Des tours de Hong Kong à l’Opéra de Sydney, l’Asie a été la première à participer à l’événement organisé par le WWF. L’opération « Une heure pour la planète » (« Earth Hour »), destinée à promouvoir la lutte contre le réchauffement climatique, a été reprise cette année dans plus de 4 000 villes à travers le monde, soit un nombre record de participants quelques mois après l’échec du sommet de Copenhague.

Économiser l’énergie pendant une petite heure pour lutter symboliquement contre le réchauffement climatique, même le plus gros pollueur de la planète s’est prêté au jeu en plongeant dans le noir le stade emblématique des Jeux Olympiques de Pékin en 2008 et la Cité Interdite.

L’Europe, l’Afrique et l’Amérique ont également suivi l’opération, de la Tour Eiffel à Paris aux Pyramides et Sphinx d’Égypte, en passant par l’Empire State Building de New York, près de 1 200 monuments ont été plongés dans l’obscurité.

L’objectif de la WWF, derrière l’opération, est de mettre en avant les liens entre l’usage énergétique et le changement climatique, prouvant aussi que les communautés, même très larges, peuvent aussi s’emparer des défis de la planète.

Malgré cela, le changement climatique reste un sujet d’inquiétude pour chacun d’entre nous…