La coopération des relations Ivoiro-françaises était en mal depuis la crise militaire qu’a connu la Côte d’Ivoire. Une crise qui petit à petit s’est transformée à une véritable chasse à l’homme de tout ce qui est français. Des manifestants dirigés par Blé Goudé Charles, leader des jeunes patriotes qui avait demandé de pousser toute la France hors de la Côte d’Ivoire parce qu’elle était la cause de tous ces malheurs. Les ressortissants français aussi bien que les intérêts français n’ont pas échappé à la barbarie de cette jeunesse déchaînée. Ce qui a donc occasionné la perte de nombreux édifices français. Le Lycée français a été victime d’un pillage et d’incendie ainsi que le centre culturel français. Une situation regrettable pour tous les lecteurs de ce centre qui était plus q’une mine d’or de formation et d’information pour de nombreux ivoiriens qui emplissaient les salles de lectures dans une atmosphère agréable. Bien avant l’Internet qui n’était pas encore accessible à tous, le centre culturel français détrônait la première place des bibliothèques les plus fournies en terme d’ouvrages et les plus fréquentées à Abidjan pour le bonheur des élèves, étudiants et enseignants. Situé au cœur du centre ville dans la plus belle commune d’Abidjan, elle refoulait du monde dès son ouverture à cause de son attraction aussi pour les artistes musiciens. Sa ré-ouverture actuellement est véritablement le signe d’une confiance retrouvée aussi bien pour la France que pour les ivoiriens qui ont besoin de savoir qu’ils sont accompagnés sur le vrai chemin de la paix. La France qui annonce déjà construire d’autres lycées très prochainement, entend consolider ses relations avec la Côte d’Ivoire qui ont été rompues du fait de la crise. Cette étape franchie permettra sans doute d’inspirer de nouveaux investisseurs français à destination de la Côte d’Ivoire. Une situation sociale et économique restée catastrophique depuis le départ des investisseurs français et d’ailleurs.
AKWABA
Je pense que toute confiance retrouvée se conserve mais pour cela il faudrait qu’elle soit reciproque.
Je vous dirais merci pour cela mais le chemin parcouru est deja passé et celui qu’il reste a parcourir est trop long.
Tout se construit avec le pardon;la foi;l’humilité mais surtout la sincérité car il faut se servir des choses pour tout acquerir et non se servir des hommes pour acquerir des choses.
Nous en avons tous souffert et accueillons votre retour comme un grand départ à une amitié et sincerité retrouvées.
Force est de noter que ce n’est pas seulement le retour des investisseurs Français qui va relever l’economie ivoirienne mais le retour de la confiance de tous ceux qui sont partis quelque soit leur nationalité
Je crois que l’une des choses que les ivoiriens aurait compris c’est que le travail libère certs mais le travail acharné libère l’Homme de toutes servitudes.
Encore merci pour votre retour.Akwaba car vous êtes sortis par la petite porte mais vos actes aussi sincères qu’ils soient vous ouvriront les grandes portes.
Encore merci et la marche continue
nous sommes de jeunes etudiants voulant savoire plus sur le centre culturel français
AKWABA
merci d etre revenu chez nous car seul le pardon construit et je sais qu ensemble nous irons de l’avant.
DANS LE CADRE DE LA RÉOUVERTURE DU CENTRE CULTUREL FRANÇAIS LA COMPAGNIE DE DANSE NSOLEH
LAUREAT DE LA MEILLEUR CHOREGRAPHIE DE SUMMUM 2010
PRÉSENTE SA NOUVELL CRÉATION » LA RUE PRINCESSE » LE VENDREDI 21 MAI 2010 A 20H30 AU THÉÂTRE DE VERDURE DU CCF;
LA COMPAGNIE N’SOLEH ET CCF VOUS INVITE MASSIVEMENT…