Il est possible depuis mon blog de m'envoyer un message directement dans ma boite mail et certains intervenants ne s'en privent pas, ce qui ne me gène en rien, tout au contraire. Dernièrement avec l'actualité du film "Fitna", mon blog notamment a connu de nombreux commentaires et quelques uns aussi en message direct. La plupart du temps l'ambiance est au dialogue et même si parfois il est un peu vif, que les propos fusent, le ton reste relativement courtois. La censure n'est pas de mise et chacun s'exprime librement ainsi que je le souhaite.
J'ajoute que j'ai toujours tout fait pour respecter les sensibilités de chacun et ne me permets pas d'écrire n'importe quoi ni sur l'islam, ni sur Mahomet. Mon attitude, accusatrice parfois, me semble malgré tout respectueuse envers tous et je crois pouvoir dire être ouvert au dialogue avec les musulmans. Mais aujourd'hui je reçois le message suivant : "tout le monde sait que pour l'argent on est pret a tout faire rien qu a voir le travail des pauvres prostituees. mais arrive a blasphemer pour de l'argent n est jamais arrive dans l'esprit d'un etre sains.donc mr blaise vous etes malades vous mettez tout le monde en danger pour de l'argent.vous etes a plaindre."
Je souhaite donc clarifier les choses : je ne suis pas musulman, d'une part. D'autre part, je ne vois pas pourquoi je me retiendrai d'évoquer ce dont toute la presse parle, et de les évoquer dans des termes qui ne me semblent pas excessifs. Les accusations gratuites ne m'intéressent pas, en revanche si je dis quelque chose de faux, je laisse tout un chacun s'exprimer, sur mon blog comme ailleurs. Qu'on aille pas croire qu'écrire sur l'islam me rapporte de l'argent, cela n'en rapporte pas plus que d'écrire sur autre chose. Si une certaine vision de l'Homme, la pudeur et la morale ne me retenait pas, j'écrirai tout simplement sur les fesses de telle ou telle actrice, ce qui serait certainement bien plus rentable.
Ensuite il est un peu trop facile de taxer les personnes avec lesquels on est pas en accord de "malade", mot dont l'emploi dans le contexte me semble bien plus signifier "pervers". Personne n'est obligé de me lire et l'on peut passer son chemin, je n'en prendrai pas ombrage, bien que je sois heureux d'accueillir les personnes de tous bords, prêtes à discuter. Je plains donc en retour la personne qui m'a écrit, incapable de chercher plus loin que sa toute petite vision des choses et qui ne doit pas être facile à vivre.
Pour finir, le délit de blasphème n'existe pas en France et l'acte lui-même est régulièrement pratiqué dans notre pays, notamment envers le christianisme. C'est presque un droit, dont personnellement je n'use pas et dont je réprouve bien souvent l'usage. Je ne vois d'ailleurs pas où j'aurais "blasphémé" selon les règles des uns et des autres. Sinon, qu'on ait l'amabilité de me dire où…
la guerre sainte : une obligation coranique
Pourquoi, vouloir nier les faits : le coran contient une vingtaine de versets qui incitent à la guerre sainte (il n’y a qu’à lire) et tous les textes transmis par les compagnons du prophète de l’islam le confirment (lire la Sîra, la vie du prophète racontée par ses compagnons) car si au départ, lorsqu’il résidait à la Mecque, il a essayé de remplacer le culte des idoles, par une religion monothéiste fortement empruntée au Judaïsme et qu’il s’est montré proche des juifs et des chrétiens, en arrivant à Médine, il s’est transfomé en chef de clan vindicatif, et a eu recours à la razzia pour subvenir aux besoins de sa communauté. Il a pour cela inventé la notion de guerre sainte, assurant à ses hommes, le butin sur terre et une place privilégiée au paradis.
Blaise
Blaise,
Il est bien dommage que certaines gens, ne sachent pas discuter ensemble sans respecter l’autre, respecter ses idées et bien évidemment sans insulter la personne avec qui ils ne sont pas d’accord.
Chacun a sa propre opinion et il est évident que l’on ne peut pas être toujours du même avis que, celui avec qui l’on parle, ou celui qui rédige un article.
Respecter les autres, c’est aussi se respecter, cette personne ne doit pas le savoir.
Elle ne sait pas non plus, que toi tu respectes toujours l’avis des autres, même si tu es en désaccord avec eux.
Et te traiter de cette façon, me touche.
Amicalement.
Andréa.