Un dimanche en braderie à Châteaugiron

 

Normalement on parle d’un dimanche à la campagne, ou d’un dimanche à la mer ou chez grand-mère mais, je vais vous parler d’un dimanche en braderie.

Rassurez-vous, je ne vais pas vous lister mes achats mais, j’ai envie de vous partager un moment qui m’a vraiment surprise et émue lors de cette braderie.

Aujourd’hui, c’était la braderie à Châteaugiron (dans le 35). Une braderie qui est vraiment très grande et qui offre de jolis stands à des prix raisonnables.

Nous étions donc mes enfants et moi en train de flâner de stands en stands lorsqu’une "peluche poupée" a attiré mon regard sur l’un d’eux. Je me dirige vers le jouet et c’est là que j’ai été ému…

 

La propriétaire du stand m’aborde avec un grand sourire :

– Vous la voulez ?

– Oui, je la trouve vraiment jolie et je suis sûre que ma petite Zya va l’adorer.

– Et bien prenez là ! Je vous l’offre !

Ma première réaction a été de refuser, car j’ai été gêné par tant de générosité. Une amie (je présume) tenait un stand accolé au sien m’en a également offerte une avec autant de plaisir.

 

 

Pourquoi je vous raconte cela ce soir ?

 

 

 

 

Tout bonnement, car cela fait du bien d’écrire un article qui témoigne que de tels actes de générosité existent encore, malgré que la société actuelle fait que les hommes et les femmes ne sont plus que généreux envers leurs familles ou amis.

La France a beau être fébrile en ce moment, il reste tout de même des gens qui sont capables de telles bienfaisances.

Mesdames, si par chance de hasard de navigations, vous vous reconnaissez dans cet article et bien sachez, que ma petite Zya a aimé vos cadeaux de coeur. Ses sourires, son regard, ses bisous et câlins à ses deux nouvelles "amies-confidentes" m’ont fait le plus grand bien. Merci à vous !

Envie de conclure cet article positif par une belle note positive signé Mark Twain, écrivain et humoriste américain :

« La gentillesse est le langage qu’un sourd peut entendre et qu’un aveugle peut voir. »