- LES CANCERS DU POUMON ONT-ILS DES ORIGINES AUTRES QUE LA
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CIGARETTE;
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Les cancers du poumon concerne 80 % des fumeurs et sont une des principales causes des décès.
Mais les cancers ont-lls une autre origine?
C'est peut-être le cas.
Oui, répond l'Institut National du Cancer, une étude mettrait à jour la possibilité que nos gênes et nos chromosomes jouent un rôle dans le cancer du poumon.
Une équipe de chercheurs du monde entier et dirigée par un Français, à étudié le patrimoine génétique de 6000 personnes, dont 5000 sont atteintes d'un cancer du poumon.
Ils ont découvert que les personnes atteintes d'un cancer, ont souvent une modification de plusieurs gènes ce qui augmenterait les risques de développer un cancer que ce soient des fumeurs ou non.
Une découverte essentielle, qui ouvre de nouveaux horizons pour la recherche et les traitements.
Cela va permettre de diagnostiquer plus tôt ce cancer et de concevoir des médicaments qui permettrons de prévenir le cancer du poumon.
D'autres études doivent encore être faites pour compléter celle-ci, mais c'est un grand pas en avant pour la recherche.
Le cancer du poumon tue chaque année 18000 personnes, c'est une des principales cause de mortalité dû aux cancers.
L'interdiction de fumer dans les lieux publics aurait entraîné une baisse de 15% des infarctus, selon l'Office de Prévention du Tabagisme.
Depuis l'interdiction de fumer dans les lieux publics, la pollution aurait diminué, rendant l'air dans ces endroits plus respirable.
Les effets bénéfiques pour la santé seraient immédiats. Les hospitalisations auraient diminués de 15%.
Car dès que l'on est exposé à la fumée de tabac, le sang à tendance à coaguler plus vite, mais c'est aussi immédiatement réversible à partir du moment où l'on impose l'interdiction de fumer.
Mais cela est toutefois à prendre avec précaution, car cet indicateur de 15% de baisse n'est qu'une donnée indicative et les études doivent se poursuivre..
Les etudes
Bien vue sauf où a ragouter l’environnement au travail aucune étude n’ai jamais publier et la il y a des « chose » a voir fumée, pollution de toutes sorte,manque de ventilation ,proximité de produits dangereux ,au travail aussi il y a de gros risque !
cancer du poumon: les herbicides type glyphosate que l’on peut employer a tour de bras avec les semences modifiées pour y résister, pulverisés sous forme d’aerosols, induisent de façon certaine des cancers du poumon ! et les aerosols , ça va loin !!!!
Laury et Vautier
Bonjour Laury et Vautier,
Bien vu aussi pour vous deux.
Car on nous rabat les oreilles avec les méfaits de la cigarette.
Mais les causes sûrement plus réelles des cancers du poumon, ne sont-elle pas ailleurs.
Je ne dis pas que la cigarette est une bonne chose, non loin de moi cette idée, mais simplement qu’elle n’est pas seule en cause et que d’autres critères peuvent intervenir, comme ceux que vous citez tous les deux à juste titre.
Mais je dois reconnaître que je fume.
A bientôt Laury et Vautier.
ras le bol des sondages et des pourcentages
on voudrait que les études biologiques soient scientifiques au sens de donner une vérité raisonnable, mais il y a tellement de paramaètres qui entrent en jeu
on a bien fait d’interdire la fumée dans les lieux publics car un certain nombre de personnes (comme moi) ont une sensiblilité particulière à cette fumée et sont malades à cause des autres (10 ans d’asthme lié au tabac de mon mari, décédé depuis d’un cancer du poumon…)
mais les statistiques qu’on nous « balance » ne sont pas explicitées: en tant que matheuse et satisticienne, une statistique n’a de valeur que réalisée sur un très grand nombre d’individus, et on n epeut l’interpréter qu’en connaissant exactement ses conditions, or les médias nous donnent toujours des résultats sans que l’on sache les conditions préalables: aucune critique possible de l’interprétation…, et cela explique les chiffres différents donnés par des instituts de statistiques tous aussi sérieux les uns que les autres… alors aucune valeur pour ces chiffres qui n’ont aucun sens déchiffrable pour le lecteur…
ensuite, que les individus soient plus ou moins sensibles au cancer du poumon relève du simple bon sens, on connaît tous des fumeurs morts de çà et des fumeurs insensibles de ce côté là…donc bien entendu, notre individu déterminé (?) par ses gènes est plus ou moins sensible aux agressions, les uns ont les bronches ou le poumon fragile, d’autres les veines ou les artères, pas besoin de staitstiques pour çà!
mais que tabac, drogues diverses, et pollutions soient des agressions pour l’organisme, c’est une évidence sans statistiques… et ces agressions favorisent le développement de maladies, bien sûr…
arrêtons de faire des chiffres une vérité
Une erreur grossière s’est glissée dans cet article, en effet, 80 % est le pourcentage décrivant la situation suivante : sur 100 personnes atteintes d’un cancer du poumon, 80 sont fumeuses.
Et non pas : sur 100 fumeurs, 80 auront un cancer du poumon.
Le cancer du poumon étant le plus grave des cancers, un tel taux serait littéralement catastrophique pour la démographie !
Zel_A
Bonjour,
J’ai dit que cela concernait 80% des fumeurs, je n’ai pas dit que 80% des fumeurs seraient atteinds d’un cancer.
Mais si cela prête à confusion, je changerai ma phrase.
A bientôt.
Dioxine: décomposition par pyrolyse du PVC (polychlorure de vinyle).
La relation entre l’exposition aux rejets atmosphériques des incinérateurs d’ordures ménagères dans les années 1970 et 1980 et le risque de développer certaines formes de cancer est « statistiquement significative », selon une étude réalisée par l’Institut de veille sanitaire (InVS). Les résultats définitifs de ces travaux ont été discrètement publiés, le 27 mars, sur le site de l’InVS.
La présentation des résultats préliminaires de cette même étude, en novembre 2006, avait fait l’objet de davantage de publicité. Si les conclusions globales n’ont pas notoirement changé, certains chiffres ont été revus à la hausse, d’autres sont apparus.
L’étude a mesuré l’augmentation de la fréquence des cancers pour des personnes ayant subi une forte exposition aux fumées d’incinérateurs par rapport à la fréquence observée parmi une population très peu exposée. Cet « excès de risque relatif » passe ainsi, par rapport aux estimations livrées en 2006, de 4 % à 6 % pour l’ensemble des cancers chez la femme, de 7 % à 9 % pour le cancer du sein, et de 8 % à 12 % pour des cancers du système lymphatique (lymphomes malins non hodgkiniens) dans l’ensemble de la population exposée.
Vautier
Bonjour Vautier,
Bravo, très bon complément de mon article.
A bientôt.
Andréa.
Intéressant comme découverte Andréa
@jsalenson
«une statistique n’a de valeur que réalisée sur un très grand nombre d’individus, et on ne peut l’interpréter qu’en connaissant exactement ses conditions».
C’est vrai que des chiffres sans analyse ou précisions du contexte de l’étude ne permettent pas aux lecteurs de se faire leur propre opinion de cette dernière. Mais cette étude a été réalisée sur 10 000 personnes (ce qui est tout de même non négligeable). Je vous envoie un lien qui pourrait vous intéresser : http://www.nature.com/nature/journal/v452/n7187/full/nature06846.html
Je ne crois toutefois pas qu’il faille prendre ces résultats comme des vérités de La Pallice, qui tranchent définitivement sur les causes du cancer du poumon; mais simplement comme une autre pièce qui s’ajoute dans la résolution du casse-tête de cette maladie.
Cordialement à tous
La Cigarette!!! que ce fut « bon », mais… c’est fini!!!!
ANDREA, je fus un grande fumeuse de cigarettes de 20 ans à 40 ans!!!J’en étais arrivée à deux paquets par jour (des malboroo), en corrigeant mes copies, en préparant mes cours du lendemain, et puis un jour, après une radio du poumon, très banale, le pneumologue, me dit : » vous fumez beaucoup, madame’, les alvéoles de votre poumon droit se bouchent, et l’emphysème vous guette »!!
C’en fut assez pour que je stoppe IMMEDIATEMENT, le tabac, la peur n’évite pas le danger, c’est sûr, mais elle est parfois bonne conseillère!!!
J’ai souffert de cette privation pendant un an, ce fut douloureux, mais j’ai tenu bon!
Je précise aussi que mon père, grand fumeur, est décédé, d’un Cancer du Poumon, et que je l’ai vu mourir, dans des ouffrances atroces!
Néanmoins, je ne jetterai jamais » la Première pierre », a celui qui fume encore, et ne juge pas son comportement
@micalement ANDREA, a bientôt, moi aussi je suis heureuse de vous retrouver, et la fraicheur de vos articles, me plait beaucoup SOPHY
SOPHY, parlez à votre toubib du « Symbicort » qui aurait la propriété de faire revenir à l’état normal des cellules précancéreuses du poumon. c’est le médicament des asthmatiques. Très peu d’effets secondaires; Il contient du Budenoside qui aurait la propriété de ramener les cellules du poumon mal parties dans la bonne voie:
(comme moi en qq sorte !!!!!!!!!!!!!)
il vaut mieux prévenir que mourir !
http://www.nature.com/onc/journal/v23/n46/abs/1207985a.html
Budesonide, a glucocorticoid, was proven to be a highly effective agent in preventing the development of lung tumors in A/J mice. In a lung tumor bioassay, budesonide produced 70% inhibition of tumor multiplicity and 94% reduction of total tumor load compared to benzopyrene (B[a]P) treated mice. Gene expression array analysis was performed on mouse lung tumors from this bioassay using Affymetrix U74Av2 GeneChips to determine gene expression changes associated with budesonide treatment. We found 363 genes that were changed between lung tumors induced by treatment with B[a]P and similar tumors treated with budesonide. Among them, 243 genes were overexpressed and 120 genes were underexpressed after budesonide treatment. In addition, 108 genes differentially expressed during mouse lung tumorigenesis (50 genes overexpressed and 58 genes underexpressed) were modulated back to normal levels after budesonide treatment when compared with the controls group. These genes are involved in a broad range of different pathways including control of cell cycle, signal transduction, and apoptosis and may play a role in the observed preventive effect. Our results suggest that budesonide exerts its effects of chemoprevention through growth arrest via Mad2/3 and through apoptosis via Bim/Blk and, by inference, caspase-8/9. Using the pathway visualization tool GenMapp, G protein pathway and MAPK cascade were also regulated by budesonide. Thus, we have determined, for the first time, the expression profiles of genes modulated by budesonide during murine lung tumorigenesis. Our results indicate that the chemopreventive effects of budesonide in the mouse lung tumorigenesis assay involved increase and decrease expression of a wide variety of genes in multiple signaling pathways.