La crise politique belge s'intensifie avec la démission du Premier Ministre belge Yves Leterme, qui a renoncé à créer un gouvernement…
Yves Leterme a décidé de ne pas poursuivre la formation d'un gouvernement belge et a donné sa démission à Albert II, roi de Belgique.
Ce gouvernement de plus en plus utopique, devait être composé de 4 partis : les démocrates chrétiens, les libéraux flamands, et leurs homologues wallons.
Cela fera donc bientôt 6 mois que le pays est sans gouvernement. La crise entre francophones et flamands ne cesse de s'intensifier et les flamands ne cachent pas leur envie de se débarrasser du "boulet" francophone.
Les rumeurs les plus folles se font entendre. On parle ici et là d'indépendance, de séparation entre francophones et néerlandophones. Ce qui est sûr, c'est que nous sommes à une période charnière de l'histoire de la Belgique…
Beaucoup de vérités mais quelques inexactitudes. Monsieur Leterme n’est pas le Premier Ministre belge (Il n’est que le formateur d’un gouvernement en devenir – Le premier ministre – démissionaire mais en affaires courantes- est Guy Verhofstadt)et les libéraux qui se retrouvent autour de la table sont flamands d’un côté et francophones de l’autre. En effet, les libéraux francophones sont présent tant à Bruxelles (au statut périphérie et urbain /- bilingue) qu’en Wallonie. Pauvre petite Belgique: si petite et si difficile à former! On jurerais l’Europe, oups,…j’oubliais.
subtilité
Autre « petit détail » Albert 2, n’est pas pas le Roi de Belgique….mais Roi des Belges ce qui n’est pas tout à fait la même chose.
Lib
C’est un Belge qui monte dans un train
C’est un Belge qui monte dans un train, il trouve un compartiment où il a réservé sa place. Dans le compartiment se trouvent déjà deux Français costumés et cravatés qui tapent sur leurs ordinateurs. Notre brave Belge s’installe près de ces deux Français et commence à manger son sandwich.
Au bout de quelques minutes, il demande à l’un des deux hommes, avec un fort accent Belge :
« Puiche-je savoir où vous z’allez ? »
« Et bien moi, je vais à PARISS », répond, d’un air moqueur, le français.
Le Belge a mal compris et demande : « PARISSSS ? »
Et le cravaté rétorque : « OUI, PARIS avec deux S !!! »
Le Belge se demande pourquoi Paris avec deux S mais n’en rajoute pas et continue à déguster son sandwich.
Un peu plus tard, il s’adresse à l’autre Français et lui demande :
« Et vous, où allez-vous ? »
« Et bien moi, répond le deuxième Français, également d’un air moqueur,
je vais à Bordeaux avec deux X !!! »
Le Belge ne répond pas et s’interroge sur ces deux hommes qui se
moquent de lui.
Tout à coup l’un des deux Français cravatés se tourne vers notre Belge
et lui demande :
« Et toi, où vas tu ? »
« Et bien moi, j’vais à Mâcon, avec deux con.
Excellente je la reprendrai. Très drôle!
Ah ces Belges!