Depuis ces dernières années, la France a connu une considérable montée de la violence.

Qu’elle soit physique ou verbale, ethnique ou raciale, la France n’a pas cessé de compter les nombreux actes de violence commis par ci et par là.

Combien même des efforts sécuritaires  et de sensibilisation ont été mis en place pour diminuer ce grand fléau qui menace les grands et les  petits, la violence ne cesse de prendre de l’ampleur  au vu et au su de tout le monde.

En effet, un grand nombre de personnes en France se plaignent chaque jour d’être victimes d’actes de violence. A l’école, au travail, à la maison dans la rue et même dans les endroits de culte, personne n’est épargné.

Nourris de haine et de beaucoup d’agressivité, les actes de violence se répètent chaque jour par les mêmes  commanditaires de faits obscurs et d’intolérance.

Selon l’Observatoire nationale de la délinquance et des réponses pénales(ONDRP), les atteintes à l’intégrité physique ont augmenté au premier trimestre 2014 de 5,5%. Plusieurs actes de violence ont été recensés : coups et blessures, règlement de compte, vols à main armée, viols et  homicides volontaires. Selon l’Observatoire, les violences sont passées de 118 000 au premier trimestre 2013 à plus de 125 000 pour les trois premiers mois de 2014.

Le plus inquiétant ce sont les violences dites « gratuites », dans la rue, à l’école ou dans le cadre familial. Plusieurs actes d’agressivité ont été signalés, allant de simples injures accompagnées  de coups et blessures jusqu’aux pires actes criminels.

Face à cette recrudescence de la violence en France, l’on s’attend à ce que le gouvernement français prenne les mesures indispensables et nécessaires pour diminuer les effets de ce grand fléau qui ne cesse de faire des ravages.  

Malheureusement, le hic de ce moment c’est la grande initiative du gouvernement  qui s’apprête à faire voter la réforme Taubira qui aura pour effet – si ce n’est pour but – de vider les prisons  ce qui impliquera sans aucun doute une autre hausse de la violence en France.