Au prix d’une bonne nuit blanche, ou plutôt orange, je me suis rendu au petit déjeuner organisé par Philippe Dallier, sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois, membre de l’Observatoire de la décentralisation chargé de préparer un rapport sur les perspectives d’évolutions institutionnelles conduisant au Grand Paris.
Quelques blogueurs étaient conviés: le célébrissime Jean-Paul Chapon de Paris est sa banlieue, Valérie Bernard de Chroniques ma banlieue, Jean-Baptiste François et Mustapha Sandid de Prise directe, Versac qu’on ne présente plus, Antonio Duarte de GrandParis.net, et enfin le futu blogueur neuilléen Nicolas Supplisson.
Dans le cadre toujours aussi agréable du Sénat, nous avons évoqué en quoi le Grand Paris peut justement faire peur ou paraître technocrate, que ce soit pour les élus ou les citoyens. Nous avons longuement discuté de la question de l’identité territoriale, des compétences notamment en terme de transport. Les échanges étaient fort intéressants.
Ainsi, l’approche de Philippe Dallier est assez pragmatique. Elle a le mérite de pouvoir être réalisé assez facilement. Il s’agit de fusionner les départements de Paris et de la petite couronne, de doter ce Grand Paris des compétences en matière de transports, de logement, de développement économique et enfin de sécurité. Les autres compétences serait simplifiées et répartis entre la région et les communes qui les assurent déjà en pratique.
Pour ma part, je suis plutôt partisan d’un Grand Paris qui corresponde à l’agglomération, et donc qui inclut une partie des départements de grande couronne.
En tout cas, le Grand Paris tel que nous le concevons n’est pas de rajouter une couche au mille-feuille administratif mais de le simplifier en prenant en compte les évolutions territoriales de l’agglomération parisienne, afin de permettre une meilleure gestion des transports, du logement, du développement économique et de la sécurité afin de réduire les déséquilibres et les inégalités entre ouest et est.
Je considère que le Grand Paris permettra de résoudre les problèmes de la Ville, au sens que nous la vivons quotidiennement, autrement dit la ville réellement vécue.
Je tiens à féliciter une nouvelle fois Philippe Dallier pour ce rendez-vous convivial avec des blogueurs, de tous horizons.
Jérôme Charré
Au prix d’une bonne nuit blanche, ou plutôt orange, je me suis rendu au petit déjeuner organisé par Philippe Dallier, sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois, membre de l’Observatoire de la décentralisation chargé de préparer un rapport sur les perspectives d’évolutions institutionnelles conduisant au Grand Paris.
Quelques blogueurs étaient conviés: le célébrissime Jean-Paul Chapon de Paris est sa banlieue, Valérie Bernard de Chroniques ma banlieue, Jean-Baptiste François et Mustapha Sandid de Prise directe, Versac qu’on ne présente plus, Antonio Duarte de GrandParis.net, et enfin le futu blogueur neuilléen Nicolas Supplisson.
Dans le cadre toujours aussi agréable du Sénat, nous avons évoqué en quoi le Grand Paris peut justement faire peur ou paraître technocrate, que ce soit pour les élus ou les citoyens. Nous avons longuement discuté de la question de l’identité territoriale, des compétences notamment en terme de transport. Les échanges étaient fort intéressants.
Ainsi, l’approche de Philippe Dallier est assez pragmatique. Elle a le mérite de pouvoir être réalisé assez facilement. Il s’agit de fusionner les départements de Paris et de la petite couronne, de doter ce Grand Paris des compétences en matière de transports, de logement, de développement économique et enfin de sécurité. Les autres compétences serait simplifiées et répartis entre la région et les communes qui les assurent déjà en pratique.
Pour ma part, je suis plutôt partisan d’un Grand Paris qui corresponde à l’agglomération, et donc qui inclut une partie des départements de grande couronne.
En tout cas, le Grand Paris tel que nous le concevons n’est pas de rajouter une couche au mille-feuille administratif mais de le simplifier en prenant en compte les évolutions territoriales de l’agglomération parisienne, afin de permettre une meilleure gestion des transports, du logement, du développement économique et de la sécurité afin de réduire les déséquilibres et les inégalités entre ouest et est.
Je considère que le Grand Paris permettra de résoudre les problèmes de la Ville, au sens que nous la vivons quotidiennement, autrement dit la ville réellement vécue.
Je tiens à féliciter une nouvelle fois Philippe Dallier pour ce rendez-vous convivial avec des blogueurs, de tous horizons.
Jérôme Charré
Lire la suite sur: http://www.jerome-charre.fr/2008/01/petit-djeuner-s.html.