Nous nommerons ce phénomène le facteur Q pour ne pas heurter la sensibilité des plus jeunes. 

Le facteur Q est devenu une valeur refuge pour de nombreux investisseurs. Il s’agit en fait de la nébuleuse du charme sur Internet.

Un de ces dignes représentants est la société DreamNex. Le leader Européen affiche 70.3 Millions de chiffre d’affaire pour l’exercice 2008 et surtout une progression de 14% en comparable. 

Des indicateurs à faire pâlir d’envie les entreprises qui officient dans des domaines d’activité un peu moins sulfureux. 

L’érotisme semble donc bénéficier de la crise mondiale et de la morosité qui s’empare des marchés. Comme si un corps dénudé pouvait temporairement effacer la vision d’une chute… de cours ou d’une courbe désavantageuse des tendances financières… 

Cet essor du commerce érotique soulève cependant  d’autres questions. Les moralistes déploreront en effet que l’accès à cette univers de luxure et de dépravation soit si aisé y compris pour les mineurs qui, d’un simple clic pour attester de leur majorité, accèdent au contenu de la boite de pandore.

Quant à récupérer la carte bancaire des parents, c’est un moindre effort.

On est en droit de se poser la question sur l’efficacité des contrôles parentaux.