terrible:
[quote]Nous avons encore perdu ce crépuscule
Et nul ne nous a vus ce soir les mains unies
pendant que la nuit bleue descendait sur le monde.
J’ai vu de ma fenêtre
la fête du couchant sur les coteaux lointains
Parfois, ainsi qu’une médaille
s’allumait un morceau de soleil dans mes mains.
Et je me souvenais de toi le coeur serré
triste de la tristesse à moi que tu connais.
Où étais-tu alors?
Et parmi quelles gens?
Quels mots prononçais-tu?
Pourquoi peut me venir tout l’amour d’un seul coup,
lorsque je me sens triste et te connais lointaine?
Le livre a chu qu’on prend toujours au crépuscule,
ma cape, chien blessé, à mes pieds a roulé.
Tu t’éloignes toujours et toujours dans le soir
vers où la nuit se hâte effaçant les statues.
[/quote]
et oui je confirme dans la langue du poète :
[quote]un poema no puede ser abordado con honestidad y en su idioma original,
el calor suave y la profundidad de los sentimientos transmitidos por el poeta
tienen un sentido de más sensual que una traducción no puede cumplir[/quote]
Merci siempre pour ce lien
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