l’Italia e sopratutte una lingua.
Alleporteditaliapinerolo publie : Umberto Eco : «L’Italie est avant tout une langue»
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C’est à la suite du 150ème anniversaire de l’unification Italienne qui eu lieu le 17 mars 2011 que l’essayiste et romancier mais aussi philosophe Umberto Eco directeur de sémiotique, d’esthétique médiévale, de linguistique à l’école supérieure des sciences humaines de l’université de Bologne et professeur émérite depuis 2008, une sommité mondiale, qu’il a écrit cet article. Il a publié de nombreux ouvrages dont deux romans en France le premier fut «Le nom de la rose en 1980» roman policier «la connaissance doit-elle être réservée à une petite élite qui aura tendance, de ce fait, à vouloir dominer la société ?» un succès immense. Ce livre relate l’histoire d’un moine fransiscain et ancien inquisiteur, Guillaume de Baskerville, qui se voit chargé d’une enquête au sein d’une prestigieuse abbaye bénédictine, accompagné d’Adso de Melk, jeune bénédictin qui deviendra son secrétaire….le résumé ici. Puis vient «Le pendule de Foucault» dont l’action se situe de nos jours et se veut une dénonciation de l’ésotérisme et de l’hermétisme, connaissant également un énorme succès. A Paris, le soir du 23 juin 1984, dans le Conservatoire national des arts et métiers où majestueusement oscille le pendule de Foucault, un homme observe avec révérence et crainte prémonitoire le prodige ! C’est Casaubon, le narrateur, venu de Milan, après l’appel angoissé de son ami Belbo qui se trouve en danger de mort….le résumé ici, voir l’accélération de Coriolis et le pendule de Foucault. Mais il écrivit aussi «il sviloppo dell’estetica medievale 1959» puis «l’Œuvre ouverte 1962» dans laquelle il écrit, «l’œuvre d’art est un message fondamentalement ambigu, une pluralité de signifiés qui coexistent en un seul signifiant», puis, «il ajoute que cette ambiguïté peut devenir une fin explicite de l’œuvre». Puis «apocalittici e integrali» 1964 connaissant comme tous ses romans un énorme succès.
Et son dernier roman «Il cimitero di Pragua» est déjà un best seller vendu en Italie à plus de 600.000 exemplaires. Il s’agit d’un personnage de fiction comme toujours, auteur de diverses machinations et complots qui jalonnent le monde des puissants. Des cadavres plein les rues du sang partout avec des images représentant des documents d’époque, voir ici .
L’image ci dessus nous montre les quatre grands propagandistes clés du «Risorgimento» signifiant renouveau, résurrection de la période de l’histoire de l’Italie de la seconde moitié du 19ème siècle jusqu’à l’annexion de Rome comme capitale au terme de laquelle les rois de la maison de Savoie unifient la péninsule Italienne par l’annexion de la Lombardie, de Venise, du Royaume des Deux-Siciles, du Duché de Modène et Reggio, du Grand-duché de Toscane, du Duché de Parme et des États pontificaux au Royaume de Sardaigne.
C’était l’Italie des seigneurs à l’instar de la dynastie des Sforza au premier plan de la renaissance dans le Duché de Milan. Ludovic Sforza 1452- 1508 pris Léonard de Vinci à son service pendant la grande période de la renaissance, qui fut battu en 1500 par l’armée Française de Louis XII. Puis, une longue et pénible période s’abat sur Milan de 1545 à 1714. La monarchie Espagnole prit le contrôle de la ville contribuant à sa pauvreté et à sa régression.
L’Italie n’était rien d’autre qu’un patchwork de petits États jusqu’au milieu du 19ème siècle n’étant rien de plus qu’une expression géographique à la suite de Metternich. Clément-Wenceslas-Népomucène-Lothaire 2ème prince de Metternich-Winneburg-Beilstein fut diplomate et un homme politique Autrichien. Il consacra sa vie au maintien de la société d’ancien régime face au bouleversement qu’engendra la Révolution française puis au maintien de la position Autrichienne et de l’équilibre des puissances, l’Italie du Nord était sous domination Autrichienne des Habsbourg Lorraine en Lombardie et en Toscane pendant près d’un siècle, Metternich fut un acteur de cette domination.
Le Risorgimento comprendra trois phases de 1848 à 1849 qui voient le développement de différents mouvements révolutionnaires et une guerre contre l’Empire d’Autriche, se traduisant par un statu quo. La seconde phase, 1859-1860, fit considérablement avancer le processus d’unification qui se conclut par la proclamation du Royaume d’Italie le 17 mars 1861. L’unification fut ensuite achevée avec l’annexion de Rome, capitale de l’État le 20 septembre 1870. Pendant ces trois phases trois guerres d’indépendance eurent lieu s’étalant de 1848 jusqu’en 1867 dans l’espace du Royaume de Sardaigne 1720-1861 et du Royaume d’Italie 1861-1946 représentant la période contemporaine.
En fait l’Italie que nous connaissons ne date que de 1946.
Au début du XVIème siècle une bonne partie des États italiens furent occupés et entrèrent dans l’orbite de la France ou l’Espagne qui luttèrent pour leur domination en Europe. Avec la bataille de Pavie marquant la défaite des rois de France qui fut un élément dissuasif de la sixième guerre d’Italie 1521-1526 dans leur tentative d’annexion de l’Italie du Nord gagnée par les célèbres «tercios castillans» qui représentèrent une unité administrative et tactique de l’infanterie Espagnole, conduisant à l’abandon des positions Françaises dans une région clé comme la Lombardie, permit l’hégémonie Espagnole sur l’Italie qui fut ratifiée, trente ans plus tard, par le traité de paix de Cateau-Cambrésis mettant fin au conflit entre la France, l’Espagne et l’Angleterre. Il fut considéré comme le plus important du 16ème siècle.
L’Espagne exerça pendant un siècle et demi, une domination directe sur toute l’Italie méridionale et insulaire, sur le duché de Milan et sur l’État des Presidi au sud de la Toscane, voir le graphe de l’État ici. Les États pontificaux, le Grand-duché de Toscane, la république de Gênes et d’autres États mineurs furent obligés de soutenir la politique impériale Espagnole. Le duché de Savoie sous l’impulsion de jeune duc Emmanuel-Philibert restaura les États de Savoie en recouvrant les provinces occupées par le France depuis 1536. Brillant chef de guerre, il remporta la bataille de Saint-Quentin en 1557, victoire des Espagnols sur les Français comme général en chef des armées impériales du roi Philippe II d’Espagne, successeur de Charles-Quint. Seule la république de Venise et la république de Gênes réussissent à conserver leur indépendance, ce qui ne fut cependant pas suffisant à les préserver d’une lente mais inexorable décadence. Après le traité de paix d’Utrecht, 1713, mettant fin à la guerre de succession d’Espagne l’héritage des Habsbourg d’Espagne passa aux mains de la branche Autrichienne qui réussit à s’installer longuement en Lombardie puis en Toscane avec les Habsbourg-Lorraine. Dans les premières décennies du XVIIIème siècle, les souverains d’Autriche s’emparèrent aussi du royaume de Naples qui fut cédé en 1734 après la défaite de Bitonto permettant à l’Espagne alliée à la France de reprendre possession du Sud de l’Italie qu’il voulait confier à son fils Charles de Bourbon et cela au détriment des Autrichiens.
Après le romantisme culturel donnant naissance au mouvement national Italien sur la société européenne du 19ème siècle et son appropriation par le peuple Italien. «Ce fut la culture qui créa l’unité de la Patrie» disait Francesco de Sanctis. De ce point de vue là, le Risorgimento consista donc en un «resurgissement» des racines culturelles de l’Italie, que ce soit à travers la Littérature, la Peinture ou la Musique, on mit en avant le passé glorieux du pays pour mieux démontrer la nécessité d’une unification qui redonnerait son poids à l’Italie. Mazzini insista sur ce point, après l’Italie des Romains et celle des catholiques, il faut fonder une «terza Italia» républicaine.
Dès le départ, le mouvement national Italien inquiéta l’Autriche-Hongrie qui craignit, à juste titre, de perdre son pouvoir. l’Empire gouvernait la majorité des États italiens. La révolution de 1848 des cinq journées de Milan furent une insurrection qui débuta le 18 mars contre l’occupation Autrichienne, Milan étant alors la capitale du royaume lombard-vénitien créée par l’Autriche à l’issue du congrès de Vienne de 1815. Cette insurrection constitua, pour les Italiens, un des actes les plus glorieux du Risorgimento, il fut le premier épisode qui démontra l’efficacité de l’initiative populaire qui, emmenée par des hommes conscients des objectifs de la lutte, influença les décisions du roi de Sardaigne. Elle entraîna une série de bouleversements politiques, adoption de constitutions dans la plupart des États italiens, proclamation de républiques, etc. Mais la réaction de l’Autriche fait échouer l’unité Italienne en rétablissant militairement le statu quo qui lui fut favorable.
La France apporta un souffle nouveau dans le processus d’unification de l’Italie où elle intervint plusieurs fois militairement. La France voulu favoriser les idées révolutionnaires et protéger le principe de souveraineté des peuples d’autant qu’elle y vit un moyen d’affaiblir l’Empire autrichien, d’autre part en aidant l’unification elle put espérer d’annexer la Savoie et Nice alors dépendants de la maison de Savoie dont le duc était aussi roi de Sardaigne et qui rêva de devenir roi d’Italie. Mais une autre motivation non négligeable fut celle de la protection de la papauté, la France pas entièrement vouée au catholicisme, ne put ignorer le problème posé par les États pontificaux. C’est cette dernière raison qui expliqua l’envoi de troupes Françaises en 1849 pour rétablir le pape que les insurrections de 1848 avaient chassé de Rome.
Puis vinrent les trois guerres d’indépendance et la prise de Rome.
Les territoires encore sous contrôle pontifical ne sont attaqués qu’en 1870, après la défaite et la capture de Napoléon III à Sedan lors de la guerre Franco-prussienne. Après la bataille de la Porte Pia le 20 septembre 1870, le plébiscite du 2 octobre suivant, confirma l’annexion de Rome au royaume d’Italie. Après Turin, en 1861, puis Florence en 1865, la capitale de l’Italie fut installée à Rome en juin 1871. Le pape Pie IX excommunia Victor-Emmanuel II jetant ainsi les prémisses du «non expedit », signifiant ne convient au Pape, qui servit alors de règle à la vie politique des catholiques pendant près d’un demi-siècle.
L’image en tête de l’article montre à gauche Guiseppe Massini, puis en allant vers la droite le général Garibadi, sur l’autre partie plus à droite Camillo Cavour et le roi d’Italie Victor Emmanuel qui sont les constructeurs du renouveau Italien.
Guisseppe Massini né le 22 juin 1805 à Gênes et mort le 10 mars 1872 à Pise, fut un révolutionnaire et patriote Italien, républicain combattant pour la réalisation de l’unité Italienne. Ses idées et son action politique par ses théories mazziniennes furent d’une grande importance dans la définition du mouvement moderne européen par l’affirmation de la démocratie à travers la forme républicaine de l’État, il est considéré comme l’un des pères de la patrie.
Guiseppe Garibadi né le 4 juillet 1807 à Nice et mort à Caprera, royaume d’Italie le 2 juin 1882, fut général, homme politique et patriote Italien. Il est considéré comme un personnage fondamental du Risorgimento pour avoir personnellement conduit et combattu dans un grand nombre de campagnes militaires qui ont permis la constitution de l’Italie unifiée. Il est surnommé le «Héros des Deux Mondes» en raison des entreprises militaires qu’il a réalisées aussi bien en Amérique du Sud qu’en Europe, il est considéré comme l’un des pères de la patrie.
Camillo Benso comte de Cavour , né à Turin le 10 août 1810 et décédé à Turin le 6 juin 1861, est un homme politique piémontais, important partisan de l’unité Italienne. Il fut ministre du Royaume de Sardaigne de 1850 à 1852, chef du gouvernement de 1852 à 1859 et de 1860 à 1861. En 1861, avec la proclamation du Royaume d’Italie, il devient le premier Président du Conseil du nouvel État italien. Il meurt alors qu’il occupe cette fonction. Il est un des protagonistes du Risorgimento, mais il est aussi un partisan des idées libérales, du progrès civil et économique, de l’anticléricalisme, des mouvements nationaux et de l’expansionnisme du royaume de Sardaigne au détriment de l’Autriche, du Royaume des Deux-Siciles et des États pontificaux, il est considéré comme l’un des pères de la patrie.
Victor Emmanuel II de Savoie né le 14 mars 1820 à Turin, mort le 9 janvier 1878 à Rome, est un prince de la Savoie. Il fut prince de Piémont, duc de Savoie, comte de Nice et roi de Sardaigne de 1849 à 1861 et ensuite premier roi d’Italie de 17 mars 1861 jusqu’à sa mort. La réalisation de l’unification Italienne lui procure l’appellation de Père de la Patrie, il est surnommé aussi Roi gentilhomme (Re galantuomo). Comme Roi de Sardaigne, il s’entoure de grands ministres comme Massimo d’Azeglio et Camillo Benso comte di Cavour qui modernisèrent le royaume.
Les origines de la langue Italienne.
De Dante Alighieri 1265-1321 premier grand poète de la langue Italienne, son livre la Divine comédie est considéré comme un chef d’œuvre de la littérature mondiale de tous les temps,
à Alessandro Manzoni 1785-1873 écrivain Italien. Il écrit ses Hymnes, Inni Sacri entre 1812 et 1815. Le dernier Hymne, La Pentecôte, fut publié en 1822. Entre 1820 et 1821 Manzoni écrit son meilleur drame, Adelchi, qu’il publia en 1822, inspiré par le renversement par Charlemagne de la domination lombarde sur l’Italie et contenant des allusions voilées à l’occupation Autrichienne. Les Hymnes et le drame historique révélèrent que Manzoni, classique dans ses premières œuvres, s’inspira désormais du romantisme. L’Italie lui rendit hommage, sa dépouille fut accompagnée au cimetière de Milan, suivie par les princes royaux, les officiers d’État et un immense cortège d’anonymes. Giuseppe Verdi composa son Requiem à sa mémoire en 1874.
Ces écrivains jouèrent un rôle essentiel dans la formation de la langue Italienne sur la base du dialecte toscan. L’Italien possède en effet la particularité de s’être d’abord propagé comme langue de culture, notamment dans les domaines de la poésie et de l’opéra, avant de devenir en 1861 l’idiome véhiculaire officiel de la nouvelle nation Italienne.
En fait de nombreux dialectes comme en France subsistent encore dans les provinces.
Au cours du 14ème siècle, dans une Italie divisée en plusieurs États et fragmentée par ses multiples dialectes, trois œuvres majeures d’écrivains florentins imposèrent le toscan comme langue littéraire, la Divine Comédie de Dante, le Canzoniere de Pétrarque, et le Décaméron de Boccace.
Umberto Eco à raison quand il dit que l’Italien est avant tout une langue mais pas que cela, cela paraît un peu réducteur. Combien sont les édifices médiévaux et antiques qui composent l’Italie étant un musée à ciel ouvert bien qu’ils furent édifiés en l’Italie alors que nation n’exista pas.
Combien sont les œuvres nées de la renaissance artistique Italienne du 15ème siècle au 16ème siècle qui firent courir toute l’Europe par ce que la plus avancée.
Les Médicis, par Laurent le Magnifique soutiennent la création artistique de Verrocchio et de Botticelli. Ludovic Sforza duc de Milan, fit travailler Léonard de Vinci et Bramante. Les papes Alexandre VI Borgia, Jules II, Léon X, Paul III Farnèse firent travailler les artistes de la Renaissance à Rome, Michel-Ange peint la chapelle Sixtine. François Ier invita des artistes Italiens, Léonard de Vinci à Amboise, à Chambord, Benvenuto Cellini, Rosso Fiorentino, Le Primatice à Fontainebleau ….
Pendant toute la première moitié du 17ème siècle, l’Italie continua d’être un pays dynamique, capable d’élaborer une pensée philosophique, Giordano Bruno, Tommaso Campanella, Paolo Sarpi, et scientifique, Galileo Galilei , Evangelista Torricelli de haut niveau, une peinture sublime, Le Caravage, une architecture unique en Europe, Gianlorenzo Bernini, Borromini, Baldassare Longhena, Pietro da Cortona, et une musique aussi bien instrumentale, Arcangelo Corelli, Girolamo Frescobaldi, Giacomo Carissimi, que théâtrale, Claudio Monteverdi, Francesco Cavalli, qui font école. À ce propos, rappelons que le mélodrame est une création typique de l’ère baroque. Et puis, dernièrement nous avons eu le plaisir d’admirer au musée du Louvre les peintres vénitiens Titien, Tintoret, Veronèse dans La pyramida testimone del Romanzo criminale a Venezia.
Umberto Eco écrit, «c’est appartenir à une nation jeune, immature, comparée à de vieux pays européens comme la France, l’Espagne ou l’Angleterre. Pour moi, l’Italie c’est avant tout une langue. Si un Français feuillette aujourd’hui un livre de Rabelais dans sa version originale, il aura des difficultés à comprendre le texte. Idem pour un Britannique s’il parcourt un ouvrage de Chaucer. En revanche,
un chauffeur de taxi Italien peut comprendre aisément La Divine Comédie, de Dante. La langue italienne a très peu évolué depuis mille ans».
L’Italie n’est pas qu’avant tout une langue pour beaucoup d’entre nous.
[b]Merci, Anido, pour cette belle leçon d’Italien et d’histoire italienne…
Amitiés,
Dominique[/b]
[b]Dominique[/b],
Comme bien souvent tu es le premier à poser tes réflexions sur mes articles, je t’en remercie.
Bien à toi,
Anido
[b]Anido[/b],
Je sais qu’il y a une partie de la Suisse qui est italianophone… Mais, où l’Italien est-il parlé dans le monde ?
Amitiés
[b]Dominique[/b]
[b]Dominique[/b],
En fait l’Italien n’est pas une langue dominatrice, c’est une langue chantée et culturelle.
Dans ces anciennes colonies comme la Libye l’Erythrée, on parlait l’Italien. Il y avait aussi l’Albanie, la Slovanie, des pays de la Méditerranée du temps de la splendeur de la république de Venise.
Mais c’est le latin qui fut sa langue internationale que l’on n’enseigne presque plus. Langue de celui qui sait, du cultivé, mais pas une langue populaire.
L’Italien fait parti des langues romanes de la République Romaine. On estime à 200 millions de personnes qui parlent et aimeraient étudier l’Italien, qui est une langue extraordinaire pour celui qui sait, elle est le berceau de notre civilisation occidentale et orientale.
Pourquoi, par ce qu’elle chante, entendre l’Italien est un plaisir pour celui qui sait.
Elle est à l’image de son pays plein d’œuvres d’art et de culture.
Voila ce que je peux te dire sur l’Italien parlé, mais il y aurait beaucoup plus, c’est simplement ce qui me vient à l’esprit.
Bien à toi,
Anido
[b]Merci Anido… En effet, je trouve que l’Italien est la langue la plus belle du monde… Elle est agréable à entendre, elle est musicale… Elle est élégante et a de la classe…
Bien à toi,
Dominique[/b]
[b]Dominique[/b],
Toutes les langues sont belles, certaines ont des qualitées pour les sciences, d’autres pour la musique, d’autres pour leur facilités à être enseignées et parlées et leur simplicité grammaticales.
Il fut un temps, je parlais assez bien l’Italien allant tous les ans en Italie, mais maintenant cela fait plus de 20 ans que je n’y vais plus.
Ce n’est pas ma langue, mais elle de mes parents avant qu’ils apprennent le Français, alors j’avais des facilités.
Il me reste toutefois quelques brides qui me permettent de lire pas du trop compliqué mais c’est comme tout, l’âge me fait oublier.
Bien à toi,
Anido
[b]Quel beau travail de recherche :
Un peu d’histoire contemporaine, une page d’HISTOIRE (tout court) un bien beau mélange.
Une maigre participation en vous mettant un extrait de film tiré du livre d’Umberto Eco
Un extrait où le supérieur de ce monastère dit que le rire est une invention du diable.
Alors soyons diaboliques….
{youtube}XjTEm10hKbs{/youtube}
[b]SOPHY[/b] bonsoir,
Merci Sophy de ce joli cadeau.
C’est vrai que le rire est parfois diabolique, le rire diabolique des fous qui tuent.
Bien à vous,
Anido
Bravo pour cet article…..un hommage -par citation interposée- pourrait être rendu à tous les soldats français tombés à Palestro, Magenta, Marignano et Solférino….en 1859. Un rappel également, pour l’oeuvre d’Henri Dunant et la création de la Croix-Rouge, après Solférino…..Ne laissons pas l’oubli faire son oeuvre destructrice…….
[b]Burdinus l’ancien[/b] bonjour,
Pourquoi pas, mais je suis sur l’Italie et je ne développe que la partie spécifique du Risorgimento, c’est déjà beaucoup plus que Umberto Eco qui lui est Italien et moi pas.
Il est vrai que la Croix rouge mériterait des développements, mais est-ce que vraiment cela intéresse les gens ?
Bien à vous,
Anido