A défaut de consacrer son dossier de la semaine aux suites qui ont agité la chronique et les médias après l’importante visite du président du président français en Tunisie Jeune Afrique à choisie de le présenter avant son arrivée « TUNISIE-FRANCE: Qui se ressemble s’assemble ». un produit de propagande à la dictature dont les 13 pges d’annences publicitaire qui l’ont truffé peuvent seules le justifier. Ainsi la Tunisie peut etre laissé de coté pour la semaine d’après. À défaut d’aborder le vrai « grand malaise » que connaît la région du bassin minier de Gafsa et qui à conduit un assassinat d’état qui a coûté la vie à un jeune chômeur diplômé dans une action de protection et à l’exode renouvelé de protestation de certains habitants vers l’Algérie, le journal à choisie de remuer la plaie d’un ancien malaise vieux de sept ans en Kabylie que l’Algérie cherche encore à panser. Ce qui lui a valu d’être interdite de distribution dans le pays.
Sans chercher nullement à justifier cette répugnante pratique de censure, on ne peut s’empêcher de faire le constat de maladresse dans les choix de ce journal qui a constitué pour beaucoup de ses semblables une véritable institution dans le métier. Chaque journal est certainement souverain dans ses choix éditoriaux, la liberté de la presse et indivisible et ne doit pas être conditionnée par le partage de nos points de vue ou centre d’intérêt. Mais la malice est là, quand on voit comment on aménage certains alors qu’on cherche à porter ses coups à d’autres ou ça fait mal le plus. A mon avis un journal qui se respecte ne doit se vendre qu’a ses lecteurs et ne doit chercher à s’imposer que par sa probité et la valeur de ce qu’il publiait.
Quand on calcule le prix, d’après les révélations livrées par le journaliste de l’Expression Imed El Bahri dans son article « Selon »Jeune Afrique » La censure s’est dégradée en Tunisie » à 100 000 dinars la page pour 13 pages dans le seul supplément de l’avant dernier numéro, on comprend parfaitement le silence qui a suivis. L’Algérie doit- elle payer le double ou plus si on prend en considération le poids des deux pays pour gagner les faveurs de notre journal naturalisé. La relève s’opère aujourd’hui difficilement au sein de Jeune Afrique entre argent et crédibilité l’équilibre qu’a pu assurer sont fondateur pendant des décennies est-il entrain de s’effonrer définitivement ( Yahyaoui Mokhtar – 13 mars 2008 )
RSF : L’hebdomadaire français Jeune Afrique censuré pour un article sur la Kabylie
Reporters sans frontières dénonce l’interdiction de distribution dont a été victime l’hebdomadaire français Jeune Afrique en Algérie au cours de la première semaine du mois de mai.
« Plus nous approchons des échéances électorales présidentielles de 2009, plus il est à craindre de voir ce genre de mesures arbitraires se multiplier. L’Etat algérien doit garantir une information libre et plurielle à ses citoyens et non se poser en censeur« , a déclaré l’organisation.
Le numéro 2469, daté du 4 au 10 mai 2008, de l’hebdomadaire français Jeune Afrique n’a pas été distribué en Algérie. La direction du journal n’a reçu aucune explication des autorités. Toutefois, cette mesure de censure serait liée à la publication d’un article, intitulé « Kabylie, le grand malaise« , de Farid Alilat, dans lequel le journaliste décrit les problèmes économiques, sécuritaires et sociaux qui paralysent cette région dans l’est du pays.
Marwane Ben Yahmed, directeur de la rédaction de Jeune Afrique, a expliqué à Reporters sans frontières que le distributeur FA presse n’avait pas obtenu d’autorisation de vente pour ce dernier numéro. « Nous avons décidé de publier cet article en accès libre sur notre site Internet pour que nos lecteurs algériens puissent y avoir accès », a-t-il ajouté.
Jeune Afrique a déjà fait les frais de la censure d’Etat en Algérie. En mars 2007, un numéro, incluant une enquête sur l’homme d’affaires Rafik Abdelmoumen Khalifa, avait été interdit des kiosques. En février 2004, quelques semaines avant la tenue des élections présidentielles, le dossier « Pour qui votent les généraux » avait valu au journal une autre censure. ( Communiqué RSF du 09 Mai 2008)
A défaut de consacrer son dossier de la semaine aux suites qui ont agité la chronique et les médias après l’importante visite du président du président français en Tunisie Jeune Afrique à choisie de le présenter avant son arrivée « TUNISIE-FRANCE: Qui se ressemble s’assemble ». un produit de propagande à la dictature dont les 13 pges d’annences publicitaire qui l’ont truffé peuvent seules le justifier. Ainsi la Tunisie peut etre laissé de coté pour la semaine d’après. À défaut d’aborder le vrai « grand malaise » que connaît la région du bassin minier de Gafsa et qui à conduit un assassinat d’état qui a coûté la vie à un jeune chômeur diplômé dans une action de protection et à l’exode renouvelé de protestation de certains habitants vers l’Algérie, le journal à choisie de remuer la plaie d’un ancien malaise vieux de sept ans en Kabylie que l’Algérie cherche encore à panser. Ce qui lui a valu d’être interdite de distribution dans le pays.
Sans chercher nullement à justifier cette répugnante pratique de censure, on ne peut s’empêcher de faire le constat de maladresse dans les choix de ce journal qui a constitué pour beaucoup de ses semblables une véritable institution dans le métier. Chaque journal est certainement souverain dans ses choix éditoriaux, la liberté de la presse et indivisible et ne doit pas être conditionnée par le partage de nos points de vue ou centre d’intérêt. Mais la malice est là, quand on voit comment on aménage certains alors qu’on cherche à porter ses coups à d’autres ou ça fait mal le plus. A mon avis un journal qui se respecte ne doit se vendre qu’a ses lecteurs et ne doit chercher à s’imposer que par sa probité et la valeur de ce qu’il publiait.
Quand on calcule le prix, d’après les révélations livrées par le journaliste de l’Expression Imed El Bahri dans son article « Selon »Jeune Afrique » La censure s’est dégradée en Tunisie » à 100 000 dinars la page pour 13 pages dans le seul supplément de l’avant dernier numéro, on comprend parfaitement le silence qui a suivis. L’Algérie doit- elle payer le double ou plus si on prend en considération le poids des deux pays pour gagner les faveurs de notre journal naturalisé. La relève s’opère aujourd’hui difficilement au sein de Jeune Afrique entre argent et crédibilité l’équilibre qu’a pu assurer sont fondateur pendant des décennies est-il entrain de s’effonrer définitivement ( Yahyaoui Mokhtar – 13 mars 2008 )
RSF : L’hebdomadaire français Jeune Afrique censuré pour un article sur la Kabylie
Reporters sans frontières dénonce l’interdiction de distribution dont a été victime l’hebdomadaire français Jeune Afrique en Algérie au cours de la première semaine du mois de mai.
« Plus nous approchons des échéances électorales présidentielles de 2009, plus il est à craindre de voir ce genre de mesures arbitraires se multiplier. L’Etat algérien doit garantir une information libre et plurielle à ses citoyens et non se poser en censeur« , a déclaré l’organisation.
Le numéro 2469, daté du 4 au 10 mai 2008, de l’hebdomadaire français Jeune Afrique n’a pas été distribué en Algérie. La direction du journal n’a reçu aucune explication des autorités. Toutefois, cette mesure de censure serait liée à la publication d’un article, intitulé « Kabylie, le grand malaise« , de Farid Alilat, dans lequel le journaliste décrit les problèmes économiques, sécuritaires et sociaux qui paralysent cette région dans l’est du pays.
Marwane Ben Yahmed, directeur de la rédaction de Jeune Afrique, a expliqué à Reporters sans frontières que le distributeur FA presse n’avait pas obtenu d’autorisation de vente pour ce dernier numéro. « Nous avons décidé de publier cet article en accès libre sur notre site Internet pour que nos lecteurs algériens puissent y avoir accès », a-t-il ajouté.
Jeune Afrique a déjà fait les frais de la censure d’Etat en Algérie. En mars 2007, un numéro, incluant une enquête sur l’homme d’affaires Rafik Abdelmoumen Khalifa, avait été interdit des kiosques. En février 2004, quelques semaines avant la tenue des élections présidentielles, le dossier « Pour qui votent les généraux » avait valu au journal une autre censure. ( Communiqué RSF du 09 Mai 2008)
Lire la suite : http://tunisiawatch.rsfblog.org/archive/2008/05/13/le-grand-malaise-de-jeune-afrique.html.
Mais, il ne faut pas oublier que Bechir Ben Yahmed, le créateur et fondateur de JEUNE AFRIQUE, fut, aux débuts de l’indépendance de la Tunisie, Ministre de l’Information, sous Habib Bourguiba…
Ensuite, il a créé son magazine : « AFRIQUE ACTION » », qui fut l’ancêtre de « JEUNE AFRIQUE »… Basé à Tunis, ce journal eut vite des démélés avec le pouvoir en place… C’est pour cela que Bechir Ben Yahmed s’en est allé en France pour monter « JEUNE AFRIQUE »…
Pour tous les Africains, « JEUNE AFRIQUE » reste, malgré ses défauts, le journal de référence de tout un Continent : le Continent africain !