La situation économique européenne et internationale est loin d’être au beau fixe depuis quelques temps et de nouvelles inquiétudes sur le devenir de la zone euro, se profilent, suite aux difficultés des pays de la zone euro de se mettre d’accord sur un nouveau plan d’aide à
A peine entrée en fonction à la direction du Fonds monétaire international, Christine Lagarde est confrontée à l’une des plus graves financières de l’après-guerre, avec le problème de
Le premier plan d’aide de 110 milliard d’euros, accordé à
Mais dans ce domaine les européens ne sont pas tous d’accord et certains pays comme l’Allemagne, les Pays bas et
D’autres optent pour une méthode plus souple basée sur un étalement de la dette grecque dans le temps. Mais rien n’est encore décidé entre les pays de la zone euro group qui tardent à se mettre d’accord.
Tout cela constitue une véritable cacophonie et l’Europe n’arrive pas à donner une image unie dans le soutien à apporter aux pays en difficulté économique. Et c’est bien là le problème et pendant ce temps la situation ne fait qu’empirer.
Cette crise financière européenne est très inquiétante dans la mesure où elle se double d’une crise boursière qui affole les marchés financiers européens.
Ils ont très fortement reculés lundi dernier en raison d’un mouvement de défiance généralisée généré par la crise grecque, le colossal déficit public américain et les nombreuses interrogations sur la croissance économique mondiale.
Il est grand temps que l’ensemble des parties prenantes puissent trouver assez rapidement une solution à cette crise européenne, pour éviter que l’Europe vive en permanence sous la menace de crises financières qui mettent systématiquement en jeu la pérennité de l’euro.
La solution est connu mais personne ne veut si résoudre, il faut supprimer une partie de la dette grec. Avec un jeu d’écriture banquaire, cela se fait sans problème. L’histoire à déjà vu de tel directive être mise en place, et c’est la seul qui pourra sauver la grèce et l’europe de la banqueroute.
Nottons cependant, que il y a aussi le portugual qui a une santé fragile économiquement, puisqu’il fait partie des fameux Pigs (Portugual, Italie, grêce, spain) qui ont une éconmie qu’on pourrait qualifier de branlante. Et la france ne suit pas de trop loin ce peloton hélas.
VOEUX PIEUX , MA PAUVRE !!!!!!!
» Il est grand temps que l’ensemble des parties prenantes
puissent trouver assez rapidement une solution à cette
crise européenne, pour éviter que l’Europe vive en permanence
sous la menace de crises financières qui mettent
systématiquement en jeu la pérennité de l’euro. »
Les places boursières mondiales s’effondrent depuis 15 jours. Et cette fois, les états ne pourront pas venir au secours des banques parce que les états n’ont plus de pognon.
Les Chinois détiennent les dettes des états, des emprunts Russes modernes, en somme.
Car il serait faux de croire que seule la Grèce est en faillite ! Les USA ne parviennent pas à boucler le budget. Ils y parviendront sans doute au dernier moment, ils garderont peut-être même leur AAA, mais cela n’empêchera pas les marchés d’en tirer les leçons qui s’imposent : l’argent n’est pas en sécurité, aux Etats-Unis d’Amérique.
Les banques Allemandes détiennent des actifs pourris plein leurs coffres.
L’Espagne est dans une situation catastrophique.
L’Italie pourrait résister dans un environnement sain, mais pas dans la situation actuelle.
La situation financière de la France n’est pas brillante non plus (les âneries de défilé, et l’agression en Afghanistan n’arrangent rien, mais ce sont surtout les parasites qui nous ont conduit là).
Et pourtant, cette situation était plus que prévisible, et d’ailleurs, nous avons été nombreux à la prévoir, et à dénoncer les plans de relance scandaleux organisés par les états au profit exclusif des parasites.
Les peuples ont pour l’instant choisi de croire les soi-disant experts, pour moitié incompétents, pour moitié vendus qui leur ont assuré qu’une relance des banques privées était la clé du problème. Il y a quelques mois encore, Christine Lagarde nous assurait que le plus gros de la crise était derrière nous. Elle s’est planté en beauté, mais que cela n’empêche pas de la mettre à la tête du FMI, elle qui n’a pas les compétences suffisantes pour tenir à jour les comptes d’une association étudiante.
Les experts mentent, mais les faits, eux, ne mentent pas. La conséquence de ces plans de relance hors de prix s’est fait attendre plus de 2 ans, mais elle arrive. Je l’annonçais « dans les semaines à venir » dans mon article daté du 7 avril :
[url]http://www.come4news.com/krash-boursier-imminent-272406[/url]
Une question de temps, mais seulement de temps.
L’autre question, maintenant est que va-t-on faire ?
Continuer de faire confiance aux parasites qui nous ont plongé dans la crise, organisé des plans de relance fumistes qui n’ont finalement que retardé l’inévitable ? Ou s’engager enfin dans la voie du progrès ?
Vous osez encore demander la solution ?
La destitution des parasites.
La nationalisation des entreprises multinationales.
La nationalisation du secteur bancaire.
Et bien sûr, le non remboursement de la dette.
Ce qui manque, ce ne sont pas les idées, mais la conviction de devoir les mettre en pratique.
Mettre en place ces solutions paralyserais le monde. Le système monétaire est basé sur la confiance. Gagner de l’argent n’aurait plus d’intérêt pour les entrepreneurs si ils savent qu’au final leur entreprise sera nationaliser ou imposer à des taux inconcevable par l’état. Le non paiement de la dette est évident, mais vos solutions manque de chance de réussite. Si les marché deviennent frileux -ce qui arrivera avec de tels mesures- alors l’Europe replongera dans la crise qu’elle avait pourtant réussi à quitter temporairement. Et là, les initiatives personnelles ne permettront pas à l’euro de relever la tête, alors que l’espoir est encore de mise aujourd’hui. L’économie est une science de hasard, rien n’est sur est prévoir une crise n’est pas choses aisé. Le nombre de facteur entrant en compte est bien trop élevé pour se permettre une tel déduction. Et le temps d’arriver au terme d’une tel réflexion, la crise serait sans doute déjà passer. Ecole keynessienne et libérale se tire dessus depuis longtemps à ce sujet. Quand au parasite, certain font de leur mieux. Rappelons que sous ce termes péjoratif se cache nombre de personnes surnommé ainsi. Les fonctionnaires sont vu ainsi parce que payé par le contribuable, mais rappelons que sans eux, le pays ne marcherais pas, ou du moins, nos portefeuilles grinceraient beaucoup des dents. Et les dirigeants sont eux élu par le peuple, ils nous faut donc admettre ce fait et se dire que si il y a mécontentement, il faut faire bouger les choses aux prochaines éléctions.
Il faut surtout arrêter les gens qui s’en mette plein les poches avec sa