Histoire insolite qui se passe en Suisse, dans le canton de Grisons à Coire
Une femme pasteur de 66 ans, et à la retraite a accouché de jumeaux. A 66 ans c’est la femme la plus âgée connue qui ait donné naissance à des jumeaux en Suisse, selon le journal local le Sonntags-Blick, il y avait déjà eu un précédent, en 2010 une femme de 64 ans avait donné naissance à une jolie petite fille.
Toujours d’après le journal local qui est resté assez flou, concernant cette histoire, on sait néanmoins que cette femme pasteur, n’a jamais été mariée et qu’elle vit seule.
Etant donné que son envie d’avoir un enfant, malgré son âge avancé, ne diminuait pas, elle décida de quitter son petit village de Grüsch, pour s’expatrier en ex-république Soviétique.
Pour satisfaire son désir d’avoir un enfant, la sexagénaire s’est rendue en Ukraine où le don d’ovocytes est autorisé, alors qu’en Suisse, il est interdit.
En Ukraine, de nombreuses agences font la promotion du baby-Pack, et elle a donc pu obtenir facilement un don de spermes et un don d’ovocytes avant de se faire implanter un embryon.
Quand on pense qu’en France et un peu partout en Europe, on manifeste pour être pensionné à 60 ans, et pouvoir profiter d’un repos bien mérité, pendant ce temps-là, d’autres personnes recommencent tout à zéro, car pour moi avoir des bébés à 66 ans, c’est repartir à zéro.
Je veux dire par cela, recommencer les couches, les biberons, se lever plusieurs fois par nuit pour nourrir les nourrissons, passer des nuits blanches, comme on en a tous connus avec nos enfants, fièvres, dents etc.
Je n’ai rien contre les femmes qui veulent donner naissance à un enfant bien qu’elles aient plus de 50 ans, mais je trouve que c’est un peu d’hypocrisie par rapport aux enfants, même si nous vivons plus vieux, on vieillit quand même.
Il faut penser aux enfants, quand ils seront en âge d’école, que ce soit maternel, les primaires, ou leur bac, ils seront gênés quand leur maman viendra les conduire ou les chercher.
J’ai connu cela avec un ami en primaire, souvent on allait les mercredi après-midi goûter et jouer chez ses grands-parents, car nos parents travaillaient et au moins on n’était pas seul dans la rue.
On était gâté par ses adorables personnes, j’étais même un peu jaloux de voir à quel point ces grands parents faisaient tout pour nous satisfaire.
De la première à la cinquième année primaire, on a toujours cru que c’était vraiment ses grands- parents, ils devaient avoir, si mes souvenirs sont bons, dans les 70 ans et lui à peine la dizaine.
Puis un jour il nous a avoué que ses grands-parents étaient en réalité ses parents, et qu’ils l’avaient eu très tard, et comme il déménageait et changeait d’école, il voulait que l’on sache la vérité.
Honnêtement je ne sais plus comment j’ai réagi, si j’étais fâché par son mensonge, si je me suis moqué de lui, ou si cela ne m’a pas dérangé et laissé sans réaction.
Je ne sais pas ce qu’il est devenu, je sais qu’il s’appelle Jean-Pierre, mais ne connais plus son nom de famille et c’est bien dommage car j’aimerais bien savoir ce qu’il est devenu, et ce qu’il fait dans la vie, car dans les études il était toujours dans les premiers.
Si tu t’appelles Jean-Pierre, si tu as fait tes primaires à l’école de l’état de Ganshoren (Bruxelles), ou si quelqu’un le connait et me lis, faites-moi signe, SVP.
D’avance merci
Bonne Lecture Eric
Votre article est intéressant et plein d’humanité.
La seule réserve que je ferais concerne le regard des autres. Tâchons de ne pas tenir compte de l’intolérance d’autrui (même si c’est évidemment plus facile à dire qu’à faire, j’en suis conscient).
Je suis davantage touché par l’argument sur la limite des capacités à s’occuper d’un enfant passé un certain âge. Mais c’est en effet un sujet complexe.