Il n’y a pas de quoi s’alarmer insiste les autorités mais les citadins et Barcelone et de Madrid ont appris de la part de scientifiques la découvertes de pas moins de cinq drogues dans l’atmosphère de ces deux villes.

Des traces de cocaïne, d’amphétamine, de cannabis, de L.S.D ou encore d’opium ont été décelées dans les airs urbains de Madrid et Barcelone s’immisçant ainsi dans l’atmosphère polluée de ces villes.

Cela ne doit pas être un titre représentatif des airs des villes espagnols insistent les chercheurs.

Bien que l’air inspiré par les citadins espagnols ne les fasse pas « planer », cette information fait plus de bruit par son caractère insolite que par ses répercussions inquiétantes. En effet les scientifiques qui ont décelés ces drogues dans leur capteur d’air rappellent que cela n’alternera en rien les dangers liés à l’inspiration de l’air de ces villes bien que la pollution urbaine ne soit pas non plus bénéfique pour l’organisme humain.

Cela nous rappelle l’étude faite en 2007 à Rome où du cannabis avait été détecté dans l’air romain.

Les traces décelées sont plus fortes durant les weekends ce qui peut-être compréhensif du fait de la fréquentation des quartiers où les capteurs d’air ont été posés. En effet ce sont des quartiers fréquentés par les dealers et proche des universités.

L’Espagne est considérée comme le plus grand consommateur de cocaïne et de cannabis en Europe. C’est une plateforme majeure du trafic du fait de sa géographie de stupéfiants de l’Afrique et de l’Amérique centrale.