Corée du Sud-Grèce.

Port Elizabeth, le Nelson Mandela Bay Stadium accueille les grecs et les sud-coréens.

La formation hellène a bu le calice jusqu’à la lie. Les hommes d’Otto Rehagel n’ont rien pu faire face à la rapidité d’exécution des sud-coréens.

Une technique de mouvement alliée à une vitesse d’exécution parfaite. Une victoire indispensable pour la suite de la compétition, après les sud-coréens devront affronter le Nigéria et l’Argentine.

Au vu de la rencontre il ne sera pas aisé de bousculer cette équipe, qui parait solide dans toutes ses lignes. Un groupe qui s’avère plus compliqué qui n’en a l’air.

La Coupe du Monde ne réussit vraiment pas à la formation grecque. Pour leur deuxième participation toujours aucun but d’inscrit, et déjà sous le couperet de l’élimination. Depuis leur titre de champion d’Europe, la Grèce semble marquer le pas, et son point fort : la défense en devient un talon d’Achille.

Dès la 7ème minute, sur un coup-franc excentré, que Lee Jung Soo reprend de volée avec une facilité déconcertante. La défense grecque à la rue. Les actions se succèdent et donnent le tournis à la formation hellène.

Dès la reprise la Corée du Sud assoit sa domination et inscrit un second but par l’intermédiaire De Park Ji Sung, se jouant de la défense hellène…comme à l’entrainement ! Le joueur de Manchester United n’en demandait pas autant.

La Grèce tétanisée enchaine les mauvaises passes, les hors-jeu à répétition, littéralement à la rue. Le score aurait pu être bien plus lourd, à chaque attaque sud-coréenne la panique s’installe.

Une belle entrée en matière pour la Corée du Sud, une victoire logique qui condamne la Grèce à un exploit désormais.

 

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