Jérôme Sainte-Marie, le directeur général adjoint du département politique / opinion du CSA était l’un des invités de Laurent Ruquier dans son émission du 12 mars.
Le sondage donnant Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2012 est au coeur du débat.

On apprend que lors de la présidentielle de 1995, Lionel Jospin n’était pas attendu à quatre ou cinq mois avant le scrutin, le sondage prévoyait l’ancien premier ministre à 7% « redressés » à 14 %.

Comment, pourquoi ?

Or, je ne retrouve pas cette information sur la vidéo ci-dessous, peut-être l’ai-je mal visionnée ou a-t-elle était coupée au montage ? Mais je suis sûre d’avoir entendu cette phrase et noté la surprise générale. Peut-être quelqu’un pour corroborer ?

Soutenant la proposition de loi sur une révision des méthodes des sondeurs, j’avais proposé :
« Un choix multiple de réponses possibles dans le nouveau mode de questionnement, les sondés avec une opinion non tranchée pourraient donner au moins deux réponses.
Des mots-clés le plus souvent prononcés pourraient être retenus.

 Dans ce cas, ce sont les sondés qui guident véritablement le sondage, des éléments peuvent surgir contre toute attente.» ainsi qu’une marge d’erreur à insérer dans les méthodes.

Ne reniant pas un reflet partiel d’opinions de notre société par l’intermédiaire d’enquêtes, Jérôme Saint-Marie confirme bien qu’un recul est nécessaire quant à notre interprétation des sondages.

 


Sondeur Vs Zemmour & Naulleau 1 [POL] Onpc… par peanutsie

 

Sur le sujet :
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