Après l’échec de la conférence de Copenhague sur le climat en décembre 2009, les négociateurs avaient promis que lors de la prochaine grande conférence mondiale à Cancun, on trouverait enfin un accord.
Aujourd’hui, alors qu’elle n’aura lieu qu’en novembre de cette année, on sait déjà que la prochaine conférence des Nations Unies au Mexique sera encore un échec. Les négociateurs nous promettent maintenant qu’on peut espérer un accord global à la conférence suivante, celle de 2011 en Afrique du Sud… si tout va bien!
Depuis la conférence de Copenhague, il n’y a eu aucun progrès, bien au contraire. Lors de la réunion préparatoire de Bonn la semaine dernière, les négociateurs ont constaté que les Etats Unis ne tiendraient pas leurs promesses, ce qui n’a fait qu’accroître les tensions entre les pays les plus industrialisés et les autres.
De plus, les observateurs estiment que même l’engagement des pays du nord à verser 30 milliards de dollars aux pays du sud, l’un des rares points positifs obtenus à Copenhague, ne sera probablement pas respecté non plus. On comprend donc pourquoi l’optimisme de l’année dernière a laissé la place au pessimisme et même au fatalisme.
Malheureusement, pendant que les états continuent à tergiverser, les îles du golfe du Bengale disparaissent les unes après les autres, les archipels du Pacifique s’amenuisent, les villages côtiers d’Alaska sont engloutis par la mer…Et la liste est longue encore de bien d’autres ravages en cours…
Nombreuses sont déjà les victimes des bouleversements climatiques. Va-t-on continuer longtemps à leur demander de patienter alors que leurs territoires se réduisent comme une peau de chagrin?
les dégâts ne concernent pas que « les îles du golfe » mais le monde entier …c’est qui ce passe actuellement en Pakistan ,inde et la rusée……..c’est la colère de la nature….
La nature est en train de prendre sa revanche. L’homme qui se croyait plus forte qu’elle, invicible, intelligent, se trouve maintenant confronté à des problèmes impossible à gérer.
La nature finira bien un jour par reprendre ses droit
Laurasie et Gondwana étaient deux continents aujourd’hui disparus.
Au début du Trias, toutes les terres étaient rassemblées en un super-continent : la Pangée. À la fin du Trias et au début du Jurassique, elle se divisa il y a environ 200 millions d’années en deux continents : Laurasie et Gondwana. Entre, il se forma un nouvel océan, qui allait devenir l’océan Atlantique.
Laurasie [modifier]
Laurasie comprenait des terres, qui allaient former plus tard l’Asie, l’Europe et l’Amérique du Nord. Ces trois continents étaient réunis en un seul.
Il y a 60 millions d’années, Laurasie se sépara à son tour en deux continents : Laurentia et l’Eurasie.
Le mot Eurasie est une contraction de Laurentia et Eurasie.
Gondwana [modifier]
Le Gondwana comprend de nombreuses terres qui formeront l’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Océanie et l’Antarctique.
La formation de l’océan Atlantique était responsable de la séparation de Laurasie. Il va couper en deux le Gondwana en deux : la séparation commence il y a 130 millions d’années, au Crétacé.
* La partie occidentale comprend l’Amérique du Sud et l’Antarctique, qui se séparent à leur tour il y a 30 millions d’années.
* La partie orientale comprend l’Afrique, l’Inde et l’Océanie.
marsoin
il n’y a ni revanche de la nature ni catastrophes naturelles, cette fichu planète où nous nous sommes retrouvés fonctionne en circuit fermé, tout allait à merveille jusqu’à ce qu’un minus s’en mêle.
Cette erreur dit primate n’a rien trouvé de mieux que d’utiliser une pièrre pour fracasser le crane de ses congéneres,depuis il a évolué jusqu’à sa limite extrême : l’arme atomique. Sauf que pour en arriver là, il lui fallait les deux ingrédients de base : l’energie et la matière et c’est de là que les malheurs de notre pauvre planete on commencer. Il lui a fallu des milliards d’années pour construire cet équilibre essentiel à sa survie et en quelques siècles, on à réussi à tout bousiller.
On a rasé des forêts entières, déplacé des masses de matière , brisé toutes les chaines de la sélection naturelle et maintenant on est là devant un constat d’impuissance devant le chaos que nous allons léguer à nos enfants.
En termes d’évolution, si on considère que le principal moteur reste la communication, on est les derniers de la classe, nous sommes l’espèce la plus répandue et la seule à ne pas avoir un language commun, bien loin derrière les autres especes. Ce n’est pas avec quelques consonnes et syllabes qu’on va rivaliser avec eux, vous n’avez qu’à prendre deux chimpanzés ou deux moustiques de differents endroits et vous comprendrez.
Cela reste des propos simplistes, mais il n’en demeure pas moins que la vérité est à nos portes. Je pêche et autant que je m’en souviennes je suis né dedans, autrefois je me suffisais d’attendre la marée basse pour récupérer les poissons dans des crevasses, aujourd’hui je galère sur tout le littoral marocain, armé des toutes dernières technologies à la echerche d’un hypothétique rêve. Pour nous, africains, l’océan était un don des dieux, queeque chose d’intarissable, on ne comprend pas pourquoi le poisson ne vient plus, encore moins pourquoi nos dirigeants invitent une flôtte de pêche monstre avec des millions de km de filets alors qu’on à plus rien à se mettre sous la dent
Je me suis peut être un peu égaré du sujet, mais et là encore je reste toujours simpliste, si les contats sont véridiques, nous avons détruit plus de 80 pour cent de la faune halieutique, sachant que c,est une masse en mouvement qui participe à une règle immuable des équilibres marins, nous avons là aussi provoqué une autre calamité. Le hic!!!!c’est que nous continuons