Des chercheurs du CNRS viennent de publier leurs travaux sur la maitrise en vol de l'insecte.
Un brevet international a été déposé sur le "pilote automatique de la mouche", technique qui leur permet de faire voler un micro-hélicoptère pourvu d'un neurone électronique de détection de mouvement.
Tous les appareils volants à l'heure actuelle sont dotés d'un appareillage électronique conséquent leur permettant de décoller et d'éviter le crash ou la collision, en observant le vol de l'insecte. Force est de constater qu'il n'éprouve aucune difficulté à voler, se poser, etc …
Ces études ont permis d'identifier ce que les chercheurs appellent "le régulateur du flux optique", ce qui permet à l'insecte, quelques que soient les aléas, de maintenir leur vol et d'atterrir en douceur.
Les chercheurs ont appliqué leurs conclusions à un microcircuit, un neurone électronique détecteur de mouvement, qui permet de faire décoller et voler leur hélicoptère.
Baptisé Octave, le micro-hélicoptère, qui pèse une centaine de grammes, a un comportement proche de l'insecte en vol.
Le brevet déposé permettra à l'équipe de réfléchir aux applications qui pourraient entrer dans le domaine de l'aéronautique et de l'aérospatial.
SATISFACTION
Tu mets une caméra et un micro la dessus et tu peux presque tout savoir.
En effet, la vitesse angulaire d’un élément du champ visuel défilant sous l’animal dépend à la fois de la vitesse par rapport au sol et de l’altitude. En surveillant uniquement ce flux otique, on contrôle donc vitesse et altitude. Voilà une trouvaille que les insectes ont découverte il y a plusieurs centaines de millions d’années. »Futura Science
ILS ONT BEAUCOUP DE SCIENCE CES INSECTES !!!
QUELLE INTELLIGENCE POUR DIRE CELA, AU LIEU DE DIRE QUE C’EST DIEU QUI EN EST L’AUTEUR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
ET QUAND J’AI DIT CELA, CELA SATISFAIT ENTIEREMENT MON AME !