Et si demain le cancer devenait une maladie comme les autres ! Ce n’est peut peut-être plus de l’utopie. Une étude publiée par un chercheur de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) permet  aux  millions de personnes atteintes d’un cancer dans le monde de garder l’espoir de pouvoir guérir un jour.

Depuis bien longtemps de nombreux scientifiques essayaient de démontrer qu’il y avait un point commun entre toutes les tumeurs cancéreuses et avec les dernières recherches dans ce domaine, c’est maintenant confirmé.

 

Après avoir testé les tumeurs sur des cancers très différents, les chercheurs ont découvert qu’elles étaient toutes dotées d’une molécule produite par le cerveau (la FSH), agissant sur les organes reproducteurs des individus.

 

Il faut savoir qu’en France, 50 % des individus atteints d’un cancer survivent et apprennent à vivre avec, comme pour une maladie chronique. Les cancers les moins agressifs sont les cancers du sein, de la prostate, de la tyroïde, de la peau, de la maladie d’Hodgkin et de l’utérus. L’intérêt c’est de les dépister le plus tôt possible pour avoir  toutes les chances d’en guérir.

 

D’autres cancers sont plus agressifs et la survie est très souvent inférieure à 5 ans. Ce sont les cancers du poumon très nombreux avec le tabagisme, les cancers de la plèvre avec les risques liés à l’amiante et aussi, ceux du foie, du pancréas, de l’œsophage et de l’estomac.

 

C’est surtout pour ces types de cancers que les nouvelles molécules mises au point par les chercheurs sont un réel espoir. Elles permettent d’agir de façon ciblée en coupant l’alimentation sanguine de la tumeur cancéreuse, ce qui l’empêche de progresser et de se développer.

 

Il y a déjà eu d’énormes progrès faits ces dernières années, avec la mise en place de traitements personnalisés  mieux ciblés qui évitent  les effets secondaires et  en matière de prévention avec la diffusion d’un vaccin contre le cancer de l’utérus qui doit pouvoir diminuer voir éradiquer ce type de cancer si les jeunes filles de 14 à 25 ans se font vacciner.

 

Souhaitons que ces récentes études ne soient pas de fausses promesses mais qu’elles se concrétisent assez rapidement !