Quand la coupe est pleine… Il semble acquis en France (avec un F majuscule, Monsieur Fanchon !) que la grève – qui consiste rappelons-le, à emmerder son monde pour parler carrement – est un droit absolu, le 11ème commandement qui aurait seulement manqué de place pour apparaître sur les Tables de la Loi.
Dans le privé soit la pratique de la grève peut se révéler d’une efficacité radicale puisque les clients ont la liberté de s’adresser ailleurs, le patron de l’entreprise gréviste pouvant perdre ainsi une partie importante de son marché. Or dans le public le patron n’est pas le gouvernement contrairement à ce que font mine de croire les syndicalistes que cette fausse méprise arrange bien mais… le public, c’est à dire l’usager à qui on prend donc son argent sous forme d’impôts puis quand on lui vend son billet (la double peine en quelque sorte) et au final, on lui fait un joli bras d’honneur aussitôt qu’une toute petite pincée de péquins syndiqués bénéficiant de la garantie de l’emploi ne se sentent pas d’humeur à bosser un peu.
Pour que le droit de grève, dans ces conditions, ait une quelconque valeur, il faudrait que les fonctionnaires (et assimilés) portâssent les jours de grogne un badge bleu par exemple, ceux du privé un vert. Le gréviste se rendant chez son boulanger pourrait ainsi se voir refuser son pain quotidien et ce ne serait que justice puisque quand il refuse de travailler, toutes les personnes du privé sont automatiquement et systématiquement touchées tandis que ces dernières n’ont aucun moyen d’atteindre ceux du privé. Une idée donc à creuser. Les jours de grève, mettons notre badge vert !
Veritas
sur 16 janvier 2009 à 9 h 22 min
la SNCF n’a qu’à mettre les moyens (aidée par l’état, puisque c’est une question de sécurité publique ). Ca va créer des emplois puisque le déficit public est ouvert !
Veritas
sur 16 janvier 2009 à 9 h 38 min
Le dialogue social est visiblement en panne à la SNCF.
La loi sur le service minimum, supposée rassurer une droite qui la réclamait depuis des années, devait encourager un dialogue social préventif, susceptible d’empêcher les conflits.
Cette loi devait rendre la grève indolore pour les usagers en évitant qu’elle se traduise par une paralysie du trafic.
Les voyageurs de Saint-Lazare ont goûté à sa juste mesure la mise en oeuvre de cette garantie. N S était pressé d’imposer cette loi, au final, c’est un leurre.
Veritas
sur 16 janvier 2009 à 10 h 15 min
Et pourquoi le déficit public est-t-il ouvert : parce que le gouvernement ne veut pas imposer
les revenus comme il se doit et qu’il n’aucune volonté pour controler ni encore moins taxer l’évasion fiscale (l’interdiction de taxe Tobin est intégée à la « constitution » européenne en cours de « ratification »)!
Il y en a marre… Trop c’est trop !!!!! [b] [u]Depuis l’instauration de l’horaire d’été et de l’horaire d’hiver, c’est toujours la même comédie[/u] : [i]chaque dernier dimanche du mois concerné par le changement d’heure, que ce soit mars, que ce soit octobre, les syndicalistes de la SNCF se mettent en grève ![/i][/b]
[b][u]Lorsqu’un cheminot, [i]qu’il soit contrôleur, qu’il soit conducteur[/i], est agressé, automatiquement, il y a des grèves « surprise »[/u] : [i]pourquoi les usagers doivent être punis, donc, tenus pour responsables, pour des faits commis par des imbéciles (très certainement fraudeurs) ? [u]Que je sache, lorsqu’un usager est agressé dans l’enceinte d’une gare, il n’y a aucune grève[/u] ![/i]
[u]Pour le maintien du service public en ce qui concerne le fret, les cheminots se mettent aussi en grève[/u] : [i]mais, en quoi les usagers sont-ils concernés par ces problèmes qui les dépassent ?[/i]
Bien entendu, à la RATP également, lorsqu’un traminot (machiniste, conducteur de métro, contrôleur…) se fait agresser, le même scénario qu’à la SNCF se produit !
[u]Alors, ça suffit… Je pense qu’il faudrait songer à interdire le droit de grève au sein de la RATP, à la SNCF ![/u] : [i]si les syndicats veulent que ce genre d’interdiction ne survienne, il leur appartient d’inventer, de créer, d’imaginer… d’autres formes d’actions gênantes pour leurs Directions, mais non paralysantes pour leurs usagers ![/i][/b]
Veritas
sur 16 janvier 2009 à 10 h 41 min
ordre logique !
Le dialogue social est visiblement en panne à la SNCF.
La loi sur le service minimum, supposée rassurer une droite qui la réclamait depuis des années, devait encourager un dialogue social préventif, susceptible d’empêcher les conflits.
Cette loi devait rendre la grève indolore pour les usagers en évitant qu’elle se traduise par une paralysie du trafic.
Les voyageurs de Saint-Lazare ont goûté à sa juste mesure la mise en oeuvre de cette garantie. N S était pressé d’imposer cette loi, au final, c’est un leurre.
la SNCF n’a qu’à mettre les moyens (aidée par l’état, puisque c’est une question de sécurité publique ). Ca va créer des emplois puisque le déficit public est ouvert !
Et pourquoi le déficit public est-t-il ouvert : parce que le gouvernement ne veut pas imposer
les revenus comme il se doit et qu’il n’aucune volonté pour controler ni encore moins taxer l’évasion fiscale (l’interdiction de taxe Tobin est intégée à la « constitution » européenne en cours de « ratification »)!
Quand la coupe est pleine…
Il semble acquis en France (avec un F majuscule, Monsieur Fanchon !) que la grève – qui consiste rappelons-le, à emmerder son monde pour parler carrement – est un droit absolu, le 11ème commandement qui aurait seulement manqué de place pour apparaître sur les Tables de la Loi.
Dans le privé soit la pratique de la grève peut se révéler d’une efficacité radicale puisque les clients ont la liberté de s’adresser ailleurs, le patron de l’entreprise gréviste pouvant perdre ainsi une partie importante de son marché. Or dans le public le patron n’est pas le gouvernement contrairement à ce que font mine de croire les syndicalistes que cette fausse méprise arrange bien mais… le public, c’est à dire l’usager à qui on prend donc son argent sous forme d’impôts puis quand on lui vend son billet (la double peine en quelque sorte) et au final, on lui fait un joli bras d’honneur aussitôt qu’une toute petite pincée de péquins syndiqués bénéficiant de la garantie de l’emploi ne se sentent pas d’humeur à bosser un peu.
Pour que le droit de grève, dans ces conditions, ait une quelconque valeur, il faudrait que les fonctionnaires (et assimilés) portâssent les jours de grogne un badge bleu par exemple, ceux du privé un vert. Le gréviste se rendant chez son boulanger pourrait ainsi se voir refuser son pain quotidien et ce ne serait que justice puisque quand il refuse de travailler, toutes les personnes du privé sont automatiquement et systématiquement touchées tandis que ces dernières n’ont aucun moyen d’atteindre ceux du privé. Une idée donc à creuser. Les jours de grève, mettons notre badge vert !
la SNCF n’a qu’à mettre les moyens (aidée par l’état, puisque c’est une question de sécurité publique ). Ca va créer des emplois puisque le déficit public est ouvert !
Le dialogue social est visiblement en panne à la SNCF.
La loi sur le service minimum, supposée rassurer une droite qui la réclamait depuis des années, devait encourager un dialogue social préventif, susceptible d’empêcher les conflits.
Cette loi devait rendre la grève indolore pour les usagers en évitant qu’elle se traduise par une paralysie du trafic.
Les voyageurs de Saint-Lazare ont goûté à sa juste mesure la mise en oeuvre de cette garantie. N S était pressé d’imposer cette loi, au final, c’est un leurre.
Et pourquoi le déficit public est-t-il ouvert : parce que le gouvernement ne veut pas imposer
les revenus comme il se doit et qu’il n’aucune volonté pour controler ni encore moins taxer l’évasion fiscale (l’interdiction de taxe Tobin est intégée à la « constitution » européenne en cours de « ratification »)!
Il y en a marre… Trop c’est trop !!!!!
[b] [u]Depuis l’instauration de l’horaire d’été et de l’horaire d’hiver, c’est toujours la même comédie[/u] : [i]chaque dernier dimanche du mois concerné par le changement d’heure, que ce soit mars, que ce soit octobre, les syndicalistes de la SNCF se mettent en grève ![/i][/b]
[b][u]Lorsqu’un cheminot, [i]qu’il soit contrôleur, qu’il soit conducteur[/i], est agressé, automatiquement, il y a des grèves « surprise »[/u] : [i]pourquoi les usagers doivent être punis, donc, tenus pour responsables, pour des faits commis par des imbéciles (très certainement fraudeurs) ? [u]Que je sache, lorsqu’un usager est agressé dans l’enceinte d’une gare, il n’y a aucune grève[/u] ![/i]
[u]Pour le maintien du service public en ce qui concerne le fret, les cheminots se mettent aussi en grève[/u] : [i]mais, en quoi les usagers sont-ils concernés par ces problèmes qui les dépassent ?[/i]
Bien entendu, à la RATP également, lorsqu’un traminot (machiniste, conducteur de métro, contrôleur…) se fait agresser, le même scénario qu’à la SNCF se produit !
[u]Alors, ça suffit… Je pense qu’il faudrait songer à interdire le droit de grève au sein de la RATP, à la SNCF ![/u] : [i]si les syndicats veulent que ce genre d’interdiction ne survienne, il leur appartient d’inventer, de créer, d’imaginer… d’autres formes d’actions gênantes pour leurs Directions, mais non paralysantes pour leurs usagers ![/i][/b]
ordre logique !
Le dialogue social est visiblement en panne à la SNCF.
La loi sur le service minimum, supposée rassurer une droite qui la réclamait depuis des années, devait encourager un dialogue social préventif, susceptible d’empêcher les conflits.
Cette loi devait rendre la grève indolore pour les usagers en évitant qu’elle se traduise par une paralysie du trafic.
Les voyageurs de Saint-Lazare ont goûté à sa juste mesure la mise en oeuvre de cette garantie. N S était pressé d’imposer cette loi, au final, c’est un leurre.
la SNCF n’a qu’à mettre les moyens (aidée par l’état, puisque c’est une question de sécurité publique ). Ca va créer des emplois puisque le déficit public est ouvert !
Et pourquoi le déficit public est-t-il ouvert : parce que le gouvernement ne veut pas imposer
les revenus comme il se doit et qu’il n’aucune volonté pour controler ni encore moins taxer l’évasion fiscale (l’interdiction de taxe Tobin est intégée à la « constitution » européenne en cours de « ratification »)!