Des diplomates occidentaux et observateurs d’organisations non gouvernementales internationales ont assisté mardi à Tunis à la deuxième audience du procès en appel de 30 salafistes djihadistes tunisiens présumés dont deux ont été condamnés en première instance à la peine capitale et huit à la prison à perpétuité, a-t-on constaté sur place.

Le groupe est accusé d’implication dans les affrontements armés avec les forces de l’ordre qui ont eu lieu fin décembre 2006 et début janvier 2007, causant la mort d’un officier de l’armée et d’un agent de police et de 12 salafistes présumés.

Accédant à la demande des avocats de la défense qui demandaient un « délai d’au moins un mois » pour préparer leurs plaidoiries, la cour d’appel a reporté l’examen de l’affaire au 8 février prochain.

Etaient présents à l’audience, les premières secrétaires des ambassades des Etats-Unis, Susannah Cooper, et de France, Julie Bedos, au nom de « la présidence locale » française de l’Union européenne, la Slovénie qui en assure actuellement l’exercice n’ayant pas de représentation diplomatique permanente en Tunisie.

Côté ONG, des délégués d’Amnesty International, l’ancien bâtonnier Denys Robillard, de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), Augustin d’Ollone, et de l’Organisation mondiale de lutte contre la torture (OMCT), Patrick Mützenberg ont fait le déplacement à Tunis.

Selon les autorités, le noyau du groupe de djihadistes composé de six personnes, cinq Tunisiens et un Mauritanien, s’était infiltré, muni d’armes et de munitions, par la frontière algérienne. Quatre ont péri et les deux autres attendent d’être jugés séparément. Ils étaient soupçonnés de liens avec l’ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), converti en branche d’Al-Qaïda au Maghreb islamique. (AP – 29.01.2008)

Des diplomates occidentaux et observateurs d’organisations non gouvernementales internationales ont assisté mardi à Tunis à la deuxième audience du procès en appel de 30 salafistes djihadistes tunisiens présumés dont deux ont été condamnés en première instance à la peine capitale et huit à la prison à perpétuité, a-t-on constaté sur place.

Le groupe est accusé d’implication dans les affrontements armés avec les forces de l’ordre qui ont eu lieu fin décembre 2006 et début janvier 2007, causant la mort d’un officier de l’armée et d’un agent de police et de 12 salafistes présumés.

Accédant à la demande des avocats de la défense qui demandaient un « délai d’au moins un mois » pour préparer leurs plaidoiries, la cour d’appel a reporté l’examen de l’affaire au 8 février prochain.

Etaient présents à l’audience, les premières secrétaires des ambassades des Etats-Unis, Susannah Cooper, et de France, Julie Bedos, au nom de « la présidence locale » française de l’Union européenne, la Slovénie qui en assure actuellement l’exercice n’ayant pas de représentation diplomatique permanente en Tunisie.

Côté ONG, des délégués d’Amnesty International, l’ancien bâtonnier Denys Robillard, de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), Augustin d’Ollone, et de l’Organisation mondiale de lutte contre la torture (OMCT), Patrick Mützenberg ont fait le déplacement à Tunis.

Selon les autorités, le noyau du groupe de djihadistes composé de six personnes, cinq Tunisiens et un Mauritanien, s’était infiltré, muni d’armes et de munitions, par la frontière algérienne. Quatre ont péri et les deux autres attendent d’être jugés séparément. Ils étaient soupçonnés de liens avec l’ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), converti en branche d’Al-Qaïda au Maghreb islamique. (AP – 29.01.2008)

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