C'est ce qu'annonce Benoît Hamon, porte-parole du PS. Selon lui, la faible croissance économique du deuxième trimestre (0,3% contre 0,6% estimé), va automatiquement se répercuter sur la fiscalité, afin que le gouvernement puisse honorer ses objectifs en matière de déficit.

Afin de "sauver les meubles", le gouvernement serait également en train de revoir à la baisse les dépenses publiques, en réduisant notamment, le nombre de fonctionnaires.

Toujours selon Benoît Hamon, la seule manoeuvre possible pour le gouvernement afin de continuer à financer la Sécurité Sociale et les dépenses publiques, reste donc une hausse de la fiscalité.

La TVA étant l'impôt le plus rémunérateur pour l'Etat, sa "cousine", la TVA sociale pourrait donc apparaitre, mais à un taux plus important que prévu.