IL PROPOSE SON REIN CONTRE UN EMPLOI !!!

 

 

 

Terrible drame de notre société où les gens souffrent de plus en plus et sont parfois au bord du désespoir. Malheureusement c'est loin d'être fini.

 

Allons-nous assister impuissant à cela et sans que l’Etat daigne bouger le petit doigt en faveur de ceux qui perdent leur emploi ou en faveur des travailleurs et de tous les français en souffrance ???

 

Dans quel monde vivons-nous ???

 

C’est ainsi qu’un homme de quarante trois ans, Alain Canovaro vient de proposer l’un de ses reins contre un emploi. Il a travaillé comme agent hospitalier, puis comme conducteur de bus avant d’être licencié en 2002 et d’être à présent au RMI. Alors avec l’aide d’une amie qui elle possède un ordinateur, il a posté une dizaine de petites annonces sur Internet ce jeudi. Ciblant les sites de recherche d’emploi.

 

Oh ! Ce n’est pas un fou, mais il est désespéré de ne pas trouver d’emploi et comme il le précise :

 

– "Je sais ce que je risque médicalement, mais surtout j’assurerai mes arrières. Il ne faudrait pas que je donne un rein et que l’on me vire au bout de trois mois. Je veux un emploi stable, alors je vais m’entourer d’avocats".

 

En effet, ce n’est pas sans danger de donner un rein.

Faut-il que les français soient de plus en plus désespérés, mal dans leur vie pour en arriver à de telles extrémités. Allons-nous devenir comme ces pays où les gens proposent un de leurs organes contre une modique somme pour essayer de survivre.

 

Le monde devient réellement fou, l’argent est Roi et peu importe que les gens soient désespérés du moment que certains se remplissent les poches confortablement.

Il a eu cette idée car il sait de nombreuses personnes dans l’attente d’un rein et au vu de la rareté des donneurs, il espère qu’un chef d’entreprise ayant une personne de son entourage rencontrant ce problème, lui propose un emploi contre son rein.

 

Mais c’est terrible dans arriver à ce point là. Et même si l’on sait que c’est interdit et que l’on ne peut donner un organe de son vivant qu’à un membre de sa famille, où à la personne avec laquelle on vit.

On se rend compte à la lecture de se fait divers, jusqu’où sont capable d’aller les personnes sans emploi. Et comment peut-on être sûr, même avec cette interdiction, que les dérives ne seront pas possible dans le futur.

 

C’est un terrible constat qui en dit long sur notre société actuelle.