Une photo de Carla Bruni nue, aux enchères !
Voir le cliché, dans cet article.
Une photo de la première dame de France va être vendue aux enchères.
Cette photographie a été prise alors que Carla était mannequin, elle pose nue pour le photographe de mode Michel Comte en 1993, cela se révèle être un nu très sage.
Elle pose les mains jointes dissimulant son intimité.
C’est sexy, sans être vulgaire et c’est photographié avec goût par Michel Comte (né en 1954) .
Une précédente photographie avait déjà été mise aux enchères lors d’une vente chez Christie’s à New York.
Elle avait d’ailleurs suscité un vif intérêt de la part des médias et des collectionneurs.
Tous les médias et les journaux people en avaient parlé à l’époque. Se demandant même ce qu’en penserait le Chef de l’Etat.Car Carla venait d’épouser le Président de la République, deux mois plutôt.
Elle avait été adjugée pour 91 000 dollars en avril 2008.
Cette photographie en noir et blanc de Carla Bruni, et mise en vente par Piasa, sera vendue aux enchères le 20 novembre à l’Hôtel Drouot à Paris.
Elle est estimée entre 6000 et 9000 euros. Cette épreuve contrairement au premier cliché vendu à New York, porte le cachet du photographe.
Mais elle ne devrait pas atteindre la somme considérable de celle vendue, en avril 2008.
source voici
Elle est estimée entre 6000 et 9000 euros
ça fait cher le kg
pff et là je me suis fait plumé au monopoly par mon fils … décidément ce n’est pas mon jour … j’ai horreur de perdre (même contre mes enfants :-)). Nous avons prévu d’en parler dès que possible en prenant chacun un peu de recul sur tout cela mais en conservant l’idée d’eesayer de faire une place à tout le monde.
Elle était déjà achetée aux enchéres des marionettes par Nico. Nue ou pas nue, c’est de la prostitution.
[b]PAROLE DE P…
« I AM SHOKING » ![/b]
« Je suis très étonnée par le peu de confiance que, bien sûr,
M. de Villepin, mais aussi visiblement les médias, accordent
à la justice française, le peu d’indépendance qu’on lui attribue ».
…
« Je crois fondamentalement dans l’indépendance de la justice,
je crois que nous sommes dans des états de droit et je suis
stupéfaite par ce genre d’allégations’, a poursuivi la première
dame de France, jugeant tout cela « stupéfiant ».