Lors du procès d'alias Karina, une ancienne commandante des FARC qui a préféré déserter les troupes terroristes pour se mettre sous la protection de l'armée colombienne (voir précédent article), des témoignages de plus en plus nombreux révèlent les atrocités dont serait coupable celle qui se faisait appeler "la reine" dans les territoires qui étaient sous son contrôle.
C'est ainsi qu'un paysan de 53 ans raconte comment il a été arrêté par les guérilleros alors qu'il se trouvait avec toute sa famille dans un autobus municipal. Selon ce paysan, tous les hommes qui portaient un livret militaire et qui donc avait effectué leur service militaire obligatoire ont été obligés de descendre de l'autobus.
Sur l'ordre de leur commandant, qui n'était autre que Karina, les terroristes qui étaient dans leur majorité âgés de 9 à 15 ans, demandèrent aux anciens appelés du contingent de se joindre à la guérilla et puis, couteau à la main, les guérilleros tranchèrent le pénis et les testicules de tous ceux qui refusaient ; c'est-à-dire la totalité des hommes qui avaient été descendus de l'autobus.
Certaines des victimes eurent droit à un coup de grâce dans la tête, mais toutes les autres furent abandonnées là, agonisant dans leur sang.
Après cela, Karina fit descendre tous les autres passagers de l'autobus avant d'ordonner à ses hommes d'y mettre le feu alors que le chauffeur s'y trouvait toujours.
Quand le véhicule et son conducteur furent complètement consumés, Karina et ses guérilleros firent les poches des passagers survivants, avant de disparaître dans la forêt.
Armée du peuple, marxisme-léninisme, de bien grands mots pour une bande de tortionnaires qui terrorise la Colombie depuis plus de 40 ans.
[b]Quelle honte… Il est urgent que l’ONU crée une Cour Pénale Internationale pour juger, devant l’Histoire, ces hommes et ces femmes, qui sont des assassins, des meurtriers de masse, des terroristes et des criminels de guerre ![/b]