De nombreux pays pauvres crient famine tandis que les pays riches gaspillent encore beaucoup trop ce qu’ils produisent. Trois grands facteurs sont dénoncés par des instituts de recherche : l’utilisation des terres agricoles afin de produire des biocarburants, l’anticipation des fluctuations des marchés et le réchauffement climatique. Tous ces facteurs ont augmenté suite aux actions posées par les pays riches. On peut alors se demander : comment pourrions-nous faire pour diminuer ces facteurs?
Pour ma part, je crois qu’il est grand temps que nous nous informions sur ce que nous consommons. Chaque épicerie devrait permettre de connaître d’où viennent les aliments, combien de kilomètres ils ont parcourus et quels pesticides ils ont reçus. C’est alors, qu’une petite pancarte d’information pourrait être annexée à chaque produit.
Avec cette information, les gens pourraient ainsi faire des choix plus conscients, en toute connaissance de cause .
Ceci est une idée parmi tant d’autres, mais il serait bien aussi que les consommateurs décident d’acheter plus d’articles locaux. Ces gestes pourraient contribuer à réduire l’impact de la crise alimentaire, puisque l’achat de produits régionaux permet de réduire la consommation de biocarburant et réduirait ainsi l’émission de CO2 dégagé durant le transport.
Dans la même lignée, les industries qui produisent des biocarburants pourront alors diminuer leur transformation puisque la demande sera moins élevée et, de ce fait, le maïs qui ne sera pas consommé en éthanol pourra être servi sur les tables des pays pauvres afin de réduire au plus vite, la famine. En d’autres mots, les achats locaux produiraient moins de gaz à effet de serre durant le transport et cela contribuerait à diminuer la consommation d’essence qui permettrait de nourrir plus de gens. De plus, le fait d’acheter localement permet de développer une meilleure économie régionale et diminuer la concurrence avec les grands marchés qui font augmenter les prix. En bref, la consommation régionale pourrait favoriser grandement les pays en détresses.
Vivre dans une société où les autres se préoccupent du bien de tous, n’est pas loin d’un univers parfait !
Bien l’article !
Après les campagnes de propagande du commerce équitable, bouffeur de CO2, on commence à s’apercevoir que nous avons tout ce qu’il faut prés de chez nous comme faisaient nos anciens ! En plus ça fait vivre nos « paysans », incroyable !
Un peu de bon sens dans ces temps tourmentés !
et puis à défaut d’autre chose il y a du [b]soleil vert[/b] (ou [b]rouge[/b])
Et en plus en mangerais mieux