"Nous n'avons été contactés ni par elle ni par le moindre ravisseur", a déclaré l’employeur de Cyd Mizell et de son chauffeur dans un communiqué publié sur le site de la fondation, ajoutant que celle-ci "faisait tout ce qu'elle pouvait pour trouver une solution à cette situation".
Le gouvernement afghan a déclaré que personne n'avait revendiqué ces enlèvements. "Jusqu'à présent personne n'a pris contact avec la police". "Nous faisons de notre mieux pour assurer sa libération en toute sécurité", a indiqué le porte-parole du ministère de l’Intérieur.
Dès dimanche matin Kandahar était quadrillée par la police et les entrées principales bloquées. "Il y a des fouilles importantes opérées à toutes les entrées de la ville", a déclaré un offier en poste à l’une d’elles. "Notre objectif est d'empêcher les ravisseurs présumés de sortir l'otage (de la ville) et avec la grâce de Dieu de les arrêter", a-t-il ajouté.