Une ressource au compte-gouttes
Le corps humain est composé de 65 % d’eau et le corps n’a pas la capacité de se faire des réserves d’eau , il l’élimine en grande partie par la respiration , la transpiration et par l’urine. L’humain doit alors s’hydrater chaque jour. Saviez-vous que il y a plus de 900 millions de personnes qui sont affectées par le manque d’eau potable dans le monde ? Malgré ces statistiques nous continuons à contribuer à la pollutions des eaux.
D’une part selon le laboratoire-defrance.com les polluants provenant des rejets domestiques et industriels chargés de matières organiques fermentescibles ont régressé. Les polluant chimiques qui comprennent les métaux toxiques , les fertilisants et les pesticides tant qu’a eux , ont augmenté de façon considérable, voir même inquiétante. La perte de fertilisant dans l’environnement est en partie responsable de l’apparition très médiatiser des cyanobactéries communément appeler les algues bleus.
Le plan d’eau subit un effet d’eutrophisation, il est comme asphyxié, son taux d’oxygène diminue. C’est alors que plusieurs espèces marines voient leurs habitats se détériorer ou se détruire. En effet, cette prolifération à également un impact économique puisque certains cours d’eau sont interdit de baignade et entraînent alors des fermetures de plages et une baisse de fréquentation des campings.
D’autre part, Il y a également les industries pharmaceutique qui contribuent à la pollution médicamenteuse. Radio-Canada qualifie le St-Laurent de pharmacie à ciel ouvert , il devient inquiétant pour nous de consommer de l’eau lorsqu’on sait que certain résidu de médicaments sont omniprésent dans les eaux destinées à consommation humaine. Ce phénomène provient des industries pharmaceutique, des hôpitaux, de l’urine et des selles humaines, ainsi que les médicaments qui ne sont pas utilisés ou ceux périmés qu’on retrouve dans les eaux usées. Malgré les nombreux systèmes de collecte encore beaucoup trop de gens jettent les médicaments même en ayant conscience des effets catastrophiques de ceux-ci. Les conséquences des résidus sont encore inconnues sur la santé, mais on estime que cela pourrait provoquer la tolérance aux antibiotiques et à d’autres médicaments.
En terminant, les enjeux de notre planète sont énormes, c’est dans un effort collectif que nous allons pouvoir diminuer la vitesse à laquelle notre terre se dégrade. Luttons pour la préservation de nos eaux aux noms de ceux qui n’y ont pas accès!!
Bonjour,
Je vous invite à lire mon livre « Pour une médecine écologique » paru aux éditions Alphée/Jean-Paul Bertrand le 7 mai 2009.
Ce livre fait le bilan des méthodes de soins en mettant en perspective les questions de pollution par les médicaments. En effet, dans le cadre d’une réflexion écologique globale, on peut constater que la médecine se place toujours du côté des solutions et semble, par principe, être exonérée de responsabilités dans la crise écologique. Pourtant, au même titre que l’agriculture conventionnelle, elle est très coûteuse, d’une efficacité (rapport entre les moyens investis et des résultats sur le long terme) contestable et surtout, on le sait maintenant, très polluante.
Tous ces éléments devraient conduire la communauté à plus d’esprit critique à l’égard de cette activité humaine qui, non seulement, ne souffre pas d’être critiquée mais, en outre, continue de bénéficier, de la part du public, des médias et des sphères du pouvoir, d’un statut que rien ne semble pouvoir changer.
Toutes les activités humaines sont plus ou moins revisitées au travers d’une analyse écologique critique mais la seule qui en réchappe est la médecine conventionnelle moderne. Cela pourrait avoir de fâcheuses conséquences tant en terme de résultats thérapeutiques que d’impacts sur l’environnement. C’est cette étude à laquelle je me livre dans mon ouvrage.
Cordialement
Christian Portal
01 30 41 93 65
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http://www.medecine-ecologique.info
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