Les technologies dans nos vies, impensables tant qu’elles n’y sont pas, du mal de s’en passer une fois entrées…
Le 3 Avril dernier nous fêtions, les 40 ans du téléphone portable. Réservé tout d’abord à une élite de professionnels, hommes d’affaires très débordés, souvent lourd et grand (plus tard il aura même l’appellation de "frigo" ou "cabine"), il ne servait qu’à émettre des appels, sans pouvoir en recevoir. Difficile à imaginer pour nos jeunes générations, qui quelques quarante années plus tard, ne se voient pas vivre sans lui et sans toutes ses panoplies comme y lire des messages, naviguer sur internet, prendre des photographies ou encore l’utiliser comme réveil matin. Accessoirement, avec le temps, nos appareils très compacts se glissant dans la poche, peuvent même y émettre comme recevoir des appels…Le téléphone en réduisant sa taille comme son coût, agrandit le champ de tous les possibles. Nous pouvons communiquer avec le monde entier, au moment souhaité, très rapidement ! et de plus, avec des choses que nous n’imaginions même pas.
En effet, si le téléphone portable devient quadragénaire, l’utilisation du code barre cette année aussi. Même si son invention propre, par George Laurer est faite en 1970, c’est bien en 1973 que son utilisation devient courante. Tout d’abord pour les wagons des trains, puis pour les produits de consommations quotidiennes dans les supermarchés, tels que tous les connaissent aujourd’hui. Puis, technologies aidant, c’est le téléphone, qui peut aussi scanner ce fameux code barre…
N’oublions pas non plus, que cette année-là, Paul Laubertur trouve l’amorce de l’invention, de ce qui deviendra une image bidimensionnelle, à savoir l’IRM.
Même si l’amélioration des choses reste un réel travail, dans tout ce tourbillon, rendons l’hommage mérité, aux vrais inventeurs, partis de rien, sinon de leur imagination et de leur savoir, les authentiques Bell, Edison et autres, qui ne se douteraient pas à quel point et en si peu de temps dans l’histoire de l’humanité, leurs vraies créations, ont fait un bond vers l’avant.
