Scott McClellan publie un livre dévastateur sur l'administration Bush. Mais est-il honnête ?
Après la publication du livre de l'ancien directeur de la CIA, George Tenet, très rapidement qualifié "d'histoire d'un loser" par Chrisopher Hitchens parce que bourré de contre-vérités, nos médias se gargarisent de l'ouvrage de Scott McClellan, ancien porte-parole de la Maison-Blanche qui a démissionné en septembre 2006.
On pourrait nommer "histoire d'un loser, tome 2".
Accordons à McClellan qu'il est un publiciste de génie : il répète au mot près tous les slogans de l'extrême-gauche, au point que Karl Rove s'est sérieusement demandé sur Fox qui était vraiment l'inspirateur de l'ouvrage.
Le site web Politico a pu publier en avant-première quelques affirmations de ce nouveau livre. Une simple analyse permet de comprendre combien McClellan ment, sans même s'en cacher.
En effet, il accuse à nouveau Karl Rove et Scooter Libby d'avoir donné le nom de l'agente Valerie Plame. Or un procureur général a pu déterminer, il y a deux ans, que l'origine de cette fuite était Richard Armitage, n-2 du Département d'Etat. Il s'agit donc, ni plus ni moins, d'un grossier mensonge de la part de McClellan.
C'est dire combien son livre est tendancieux… et inutile.
Tour à tour, McClellan accuse Bush d'avoir été cocaïnomane, d'avoir usé de propagande pendant la guerre en Irak et d'avoir trop patienté pendant le drame de Katrina, autant d'accusations que l'extrême-gauche répète depuis des lustres et qui sont à chaque fois démenties par la vérification la plus sommaire.
Pariez que personne, dans vos médias, ne démêlera le vrai du faux. Nous vivons à une époque où McClellan peut répéter un mensonge flagrant, où le Nouvel Observateur peut créer des textos fantaisistes, où la gauche se permet tout, sans gêne, pour arriver à ses fins.
Dans un pays avec une presse libre, les bonimenteurs terminent dans les flammes de la honte. Dans une société où les journalistes se moquent de leurs lecteurs, n'importe quel loser peut décrocher ses quinze minutes de gloire. Ainsi se termine la carrière d'un médiocre.
article orienté
Tout ça, c’est la faute aux socialo-communistes de tous les pays qui faute de pouvoir se mettre au niveau de compétence des autres ne font que tenter de les raaisser à leur niveau.
C’est celà oui…