L'Olympique lyonnais crucifié dans la première demi-heure de la rencontre l'opposant à l'OGC Nice. Bamogo et le transfuge Rémy secouant les travées de Gerland, littéralement assommées par le début de rencontre des niçois.

L'OL réduit la marque par un splendide coup-franc de Juninho, avant que la rencontre prenne une tournure parodique, Monsieur Cailleux en chef d'orchestre, au grand dam d'une valeureuse équipe niçoise (…).

L’arbitrage vidéo (…).Je ne vais pas me lancer dans une critique acerbe du corps arbitral dans le championnat de France, mais après la parodie d’arbitrage, lors de la rencontre opposant Lyon à l’OGC Nice, force est de constater que l’arbitrage vidéo aurait donné une toute autre issue à cette rencontre. Les Aiglons de Nice ont de quoi rester dubitatifs face aux décisions de Monsieur Cailleux et ses assesseurs.L’arbitrage de complaisance à son summum.

Deux buts lyonnais plus que douteux, et offrant une victoire bien peu glorieuse à Lyon.Le second but lyonnais. Monsieur Cailleux accorde un coup-franc INDIRECT  à Lyon, remarque qui a son importance. Juninho, l’orfèvre en la matière, s’élance et transperce le malheureux Lionel Letizi, alors que Piquionne (signalé hors-jeu), participe directement à cette action, en feignant de dévier le ballon. Un but qui se devait d’être refusé. Par la position de Piquionne, et du fait que le tir de Juninho s’avère direct. Une première décision incongrue du corps arbitral.

Le pénalty. Une offrande dans le temps additionnel, pour une main « imaginaire » de l’arrière niçois Hognon. Le ballon ayant rebondi sur le bras du joueur à terre, bras collé au corps et donc en aucun cas la sanction suprême devait sanctionner cette action. Karim Benzema transformant une petite prestation lyonnaise en une victoire bien peu glorieuse.

Pour corser l’addition, Cyril Rool se voyait contraint de quitter le terrain, après une altercation verbale avec le quatrième arbitre, qui décidait de l’exclure. La confusion était totale.

Nous n’allons pas faire le procès de Monsieur Cailleux et ses accesseurs, mais j’espère qu’après le visionnage de leurs exploits, le corps arbitral accepte de reconnaitre leurs grossières erreurs d’appréciation dans cette rencontre. Les dirigeants niçois se donnent un temps de réflexion et il est fort probable qu’une action soit intentée.Un coup de pouce qui ne fera qu’attiser cette impression qu’on ne donne qu’aux plus riches (…).

L’erreur d’arbitrage fait partie du jeu, et au vu du déroulement de cette partie, on ne peut que réclamer l’arbitrage vidéo. 

Pour ou contre l’arbitrage vidéo ?